Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 6/02/2011 par sergio06
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
CHEZ IRENE
André, les mains dans les poches, rentre de sa journée de labeur. Il est dix huit heures trente, au passage il salue quelques connaissances.
André a dix huit ans et, après des études baclées, il travaille, sans conviction aucune, dans une petite usine de plasturgie. La petite ville du nord de la France où il habite est sinistrée, comme tout le reste de la région d'ailleurs.
Autrefois ici le travail ne manquait pas, les mines de charbon employaient la majorité des hommes, mais maintenant seules quelques unes fonctionnent encore, mais beaucoup plus loin et plus pour très longtemps. Il est prévu qu'en 1960 tous les puits du nord et du Pas de Calais doivent être fermés et cette échéance approche, deux ans à peine.
Pour l'instant les derniers qui continuent d'exercer ce métier, certes dur et dangereux mais dont ils sont fiers, sont obligés de faire plus de trente kilomètres en car pour aller s'enfoncer dans le c'ur de la terre, sans toujours être surs de remonter.
André vit avec sa mère, veuve depuis pas mal d'années. Un coup de grisou, histoire malheureusement classique ici, a tué son père, en même temps qu'une trentaine de ses compagnons.
Sa mère a du se résoudre à travailler, la maigre pension ne permettant pas de vivre et encore moins de payer des études.
Question études cela ne l'a pas trop dérangé, André étant doué pour ce genre d'exercice. En attendant de partir pour le service militaire, il a trouvé ce travail qui permet juste de ne pas mourir de faim.
Il approche de la maison. Un ancien corps de ferme, composé d'une maison sans étage, toute en longueur formant le coté d'un carré dont les trois autres sont occupés par des granges, vides et quasi abandonnées depuis longtemps. Seul un peu de paille sur le sol témoigne de leur usage antérieur. Il ouvre la lourde porte d'entrée et pénètre dans la grande cour.
La maison, toute de plein pied et sans charme aucun se dresse devant lui. Une porte au milieu, trois fenêtres à gauche, trois fenêtres à droite.
Sa mère et lui occupent la partie gauche de la maison en entrant, la partie droite étant réservée à Jacques, son frère ainé, agé de vingt huit ans, marié à Sonia, une fille de vingt cinq ans, d'origine polonaise.
Ici, dans cette région, plus d'un occupant sur deux est d'origine polonaise, ceux-ci ayant fui la misère de leur pays après la seconde guerre mondiale pour s'installer dans cette région qui à cette époque était prospère.
Il traverse la cour et entre chez lui, met par terre son sac de sport dans lequel il emporte son casse croute du midi, sa bouteille de bière faite maison, ainsi que son nécessaire de toilette pour la douche.
Son travail est très salissant. Il ponce une bonne partie de la journée et se trouve donc dans une atmosphère poussiéreuse toute la journée.
Il se sert un verre de bière amère. Regardant autour de lui, il fait une moue dégoutée à la vue des meubles vieillots et usagés. Il vide son verre et le met dans l'évier.
Il est seul, comme d'habitude. Sa mère travaille dans un bar, situé à l'autre bout de la ville.
Sa mère est encore une belle femme de quarante sept ans. Blonde avec de belles formes, elle ne fait pas son age et beaucoup d'hommes se retournent sur son passage. La propriétaire du bar Chez Irène est une amie d'école et elle a été heureuse de l'aider. Heureuse et intéressée surtout.
Irène est veuve elle aussi. Son mari ayant subi le même sort que le père d'André.
Etant propriétaire d'une grande maison à la limite de la ville et à l'orée du bois, elle avait tout d'abord ouvert une petite buvette, ou chasseurs et promeneurs venaient se reposer en buvant un petit verre. Attirée par son statut de femme seule et encore très belle, un autre genre de clientèle était venu. Une clientèle discrète qui recherchait un peu de rêve, un peu de tendresse et plus.
Irène qui avait besoin de vivre et n'était pas une oie blanche avait très vite vu le parti qu'elle pouvait tirer de la situation. C'était à ce moment qu'elle avait proposé à une vieille amie, la mère d'André, de venir l'aider.
Celle ci avait accepté avec plaisir, d'abord pour se changer les idées et bien sur pour arrondir sa maigre retraite.
L'ensemble fonctionne bien. Bien sur l'établissement a mauvaise réputation et les mauvaises langues vont bon train. Mais Irène et Monique, la mère d'André n'en ont cure. Grâce à leur travail, même s'il n'est pas considéré comme honorable par la plupart des habitants de la commune, elles peuvent vivre et même vivre très bien.
Lui-même a eu déjà eu à subir bien des allusions plus ou moins voilées. Jamais rien de direct, non, mais il s'est déjà rendu compte que certaines discussions s'interrompaient brusquement à son arrivée. A dix huit ans, André est très grand et costaud, les collègues de travail ne se hasardent pas trop à lui chercher des poux dans la tête comme on dit ici.
Et puis ils ont surtout peur de son frère, Jacques qui a lui carrément mauvaise réputation.
Ancien boxeur, puis catcheur après avoir perdu sa licence suite à une bagarre où son adversaire avait fini en triste état à l'hôpital, il inspire le respect ou plutôt la crainte. Ici tout le monde le redoute et l'évite comme la peste.
André aime bien sa mère et il estime que c'est à elle de décider ce qui est bien ou pas. Et puis elle a eu sa part de malheurs, l'homme qu'elle avait épousé n'était pas un tendre. André se souvient des coups de gueule et des gifles qui pleuvaient, que ce soit sur lui ou sa mère.
Si la mort de son père a été un coup dur pour la famille au point de vue financier, cela les avait tout de même libérés d'un tyran qui se souciait plus de politique que du sort de sa famille.
La maison est calme maintenant et sa mère semble même heureuse. En tous cas elle lui laisse faire tout ce qu'il veut, ce dont il lui est profondément reconnaissant.
Le reste, il s'en fout. Depuis quelque temps la seule chose qui le turlupine c'est sa sexualité.
A dix huit ans il est encore puceau et les séances de branlette le laissent de plus en plus insatisfait.
Pris d'une envie pressante, il se dirige vers les toilettes. Le cabinet se trouve dans la cour, sur la gauche et donc du même côté ou habite André et sa mère.
Il y a bien longtemps que la porte de celui ci ne ferme plus complètement, déformée et gonflée par la pluie. Elle reste donc entrebaillée, fermée par un crochet bricolé à l'intérieur lorsque l'endroit est occupé. André constate que la porte est largement entrouverte, indiquant que le crochet n'est pas mis, donc la voie est libre.
Il pousse fermement celle ci comme il en a l'habitude et met un pied dans l'endroit. Il s'immobilise aussitôt en découvrant sa belle s'ur, Sonia tandis que la porte claque contre le mur.
Le cabinet est très rustique. Sur une partie surélevée d'environ 60 centimètres, se trouve une planche rudimentaire, percée d'un trou circulaire en son milieu. Etant donné que cette planche est régulièrement arrosée par la pisse, il est impossible de s'y asseoir. La seule façon de satisfaire ses besoins est donc de monter sur cette planche et de s'accroupir au-dessus du trou.
C'est précisément dans cette position qu'il découvre Sonia, en train de satisfaire un besoin naturel, sa robe remontée sur ses jambes largement écartées.
André se fige, incrédule. Ses yeux exorbités se fixent tout de suite sur l'entre jambes. Un jet dru en sort, coule dans le trou. Il a à peine le temps de distinguer l'endroit poilu avant de faire demi-tour et de se sauver, rouge de confusion, laissant derrière lui la porte grande ouverte. Il a quand même eu le temps d'apercevoir le sourire de Sonia et de l'entendre dire avec son délicieux accent polonais :
- Ho ! J'ai oublié de mettre le verrou.
Le sang cogne à ses tempes. Il se dirige vers une étable, celle qui fait face à la maison. C'est l'endroit qu'il préfère. Elle est très grande et il y a son petit endroit secret.
Au fond de cette étable, il y a un garage dont l'entrée se trouve à l'extérieur de la maison.
Le garage fait environ trois mètres de haut et son plafond est plat. Sur le coté de l'étable, des poutres entrecroisées formant l'ossature des murs en torchis se dessinent. Le torchis est en très mauvais état et par endroits il ne reste plus que l'ossature. Mettant les pieds sur ces poutres, il monte et se retrouve sur le toit du garage.
Il y a pas mal de paille, surtout dans le coin gauche tout au fond.
Se débarassant de son pantalon et de son slip, il s'assoit dans la paille, s'adossant contre le mur, prenant bien soin d'intercaler le pan de sa chemise entre ses fesses et la paille rugueuse. De cet endroit on ne peut pas le voir d'en bas, au cas où quelqu'un viendrait.
Il relève les jambes en les écartant, sa main vient etreindre sa bite tendue. Fermant les yeux il revoit la scène, vraie celle là, pas besoin de fantasmer, d'inventer. Il revoit les jambes écartées, la pisse qui sort du sexe poilu avec un bruit bizarre, comme un sifflement.
Haletant, il se branle furieusement. La jouissance ne tarde pas à arriver. Râlant de bonheur il regarde les longues giclées aller atterrir à trois mètres de lui. Il diminue peu à peu le rythme de sa branlette, presse sa queue pour faire sortir les dernières gouttes en reprenant sa respiration et continue de penser à la scène vécue. C'est la première fois qu'il voit, qu'il entrevoit plutôt, un sexe de femme.
Il s'essuie les doigts machinalement sur la paille tout en repensant à la scène.
A présent apaisé il revoit la scène dans sa tête. Il lui semble que Sonia n'était pas gênée du tout, surprise oui, mais pas vraiment gênée. Elle riait même comme si la situation l'amusait. Peut être était-ce un rire nerveux, une façon d'exprimer sa gêne ?
Sa bite s'est ramollie, le gland est de nouveau caché par le prépuce. Il aime beaucoup sa bite. A l'usine ils sont une trentaine à passer sous la douche commune à la fin du travail et il ne peut s'empêcher de regarder en douce le sexe de ses compagnons pour comparer.
Il est le plus jeune de tous, la plupart ont entre quarante et soixante ans, mais il a apparemment la plus grosse, la plus longue aussi, tout au moins au repos car il paraît que certaines petites bites grossissent plus que d'autres quand elles bandent.
André n'a jamais vu d'autre sexe en érection que le sien mais il aimerait bien, pour comparer.
Il se lève et se rhabille, chassant les brins de paille. Il redescend et se dirige vers la maison. Il jette un regard furtif vers la partie droite mais n'aperçoit pas sa belle s'ur. Il s'en trouve soulagé.
Il met la radio. Il aimerait bien avoir la télévision, mais il paraît que c'est hors de prix. Seulement quelques personnes la possèdent dans son quartier. Il se promet d'en acheter une dès qu'il aura assez d'argent.
Prenant un magazine, il essaye de lire, attendant l'heure du repas. Mais rien à faire, sans cesse il revoie la scène, sa belle s'ur en train de se vider la vessie, les jambes écartées.
Il sursaute en entendant son nom, regarde sa montre, il est huit heures. Un peu crispé, il abandonne son livre et se rend chez Sonia, le c'ur battant.
C'est Sonia qui lui prépare à manger. Jacques travaille de nuit et part travailler à dix huit heures. Chef d'équipe d'entretien dans une filature de Roubaix, il lui faut une heure et demie de bus pour rejoindre son travail. Il ne revient que le lendemain matin vers sept heures. André ne rentrant que vers dix huit trente et ne se levant qu'après sept heures quinze, ils ne se voient jamais en fait. A part les week end et encore. De toute façon ils ne se fréquentent pas, Jacques est un homme taciturne, peu aimable et ils n'ont aucun point en commun. Sans doute la différence d'age.
Il frappe brièvement et entre aussitôt. Elle est souriante, comme à son habitude. Il s'est toujours demandé comment une fille aussi souriante pouvait s'être mariée avec quelqu'un qui ne souriait jamais, tout au moins pas souvent.
- Assieds-toi, je te sers tout de suite.
Il s'assoit à sa place habituelle, face à la fenêtre. Elle le sert, puis remplit son assiette et s'assoit à sa gauche. Le regardant, elle lui dit en accentuant son sourire :
- Je m'excuse pour tout à l'heure, j'avais oublié de mettre le verrou.
Il met le nez dans son assiette, le visage cramoisi, ne sachant que répondre. Elle continue :
- Fallait pas te sauver comme ça, ce n'est pas grave tu sais !
Et, devant son mutisme elle ajoute :
- T'es pas fâché au moins ?
De plus en plus gêné, il parvient à articuler :
- Non, bien-sur. J'ai été surpris c'est tout.
Elle accepte sa réponse avec son éternel sourire et ils se remettent à manger en silence.
Il l'aide à débarrasser et retourne chez lui après lui avoir dit bonsoir.
André se couche, ses pensées toujours dirigées vers Sonia. Il n'arrive pas à la comprendre. Elle s'est conduite comme si le fait de montrer son sexe n'avait aucune importance. Mieux, elle semblait être excitée quand, au cours du repas elle a reparlé de ça. Ses yeux brillaient. Il en est sur et il regrette maintenant de s'être sauvé comme un bêta.
Oui il se traite d'idiot et il s'en veut. Elle lui a répété que ce n'était pas grave, qu'il ne fallait pas se sauver comme ça. Mais que voulait elle donc ? Qu'il reste à l'observer ? Rien que d'y penser, il bande à nouveau. Il revoie une fois de plus les poils blonds foncés entre lesquels coule la pisse. Il lui semble encore entendre ce bruit bizarre qui accompagnait la miction.
Il se jure de la guetter demain et de répéter l'expérience. Oui, c'est décidé, demain il faut qu'il en ait le c'ur net. Excité par cette idée, sa bite est à nouveau dure comme du béton.
Il la prend en main, commence un mouvement de va-et-vient tout en revoyant Sonia le spectacle. Il gémit de plus en plus, il sent le plaisir monter à toute vitesse. Rabattant les draps, il admire sa bite et reçoit la première giclée en plein visage. Les autres viennent se déposer sur sa poitrine puis son ventre. Agrippant son slip qui traine par terre, il s'essuie, éteint la lumière et essaye de s'endormir.
Sa mère vient le réveiller le lendemain. Il se sent fatigué, le sommeil a été long à venir.
Elle l'observe, un peu inquiète.
- Tu vas bien ? Tu m'as l'air fatigué.
Il marmonne que tout va bien et se hâte de terminer avant de s'habiller et de partir.
Toute la journée il pense et repense à ce qu'il va faire ce soir. Il se fait réprimander par le contre maitre qui lui demande à son tour si tout va bien.
La fin du travail venue, il est le premier sous la douche. Il se savonne copieusement tout en observant à la dérobée comme à son habitude les sexes de ses compagnons, puis se sèche et se rhabille.
Il se hâte, le trajet jusqu'à la maison lui semble beaucoup plus long que d'habitude. Une personne qu'il connaît bien lui demande même s'il y a le feu chez lui. Souriant intérieurement, il se dit que le feu n'est pas chez lui, mais en lui.
Il ouvre la porte d'entrée. Comme d'habitude tout est calme. Traversant la cour, il jette un oeil vers la porte des toilettes. Celle-ci est grande ouverte, à sa grande surprise d'ailleurs. Elle est toujours soit presque fermée, ce qui veut dire que le verrou est mis, donc que quelqu'un se trouve à l'intérieur, ou alors à moitié ouverte, ce qui veut dire que la voie est libre.
Il pose son sac, se sert un verre de bière, le boit cul sec.
Dans une encoignure de la pièce se trouve un fauteuil. De cet endroit il peut voir la porte des toilettes. Il s'assoit et attend.
A peine est-il assis qu'il entend la porte de Sonia s'ouvrir et se refermer bruyamment. Plus que de raison lui semble-t'il. Comme si elle voulait l'avertir. Son c'ur se met à battre à toute allure. Il la voit passer près de la fenêtre auprès de laquelle il est installé. Elle jette un coup d'oeil au passage, mais il sait qu'elle ne peut le voir derrière le rideau. Il se lève, la suit du regard.
Elle entre dans les toilettes, la porte se referme, mais pas tout à fait. Dans la position où elle se trouve, il est certain que le loquet n'est pas mis.
Son sang court à toute vitesse dans ses artères. Ses tempes battent. Il ne s'est pas trompé, il est sur qu'elle l'attend, il ne peut plus hésiter.
Il hésite encore, puis prenant son courage à deux mains, ilse décide et sort à son tour, prenant bien soin lui aussi de claquer la porte pour qu'elle l'entende, voulant lui laisser une chance de mettre le crochet ou tout au moins de signaler sa présence. Rien ne se passe.
Le c'ur battant à tout rompre, il pousse fermement la porte à son habitude, l'ouvrant en grand.
Elle est là, en train de pisser, tout comme hier, le regardant entrer sans faire un geste. Il la regarde, ses yeux sont brillants, tout comme doivent être les siens d'ailleurs.
Abandonnant son regard, il porte ses yeux vers son sexe. Les jambes largement écartées lui permettent de tout voir.
Il est sur qu'elle a attendu qu'il pousse la porte pour commencer à vider sa vessie car il a attendu de longues secondes avant de sortir de chez lui et il ne s'est pas pressé pour se diriger vers le cabinet. Logiquement elle devrait avoir fini sa miction.
Les cuisses largement écartées, elle ne fait rien pour cacher ce qu'elle a entre les jambes, le liquide ambré sort du milieu des poils. Aucun des deux ne parle. Il regarde fasciné, le spectacle du jet sortant avec ce sifflement qui l'a tant étonné hier.
Enfin le débit cesse, quelques gouttes continuent de tomber, une à une. Elle prend un bout de papier, essuie sa fente, laisse tomber le papier dans le trou.
André est comme tétanisé, incapable de faire un geste, ses pensées s'entrechoquent dans sa tête.
Enfin elle se met à parler, de sa voix douce et profonde.
- C'est la première fois que tu vois un sexe de femme ?
Il ne peut répondre, la gorge nouée. Il hoche la tête de façon affirmative tout en gardant les yeux fixés sur l'entre jambes largement ouvert.
- Approche-toi.
Machinalement il s'avance. Sonia pose sa main sur sa braguette. Sa bite tendue déforme le pantalon. Elle passe la main sur la belle bosse de bas en haut, ne peut retenir un « Ho » d'étonnement puis ses mains s'attaquent aux boutons.
Le vêtement tombe sur ses chevilles. Elle tire sur le slip, l'amenant sur les cuisses. Elle remonte son tee shirt, la bite fièrement exposée aux yeux brillants de convoitise de Sonia.
Il suit le regard enfievré de Sonia, les yeux hors de la tête. Elle admire ainsi quelques instants la bite qui est agitée de secousses.
- Qu'elle est belle ! Dis-moi, elle a déjà servi ?
Disant cela elle a reporté son regard brillant sur celui d'André.
Il comprend et hoche la tête de façon négative.
- Tu es puceau alors ?
Il hoche la tête. Elle prend le sexe entre ses doigts et commence à le branler doucement. Les soupirs de satisfaction d'André sortent de sa gorge.
- Tu aimes ?
- Oui, c'est bon continue.
- Tu te branles souvent ?
- Oui.
- Tous les combien ?
- Heu', tous les jours.
- Et, hier soir, tu t'es branlé ?
- Oui.
- Après m'avoir vu pisser ?
- Oui.
- A quoi as tu pensé pendant ta branlette ?
Là il n'ose pas répondre.
- T'as pensé à moi ?
Dans un murmure il répond :
- Oui
Elle continue à le branler doucement, demande encore :
- Et c'était bon ?
Il entre dans son jeu, comprenant que cela l'excite :
- Oui, très bon.
Et il ajoute, la regardant au fond des yeux :
- Meilleur que d'habitude !
Elle le regarde avec des yeux de plus en plus brillants. André reporte son regard sur l'entre jambe toujours largement ouvert.
Elle le libère, au grand désappointement d'André. Elle quitte sa position, pose les pieds par terre, tout en maintenant sa robe relevée sur ses hanches, s'assoit sur la planche, les fesses tout au bord, sans se soucier de l'humidité entretenue par la pisse. Elle passe sa robe par-dessus la tête, la pose par terre. Ne portant ni culotte ni soutien gorge, elle se retrouve nue sous les yeux fous d'André.
Souriante, à l'aise, elle lui demande :
- Comment tu me trouves ? Je te plais ?
- Oui ! Oh oui ! Tu es belle !
Sonia est une très belle femme en effet. Enfin c'est ce qu'il lui semble car c'est bien sur la première fois qu'il voit une femme nue.
Elle a un corps allongé, les hanches un peu larges, des seins qui semblent tenir tout seul. Elle est assise les jambes écartées et ses yeux s'attardent sur le sexe garni de poils blonds.
La fente est bien visible avec ses lèvres bien gonflées. Pour André qui n'a jamais vu une femme nue autrement que dans les magazines qui circulent sous le manteau, le spectacle est magnifique.
Tout en regardant le visage d'André, elle écarte largement ses jambes et met la main sur son sexe, commençant un petit mouvement de rotation. Des soupirs sortent très vite de la gorge de la belle. Ses yeux sont à moitié fermés. Elle lui dit :
- Branle toi aussi ! Branle toi devant moi, j'ai envie de te voir. Vas-y !
André porte sa main sur sa bite est commence à se branler à grands coups.
- Non, vas doucement, fais durer le plaisir.
Il ralentit la cadence, observant ses mouvements. Une forte odeur vient flatter ses narines. Vicieuse, elle arrondit le dos, sa chatte se tend vers le regard fou d'André.
Il distingue beaucoup mieux le sexe ouvert de Sonia. Les poils entourant les grandes lèvres montent très haut vers le nombril et envahissent aussi le haut des cuisses. Le sexe avec ses lèvres intimes, de couleur rouge foncé s'expose au regard vicieux du garçon. Des gémissements de plus en plus forts se font entendre.
- Ah c'est bon ! Oui ! Ah regarde bien, regarde ! Je vais bientôt jouir ! Je vais jouir devant toi ! Ah que c'est bon de se branler ! C'est bon pour toi ? Dis-moi !
André halète de plus en plus fort. Il a ralenti la cadence, mais la scène est d'un tel érotisme qu'il n'en peut plus. Il sent qu'il va jouir bientot.
- Ah oui ! Ah oui, j'en peux plus ! Je vais bientôt jouir !
- Attends, attends-moi ! Attends-moi je t'en prie !
André lâche son membre qui se met à vibrer tout seul, comme habité d'une vie propre. Ses yeux exhorbités sont fixés sur le spectacle d'une femme en train de se branler devant lui, chose inimaginable hier encore.
Des petits cris ont succédé aux gémissements. La jouissance de la belle salope est toute proche.
- Ah oui ! Ah oui ! Oui, ça y est ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! Ahhhh !
Le jeune homme regarde Sonia jouir. De sa main droite elle s'enfonce deux doigts dans la chatte à toute vitesse tandis que la gauche s'agite en haut de son sexe.
Enfin elle émerge, les yeux cernés de mauve se posent sur la bite qui vibre de plus en plus.
- Tu as aimé me regarder ?
Et tout en posant cette question, elle prend dans sa main la bite tendue.
- Elle est encore plus grosse que tout à l'heure. Je vais te branler, je vais te faire jouir moi-même. Dis-moi si tu aimes.
André se sent partir, à peine la main de Sonia s'est elle posée sur son membre qu'elle déclenche une jouissance terrible.
De grandes giclées sortent de la bite. Sonia accélère la cadence, admirant le sperme qui continue de sortir.
- Quel pied ! Ah oui ! Oui vas-y ! Vide toi les couilles ! Oui, vide toi, salaud !
Elle ralentit la cadence quand plus rien ne sort de la tige, qui ramollit mais elle ne semble pas vouloir la lacher.
- Tu jutes bien dis donc. Tu m'a complètement arrosée ! Tiens regarde.
En effet, des trainées blanchâtres s'étalent sur le corps de Sonia. André, heureux, reprend ses esprits. Il sourit à sa belle s'ur qui lui répond de même.
Doucement, comme à regret, elle libère la tige qui se dégonfle lentement.
Il souffle un grand coup, heureux. Heureux mais insatisfait.
Elle le voit.
- Tu n'es pas satisfait ?
- Si, si bien sur mais'
- Mais tu es toujours puceau c'est ça ?
- Oui, c'est ça.
Elle se lève, André l'imite. Prenant sa robe dans sa main elle lui dit :
- Viens !
Il libère ses chevilles du pantalon, prend ses affaires dans ses mains et la suit. Sans aucune gêne elle avance devant lui, faisant rouler ses hanches. Ses fesses ondulent devant ses yeux fous. Ils longent la maison et se retrouvent dans l'appartement de Sonia.
Elle débarasse le lit des couvertures et s'allonge dessus. Elle l'invite à le rejoindre.
- Enlève ton tee shirt, je te veux tout nu, comme moi.
Il s'exécute, décidé à faire tout ce qu'elle voudra, n'ayant aucune expérience des femmes. C'est la femme de mon frère se dit il. Il chasse cette pensée très vite de son esprit. Il sent qu'avec elle il va en apprendre beaucoup. Et il meurt d'envie d'apprendre. A n'importe quel prix. Même s'il faut faire son frère cocu.
Elle l'observe, tentant de savoir ce qu'il pense.
- Pourquoi me regardes-tu ainsi ?
- Comme ça, pour savoir ce que tu penses de moi par exemple.
- Comment ça ?
- Je suis la femme de ton frère, quel effet ça te fait ? Je veux le savoir avant de t'accorder plus.
André n'a aucun scrupule. Il ne s'est jamais entendu avec Jacques. Il est comme son père, l'a entendu dire une fois sa mère à une amie, égoiste, brutal, ne pensant qu'à lui. Ces paroles lui reviennent en mémoire.
Il demande :
- Pourquoi t'es-tu mariée avec lui ?
Elle soupire, puis :
- Je ne sais pas. Il était là au moment où mes parents m'avaient fichue dehors, il avait l'air gentil à l'époque, je ne le connaissais pas. Je regrette maintenant.
- Pourquoi tu divorces pas ?
- Je ne sais pas. Je ne sais où aller de toute façon. Je divorcerais un jour c'est sur, mais quand je saurai ou aller. Alors dis-moi, tu ne regrettes pas ?
- T'es folle ! Au contraire, je veux que tu m'apprennes tout ! Absolument tout !
Sonia est émue par l'enthousiasme et l'inexpérience d'André. C'est une fille très gentille, le seul tort qu'elle ait eu c'est de tomber sur un type pas bien.
Elle a toujours eu le feu au cul et ses parents l'ont mise à la porte après l'avoir surprise en train de faire l'amour avec le mari de sa s'ur aînée. A part ça, le c'ur sur la main avec les gens qu'elle aime. Elle lui sourit puis :
- Je crois que l'on va passer des bons moments si tu sais tenir ta langue.
- N'aie pas peur, moi non plus je ne veux pas d'histoires avec Jacques.
Rassurée, Sonia décide qu'ils ont assez parlé. Sa main se promène doucement sur le corps d'André qui est allongé sur le dos à présent.
Pendant un long moment, elle le caresse doucement, allongée à ses cotés. Puis elle vient s'asseoir sur ses cuisses. Ses mains se promènent lentement, de la poitrine au pubis, sans jamais effleurer le sexe de son futur jeune amant. La bite est de nouveau superbement dressée mais Sonia prend garde à ne pas la toucher bien qu'elle ne peut s'empêcher de l'admirer.
André halète, son envie de faire l'amour, de baiser une femme enfin est trop forte. Il veut lui poser une question délicate, il lui dit.
- Va-y, je t'écoute.
- Promets moi de me répondre franchement.
- Je te le jure.
- Heu, mon sexe, comment le trouves tu ? Je veux dire, est il heu,? normal ?
Sonia est émue à nouveau.
- Oui, ou plutôt non, il est plus gros que la plupart des hommes. Plus gros et plus long. Je n'en ai jamais vu de si gros si c'est ce que tu veux savoir.
- C'est vrai ? Tu le penses vraiment ?
- Je le pense vraiment, la plupart des hommes ont un sexe plus petit que le tien. Mais il n'y a pas que ça, pas que la taille je veux dire. Il faut aussi faire durer le plaisir, savoir faire jouir une femme, être patient.
- Tu m'apprendras dis ?
- Bien-sur, compte sur moi ! Et maintenant relache toi, libère toi, laisse toi faire. Laisse toi faire et regarde comment je fais. Les caresses font du bien à tout le monde aux mêmes endroits, les femmes et les hommes. Enfin plus ou moins. Il ne faut pas être pressé, savoir prendre son temps.
André se laisse faire, se laisse caresser. A présent libéré de tout souci, il regarde le corps de Sonia. Les seins sont vraiment très beaux, les bouts sont très pointus, dressés vers lui. Il lui dit.
- Tu sais pourquoi mes tétons sont dressés ? C'est parce qu'ils bandent. Parce que je suis excitée, parce que tu me fais envie. Toi, ta bite est dressée quand tu as envie, moi c'est les seins. Les seins et quelque chose d'autre que je te montrerais tout à l'heure si tu es sage.
Elle accompagne cette tirade d'un rire excité. C'est vrai qu'elle est excitée. Le fait de dépuceler un jeune homme l'a toujours excitée un max.
Sonia a toujours été très précoce. Dans son quartier c'est elle qui avait dépucelé la plupart des garçons de son age. Bien sur Jacques ne l'a jamais su, personne n'étant assez fou ou téméraire pour aller lui raconter ce genre de choses.
Doucement elle s'allonge sur le corps d'André. La bite tendue est comme emprisonnée dans la douce vallée des nichons. La bouche de la fille se pose sur un téton du jeune homme qui roucoule de bonheur. Longtemps elle les excite, l'un après l'autre de cette façon, le jeune homme se tord sous la caresse excitante. Relevant la tête elle lui dit :
- Tu vois, toi aussi tes seins bandent. Regarde comme ils sont dressés.
André n'en peut plus, il a une furieuse envie de faire enfin l'amour.
- Je veux te faire l'amour.
- Je voudrai. J'aime pas qu'on me force. Répète.
André est au supplice.
- S'il te plait je voudrais te faire l'amour. Regarde comme je bande, j'en peux plus !
Sonia regarde la bite dressée, le gland est violet de congestion. En effet il bande de façon superbe.
- Tu es prêt à jouir ?
Il gémit presque, la supplie.
- Oui ! Ah oui j'ai envie ! S'il te plait !
Sonia réalise qu'elle a poussé un peu loin les caresses. Elle a sous estimé la capacité de récupération du jeune homme. Celui-ci, fou de désir, puceau, découvrant la femme, ne se contient pas. Elle devine que s'il la pénètre maintenant il va se mettre à jouir presque aussitôt, bien qu'il ait déjà joui il y a peu de temps.
- Attends, je vais m'occuper de toi autrement.
Elle s'allonge un peu plus, tout en descendant sur le corps du jeune homme. Sa bouche est à la portée du méat. André la suit des yeux, la bouche ouverte, haletant de plus en plus fort.
Abaissant son visage, elle vient poser ses lèvres douces sur la tige tendue. La réaction est très violente.
- Ah ! Ah oui ! Ah qu'est ce tu me fais ! Ahhh !
Relevant la tête, elle découvre les yeux fous qui la regarde.
- Tu aimes mon chéri ?
- Ah oui ! Continue ! Encore ! Encore je t'en prie !
Sonia recommence sa caresse. André ressent un plaisir fou. Jamais il n'aurait pensé que cette caresse dont il avait entendu parler bien sur pouvait être aussi délicieuse.
Sonia balaie toute la longueur du chibre de sa langue habile. Arrivée en bas de la hampe, elle prend une couille qu'elle aspire dans sa bouche, la fait rouler puis la libère, puis remonte en recommençant à promener sa langue sur la tige. André est aux anges. Prenant appui sur ses coudes, il regarde ce que fait sa partenaire en respirant de plus en plus fort, ivre de désir. Sonia lui adresse un sourire vicieux, prend le chibre dans sa main et, l'attirant vers elle, se l'introduit dans sa bouche goulue.
- Ahhh ! Bon dieu que c'est bon ! Que c'est bon ! Ah oui, continue ! Continue ! Ahhhh !
La bouche fait des va et vient sur la bite qui est agitée de soubresauts de plus en plus frénétiques. Elle sent nettement arriver la délivrance. André pousse des cris de plaisir de plus en plus rapprochés.
- Ah oui ! Oui ! Ouiii ! Ah oui ! Ahhhh !
Et il se libère dans la bouche de la salope qui avale le jus avec avidité. Elle continue de le pomper même lorsque plus rien ne sort de la bite qui ramollit doucement entre ses lèvres serrées. André n'en revient pas du plaisir ressenti.
Enfin elle le libère, le sexe retombe avec un bruit mou sur le ventre. Souriante elle le regarde, et par des petits mouvements de reptation, remonte ver lui.
Il se rallonge entièrement, la bouche de Sonia s'approche de celle d'André. Elle l'embrasse, le force à ouvrir les lèvres serrées. Longtemps leurs langues luttent ensemble, leur salive et le sperme se mélangent. Enfin elle relève la tête.
- Tu as aimé ?
- C'était, c'était? Je ne sais comment dire, heu' Fabuleux. Jamais j'aurai pensé que ce puisse être si bon.
Elle le récompense d'un nouveau baiser. Elle roule sur lui et s'allonge à ses cotés, exposant sans pudeur sa nudité. Son entre jambes poilu attire son regard. Elle se laisse admirer quelques instants puis :
- A ton tour de me caresser, tu veux ?
Il se tourne, et maladroitement mais avec application, lui caresse les seins, le ventre, lui embrasse les seins, essaye de répéter les gestes qui lui ont procuré tant de bonheur. Sonia a très envie de faire l'amour mais doit attendre. Les caresses inexpérimentées ne la satisfont pas, mais elle le guide, lui demandant d'insister à un endroit, d'être plus doux à un autre et a hâte que la belle bite qui lui fait tant envie retrouve la belle forme de tout à l'heure. Il est penché sur elle, la figure au dessus de son sexe entr'ouvert et il lui tourne à demi le dos.
Doucement, elle le caresse en bas des reins, les fesses. Sa main s'introduit dans la raie du cul, André pousse des grognements de satisfaction et écarte les fesses tout en les cambrant instinctivement, montrant son accord tacite.
Les caresses durent un moment. Elle se relève à demi, aperçoit la queue de nouveau érigée. Un grand sourire aux lèvres, elle lui dit :
- Viens maintenant, viens sur moi ! Tu vas me faire l'amour. J'ai trop envie.
André ne se le fait pas dire deux fois. Enjambant le corps de Sonia à demi allongée, les jambes écartées, il vient se placer devant le sexe déjà ouvert. Elle remonte le buste ainsi que les jambes, montrant encore plus son intimité secrète. André respire très fort, elle sent qu'elle doit le calmer.
- Doucement, oui comme ça. Mets la moi maintenant. Oui, comme ça, vas-y, pousse !
Le sexe d'André entre doucement dans la chatte largement lubrifiée par une mouille abondante.
Bientôt la belle bite abute au fond de son con accueillant. Elle pose ses mains sur les fesses, le maintenant fermement.
- Bon dieu comme elle est grosse ! Ah oui je la sens bien ! Reste comme ça un petit peu, ne bouge plus pour l'instant. Alors comment te sens-tu ? Explique moi ce que tu ressens, tu es un homme maintenant, enfin presque.
André ne sait expliquer ce qu'il ressent. Sa queue est serrée comme dans un étui de velours chaud et humide. Ses couilles sont trempées par le jus qui s'échappe du con inondé. Sa joie est trop forte.
- C'est bon, bon sang que c'est bon !
Elle continue à le maintenir, réfrénant son envie de se faire pistonner. Enfin elle relache la pression sur les fesses.
- Vas-y maintenant, baise moi doucement. Habitues toi. Tu as déjà joui deux fois, tu dois pouvoir me baiser longtemps. Vas-y comme ça ! Oui, oui c'est bien continue.
André, guidé par sa partenaire la baise au ryhme qu'elle souhaite. Bien qu'encore maladroit il ne se débrouille pas mal. De temps en temps elle le fait ralentir. Elle sent son plaisir monter.
- Ah oui ! Ah oui tu me baises bien mon petit homme ! Ah oui, vas-y, continue comme ça ! Continue ! Oui ! Oui tu vas me faire jouir ! Tu me fais jouir ! Plus vite ! Plus vite ! Ah que c'est bon ! Ah que c'est bon !
André est fou de joie, pour la première fois il va faire jouir une femme. Et pas n'importe quelle femme, une femme d'expérience, une femme qui a du avoir des tas d'amants. Il regarde la figure déformée par le plaisir de Sonia qui s'agite de droite à gauche. Ses cris augmentent, il accélère la cadence.
- Oui ! Oui, plus fort ! Plus vite ! Oui ! Ah oui, ça y est ! Oui ! Ouiiii ! Ahhhh !
Et elle jouit sous ses yeux émerveillés. Les cris semblent durer longtemps. Enfin elle s'apaise, il ralentit la cadence machinalement.
- Non, continue ! Continue comme ça ! C'est toujours bon ! Ah que c'est bon !
Elle lui sourit, un sourire épuisé mais heureux.
- Continue, j'ai bien joui mais je veux jouir encore ! Ah que ta bite est bonne ! Ah je la sens bien ! C'est bon pour toi ?
André est aux anges, sa queue glisse merveilleusement bien dans la gaine parfaitement lubrifiée.
- Ah oui ! Super ! C'est super de faire l'amour.
A nouveau des gémissements se font entendre. Sonia ne quitte pas des yeux le visage de son jeune amant. Elle le trouve beau, et il la pénètre bien. Elle sent sa queue dure la perforer et venir buter à chaque fois au fond de son vagin.
- Tu vois comme tu me fais du bien ? Regarde moi, je vais encore jouir ! Tu vas me faire partir encore ! Ah que ta bite est bonne ! Ah qu'elle est bonne ! Ah oui ! Oui continue !
Les gémissements se transforment de nouveau en cris. La bouche grande ouverte, Sonia est tout près de la jouissance.
- Ah je vais venir ! Je vais jouir ! Je sens que ça vient !
André sent que le plaisir monte aussi chez lui. Sonia s'en rend compte. Elle sent nettement la belle queue la remplir encore plus.
- Toi aussi ! Toi aussi ! En même temps ! Ah oui, Ensemble ! Oui ! Ahhhh !
André n'en peut plus, il se libère à grands cris lui aussi.
- Oui ! Oui ! Tiens ! Ahhhh !
- Ouiiii ! Ah ouiiii ! Inonde moi ! Vide toi les couilles en moi ! Ahhhhh !
André baise Sonia à grands coups de reins, se vidant les couilles pour la première fois de sa vie dans un sexe de femme.
Enfin il s'arrête, s'écroule en haletant sur le corps de sa belle maîtresse.
Ils restent un moment ainsi, Sonia lui caresse doucement, le dos, le bas des reins, les belles fesses dures. André relève la tête qu'il avait enfouie dans le creux de l'épaule, les deux amants se sourient heureux.
- Alors mon jeune loup, heureux ? Comment te sens tu maintenant ?
- Quelqu'un d'autre, tu ne peux pas savoir comme je suis heureux. Dis moi, c'était comment pour toi ?
Elle rit, heureuse de la question, contente de savoir qu'il s'inquiète du plaisir de sa partenaire.
- C'était divin ! Super je t'assure ! Un homme expérimenté ne m'aurait pas fait mieux jouir.
- C'est vrai ? Tu es sérieuse ?
- Je te jure que c'est vrai ! Tu as été parfait, vraiment !
Et elle l'embrasse pour lui montrer sa reconnaissance.
Ils se font des petits mamours pendant un bon moment puis Sonia le ramène à la réalité.
- Il faut faire une petite toilette maintenant.
Il se relève, sa queue s'échappe du con trempé par la mouille et le sperme. Se levant tout en mettant sa main en conque sur son sexe trempé, elle se dirige vers le coin toilette.
Il n'y a pas de douche à la maison. Elle remplit une bassine d'eau et la pose par terre.
Avec une totale impudeur, elle s'accroupit au dessus, les jambes largement écartées et attend.
- Regarde tout ce que tu m'as mis !
André s'accroupit sur ses talons à ses cotés, sa longue bite souillée trainant par terre. Il n'y prend garde, fasciné par le spectacle que la salope lui livre. Son sperme s'écoule en filets, par à-coups, faisant des auréoles blanches dans l'eau claire.
- Regarde ton sperme, regarde tout ce que tu m'as mis !
Elle fait durer le plaisir, le regardant de temps en temps avec un air salace. Enfin elle prend un gant de toilette, le mouille et le passe sur son sexe, le débarassant de la mouille et du reste de sperme collé aux poils. Elle rince le gant puis se met à laver la bite d'André qui se laisse faire, ravi. Eclatant de rire, elle simule une branlette. Ils rient ensemble, heureux de vivre.
Ils se relèvent, elle jette l'eau, reste à le regarder un moment puis, entourant son coup de ses bras, elle l'embrasse tendrement. S'écartant, elle lui dit :
- Tu es gentil, toi ! Gentil et bon baiseur. On recommencera tu veux bien ?
- Bien-sur, tous les jours si tu veux !
Sonia est heureuse. Elle a trouvé un amant à domicile et en plus, un amant qui promet. Un amant qui va avantageusement compenser les piètres et rares prestations de son mari.
Ils se quittent sur un dernier baiser, et André retourne dans sa chambre. Il est tard et sa mère ne va tarder à rentrer. Repu de satisfaction, il s'endort presque aussitôt.