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Proposée le 2/02/2011 par enkor e enkor
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Le premier week end de septembre, Thibaut et Léa m'ont proposé de partir en week end avec eux à la mer.
- Ca te dirait deux jours à la mer. On peut disposer d'une petite maison en bois sur la plage ? Me demande Thibaut
- Bien sûr que ça me dirait. Surtout si c'est avec vous... Je lui réponds.
Le samedi matin de bonne heure, nous voilà partis. Dans la voiture, déjà, c'est la grosse ambiance : Musique, rires et blagues. C'est qu'on commence à bien se connaître et à s'apprécier. Il faut dire que, depuis la "fête du slip", on se connaît même intimement, ça aide pour l'ambiance ! Après une heure trente de route, on arrive à destination. Immense plage de sable, beau soleil, l'océan est calme. La "petite" maison en bois qu'on leur a prêtée fait partie de toute une kyrielle de maisons en bois, plantées sur pilotis en arrière de la plage, le long des dunes. C'est très coloré et très gai. La leur est une des dernières de la file. Il y a deux pièces, dont une avec un feu de bois mais, c'est sans eau et sans électricité : Ce sera un week end Robinson. Ca fait beaucoup penser aux maisons du film "37,2 le matin".
Allez, vite sans perdre de temps on file prendre son premier bain. Chacun enfile son maillot, vert fluo très mini pour Thibaut, jaune fluo pour Léa et rouge pour moi. Je vous l'ai déjà dit, Léa et Thibaut sont fans de slips mais aussi apparemment de slips de bain. Je les soupçonne d'en avoir aussi une belle collection... On court vers l'océan. A cette heure là, à cette extrémité de la plage il y a encore très peu de monde. Léa et Thibaut font glisser leurs maillots et m'invitent à faire de même.
- T'inquiète ! Y'a encore personne et, en plus, ici c'est toléré naturiste, alors...
A cette époque de l'année, la mer est encore chaude de toute la chaleur de l'été. On entre dans l'eau sans problème. Qu'est ce que c'est agréable de sentir la caresse de l'eau sur TOUT son corps ! C'est incroyable la différence de sensation que ça peut faire. Ca donne un sentiment de liberté incroyable. Nage, plongeaons, chahuts, éclaboussements, frôlements des corps, tout y passe dans de grands éclats de rire. De temps à autre, des marcheurs passent le long de l'eau et s'arrêtent quelques secondes pour nous regarder. Léa et Thibaut cherchent à me faire couler mais je soupçonne des arrières pensées dans leurs empoignades insistantes... Il faut bien dire que ce n'est pas désagréable du tout de sentir tout contre soi un beau corps musclé qui vous empoigne... De partout. Après un long moment, on regagne nos serviettes pour se faire sécher au soleil qui commence à donner une bonne chaleur de fin d'été. Sentir ainsi la caresse du soleil sur tout le corps, quel délice ! J'en profite pour admirer à nouveau leurs superbes corps. Thibaut a vraiment un très beau cul très galbé avec des fesses incroyablement rebondies et une chute de reins à... tomber ! Léa a surpris mon regard.
- Tu fantasmes sur les fesses de Thibaut ?
- Ben... Oui, c'est vrai qu'elles sont super belles, non ?
- C'est ce que j'ai vu en premier chez lui et je me suis dit aussitôt : Ce mec doit être un super bon coup !
- Et encore, vous n'avez pas vu le devant ! Rigole Thibaut.
En bons adeptes du naturisme, ils sont intégralement bronzés. Tiens, d'autres naturistes viennent poser leurs serviettes un peu plus loin en nous faisant un petit signe. Vers 14 heures, on décide de remonter à la cabane.
Un petit barbecue avec des crevettes grillées et des salades, pris sur le petit ponton de bois devant la maison, en plein soleil. Que c'est bon d'emmagasiner ainsi les derniers rayons de soleil de l'été. On a l'impression de gorger son corps en prévision de l'hiver. Allez, hop ! On ne résiste pas à l'appel d'un deuxième bain de soleil qui fera office de sieste en même temps, à même le ponton de bois. Cette fois, on garde nos maillots car les cabanes environnantes commencent à se peupler et Léa et Thibaut ne veulent pas gêner leurs voisins. Par moments, on sombrerait bien complètement dans une douce torpeur. Ayant un peu trop chaud, je file me doucher à la douche publique installée non loin de là, le long des dunes. Et on reste ainsi un long moment à se dorer sous toutes les coutures. Vers seize heures, Léa nous annonce qu'elle va faire du shopping et quelques courses, qu'elle n'a besoin de personne et qu'on pourrait en profiter pour faire un petit peu de dériveur, vu qu'un léger vent de sud-ouest vient de se lever.
- Bonne idée ! Ca te dirait, Jo ? Me lance Thibaut. On dégage de dessous la cabane le 420 un peu fatigué et on le roule jusqu'à l'eau. Thibaut a l'air de bien connaître l'art de préparer un bateau et, en deux temps trois mouvements, nous voilà partis vers le large. Thibaut m'invite alors à me débarasser de mon slip de bain pour mieux laisser le soleil et le vent caresser tout notre corps. Il me dit qu'en voile de plaisance, très souvent, les plaisanciers sont nus. Comme souvent, il a raison. C'est délicieux de sentir la brise, les embruns, le soleil nous caresser. Lui aussi a l'air d'apprécier car je vois sa bite se gonfler légèrement. Du coup, cela me met rapidement dans les mêmes dispositions, ce qu'il remarque tout de suite. on continue ainsi à naviguer en s'éloignant de la plage. Thibaut m'explique simplement la marche à suivre : Il faut que j'équilibre le bateau avec le poids de mon corps et que je me place toujours face à la grand voile. A un moment, il me propose même de prendre le gouvernail et de garder le cap, pendant qu'il va régler le foc avant. C'est alors, qu'à le voir ainsi dans la voilure, ça me fait penser instantanément à la pub pour le parfum masculin, dans une émission du soir sur Canal + que j'ai vue tout l'hiver. C'est vrai qu'en plus, il ressemble au mec de la pub, en blond plutôt qu'en brun.
- Normalement, d'ici quelques temps, il devrait y avoir une inversion du vent qui nous ramènera vers la plage...
- Il vaudrait mieux...
- En attendant, on pourrait mettre en panne !
- ... ?".
Et le voilà qui affale la grand voile et le foc, laissant le bateau gliser sur son aire.
- Il n'y a plus qu'à attendre le vent de mer..
- Et on fait quoi en attendant ?
- Devine, me dit Thibaut en se rapprochant de moi. Cette fois, je vois bien sa bite nettement dressée. Il me rejoint dans le fond du bateau tout encombré de voiles.
- Ca te va comme programme ?
- Ben... Oui !
- Tu comprends maintenant pourquoi les marins sur les bateaux...
- Charrie pas, ça fait pas une heure qu'on est parti !
Il rigole. Et le voilà qui me caresse de partout. Les cheveux, les tétons, le ventre, les cuisses. Il promène sa langue sur mes abdos, sur mon ventre...
- T'es déjà salé ! Je vais te dessaler !
Doucement, je sens sa tête glisser vers ma bite dressée elle aussi comme un mât de misaine ! Commence alors une séance de fellaion mémorable. Je me laisse bercer par le léger roulis et tangage du bateau. Je suis aux anges. Je plonge mes doigts dans sa crinière de cheveux, encourageant ses caresses de pressions de mes mains sur sa tête. C'est trop trop bon !
- Thibaut, tu suces comme un dieu !
- Merci !
- Non, sans déc. J'ai remarqué que les mecs suçaient mieux que les nanas, non ?
- Normal, ils connaissent mieux les zones hyper excitantes et savent comment les stimuler
- Ca doit être vrai aussi pour les nanas entre elles !
- T'es pour la séparation des sexes, alors ?
- Non ! Je suis pour le grand mélange ! C'est pas pareil !
Ca nous fait bien rigoler tous les deux.
- Laisse moi te faire pareil, Thibaut.
Je crois qu'il n'attendait que cela. On inverse donc les positions et je m'applique à lui procurer du plaisir... Au ralenti. Ni l'un ni l'autre, on ne veut aller jusqu'à l'explosion finale. On préfètre s'agacer et faire monter la pression tout au long de la journée. Tout en lui agaçant le gland qu'il a déjà bien luisant, je lui masse les couilles - qu'il a rasée s-, la raie, les fesses. Je m'amuse à lui titiller la rondelle, il m'offre encore plus sa bite en s'arcboutant. C'est le bonheur, oubliés et ballotés ainsi au milieu de l'eau, personne aux alentours, les mouettes pour seuls témoins.
- On devrait se baigner !
- Oui mais... Le bateau ?
- Ah oui, faut toujours qu'il y en ait un qui reste dedans, sinon, il pourrait dériver.
- OK !
Je plonge et je nage aux alentours tout en aspergeant Thibaut. On chahute et, du coup, il ne résiste pas au plaisir de venir me rejoindre dans l'eau. Il plonge !
- Eh ! Tu avais dit qu'il en fallait toujours un dans le bateau !
- On n'a qu'à rester à proximité. Il pourra pas se sauver bien loin, il a pas les voiles !
On chahute tous les deux en se collant de plus en plus l'un à l'autre. A un moment, il me coince contre la coque qu'il a attrapé d'une main et m'embrasse furieusement. De son autre main, il m'empoigne les fesses et me plaque contre son sexe dressé. Cool !
Maintenant, il m'enserre la taille de ses deux jambes croisées et, porté par l'eau, il cherche à s'empaler doucement sur ma bite dressée. Je sens, sur le bout de mon gland, sa rondelle qui se dilate petit à petit. Je pousse très lentement, très doucement. Je suis cramponné à ses fesses et je fais doucement le ludion. A son air extasié, je vois qu'il apprécie de plus en plus. Putain c'est encore plus agréable dans l'eau ! Ca y est, mon gland est passé; il bascule la tête en arrière et je vois son regard chaviré.
- Je te sens, je te sens ! C'est bon ! continue !
Petit à petit, lentement, langoureusement, je m'enfonce en lui. Je sens la chaleur de son ventre autour de mon membre. Je le lime très doucement. Cela dure ainsi un bon moment, sans qu'on aille jusqu'à la jouissance, on préfère faire monter la pression tout au long de la journée pour arriver au feu d'artice de la nuit.
- C'était trop bon ! Me souffle-t-il en plantant ses magnifiques yeux verts dans les miens.
- c'était trop doux. Tu sais ce qui me fait le plus délirer ? C'est quand je fais l'amour avec Léa et, qu'en même temps, un mec me baise... !
- Eh ! La journée n'est pas finie ! Message reçu !
Ce mec me bouleverse par sa sincérité, sa spontanéité,... Sa beauté.
- A moi, maintenant !
Il me demande de m'accrocher au rebord du bastingage du bateau et glisse le long de mon corps, sous l'eau. Il m'enserre les jambes de ses bras et je sens sa bouche sur mon sexe. Il me suce légèrement mais doit remonter prendre de l'air. Aussitôt, il replonge et reprend ses caresses buccales. Délicieux ! Je n'ai qu'une envie c'est de m'enfoncer complètement dans sa gorge mais je ne veux pas le noyer non plus ! Je sens sa langue qui virevolte sur mon gland. D'un seul coup, tout ceci me fait penser à la chanson de Renaud "La mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans". Ca me fait rire. Quand il remonte, reprendre de l'air, je lui dit et ça le fait bien rigoler. Comme le vent commence à se lever, Thibaut décide qu'il faut profiter de l'occasion pour revenir vers la plage. Le voir sortir, ruisselant, de l'eau en essayant de grimper dans le bateau par l'arrière, en donnant de grands coups de bassin est un spectacle magnifique. On dirait qu'il fait l'amour au bateau ! Ca y est ! Nous repartons après avoir hissé les voiles.
- Cette escale, c'était le pied !
- c'est clair !
Et nous voilà voguant vers la côte, avec un bon vent de côté. A un moment, on se fait doubler par tribord par un autre dériveur plus rapide que nous. Il est barré par deux gars superbes, nus eux aussi. L'équipier est même carrément en trapèze de rappel, totalement hors du bateau.
- Salut les gars, Ca roule ?
- Pas de problèmes, tout baigne ! Déjà ils s'éloignent.
- Tu as vu, me dit Thibaut, eux aussi sont nus, non ?
- Ce que j'ai surtout remarqué c'est la superbe trique du mec qui était en rappel ! Pas gêné, le mec !
- C'est normal, avec un vent pareil, à poils, en rappel, c'est le super pied !
Au bout d'une heure, nous voilà revenus sans encombres à la plage, après avoir tiré de nombreux bords. On range le bateau et le matériel. Léa n'est pas encore rentrée, alors on décide d'aller faire une longue balade le long de la mer. Thibaut se change, boxer de bain blanc et marcel noir et nous voilà partis. On marche pieds nus dans l'eau, juste là où les vagues viennent mourir, tout en discutant à bâtons rompus. On marche ainsi pendant plusieurs kilomètres, la plage est immense. Evidemment, plus on s'éloigne, moins il y a de monde. Et pourtant, là bas, au loin, on aperçoit deux silhouettes qui se dirigent vers les dunes.
- Ah ! Je crois qu'on va avoir du spectacle ! rigole Thibaut. Tu paries quoi ? Homme et femme, homme et homme, femme et femme ?
- Je sais pas, j'arrive pas à distinguer.
On se dirige, d'un pas pressé, vers l'endroit où les deux silhouettes ont disparu. Au bout de dix minutes, on atteint approximativement l'endroit et on commence à marcher dans les dunes, l'air de rien.
- Tu sais, ça m'étonne à moitié, me dit Thibaut, c'est quand même un endroit connu pour ça, les rencontres coquines dans les dunes.
- ah bon ?
Au bout de quelques minutes, Thibaut me fait signe de m'allonger dans les oyats. Ca y est, je les vois, moi aussi, dans le creux suivant. Il avait tout bon, ce sont bien deux hommes allongés nus sur une large serviette rouge. Ils sont entrain de faire l'amour. Excités, on s'approche doucement en rampant commme des Sioux ! Ils sont face à face, celui du dessous enserre le corps de son ami de ses jambes croisées. Ils sont très excités tous les deux et poussent des cris que l'on entend très bien. Celui du dessus plonge et ressort une énorme bite du cul de son ami, avec une belle cadence. Nous aussi, finalement, ça nous excite grave de jouer ainsi les voyeurs, allongés sur le sable, en maillots de bain, côte à côte. Je sens la main de Thibaut se déplacer sur le sable et venir me caresser la bite déjà bien dressée à travers le maillot. Je lui passe la main dans le boxer et glisse mon index dans sa raie puis caresse sa bite mouillée par en dessous. Ca l'excite bien. Il se met à se frotter contre le sable, emprisonnant ma main sous sa bite tendue. Les deux hommes s'agitent de plus en plus. Ils sont mignons, assez poilus. Celui qui pilonne son ami a un très beau cul. Tout à coup il se retire et dans un long cri, il jouit sur le ventre de son copain qui se branlait à tout rompre. Son copain lui prend alors sa bite et, à deux, ils le branlent jusqu'à la jouissance. Très joli tableau !
- Attends, on va leur faire une surprise me chuchote Thibaut.
- Déconne pas !
- T'inquiète ! Fais comme moi, ça va les faire rigoler...
Alors, d'un seul coup, il se redresse sur le bord de la dune, leur fait un signe avec son pouce levé, fait demi-tour en m'attrapant par la taille et en glissant sa main sur mes fesses dans mon slip de bain. Du coup, je fais comme lui. Il m'empoigne alors et me donne un long baiser. Et on s'éloigne, complices. Tout ceci nous a bien échauffé et, du coup, on éprouve le besoin de se baigner pour faire baisser la pression. On repique donc une tête dans l'océan.
- On devrait peut-être rentrer, Léa doit être revenue, non ?
- Si tu veux.
Après une bonne heure, on retrouve la maisonnette et Léa. On lui raconte nos aventures et Thibaut rajoute même des détails sur la vie des marins en mer... Ce qui fait bien rire Léa. Le soir tombe, il va y avoir un super coucher de soleil sur la mar, alors on reste là à contempler tout ça. La plage se vide tout doucement. Cet instant est magique. Les spectacle est trop beau, on est bien ensemble... Ce serait ça le bonheur ?
Léa a ramené des carrelets qu'elle a trouvé chez un petit pêcheur local. On décide de les faire au barbecue, sur le sable. Léa a allumé une lampe tempête à pétrole, ça rajoute à l'ambiance zen. On se régale à manger ça avec les doigts et une simple salade.
- On ferait pas un tour en ville, ce soir ? lance Thibaut.
- pourquoi pas, répond-on en choeur.
C'est parti ! On va se balader à pieds, dans la petite ville. Les vacanciers sont repartis en grande partie mais il en reste encore un peu et c'est samedi soir, donc, il y a encore pas mal d'animation. On boit ainsi quelques verres jusque vers 23 heures 30, puis on décide de rentrer. On revient par la plage, les pieds dans l'eau. Du coup, ça donne une idée à Léa.
- Et si on prenait un bain de minuit ? Après tout, il ne fait pas froid du tout...
- Oui, mais il est seulemnet 23 heures 46... Répond Thibaut en se déshabillant déjà.
- Le denier dans l'eau... !
C'est une course folle vers les vagues, la marée est descendante. Pour se donnner du courage, on entre dans l'aeu avec force gesticulations... Y'a même pas besoin ! L'eau parait aussi chaude que dans la journée ! Alors, ça chahute pas mal, ça s'éclabousse, ça s'empoigne... Ce n'est jamais que notre troisième bain de la journée. A un moment, je vois Thibaut et Léa se rapprocher langoureusement et s'embrasser passionnément. Ils sont debout tous les deux, de l'eau jusqu'à mi-cuisses. Le baiser se prolonge, se prolonge. Je les vois s'empoigner et se coller de plus en plus l'un à l'autre. J'ai comme le sensation que Thibaut et Léa veulent menvoyer un message du style "Tu vois, même si on est à trois, on s'aime énormément tous les deux !". Les jambes de Léa s'écartent un peu et, au coup de reins de Thibaut, je comprends qu'il cherche à la pénétrer, comme ça, debout dans la mer, sous mon regard - mais ça, c'est voulu -. Pourtant, j'ai le sentiment qu'ils n'iront pas jusqu'à l'orgasme. C'est juste une excitation supplémentaire, pour eux... Et pour moi !
On revient sur le sable au bout d'un moment et on s'allonge dans le sable qui a gardé la chaleur de la journée. On est ainsi offerts, tous les trois à la nuit, totalement nus et incroyablement biens. Il n'y a qu'un petit problème, c'est qu'on est totalement ensablé !
- Pas grave ! De toute façon il fallait aller se dessaler à la douche, non ?
Ce qu'on fait dans la foulée. A trois sous le jet - tiens, ça me rappelle quelque chose... -, oui mais là, on est "presque" en public, encore qu'il n'y ait pas un chien à l'horizon, vu qu'on est assez éloigné de la ville. Alors, on décide de rentrer à la cabane ainsi, nos affaires sous le bras, nus comme des vers.
- Une boisson ? Demande Léa, une fois arrivés.
- Allez ! Un petit alcool alors ? Tu as pris quelque chose ?
- oui, j'ai du genièvre !!!
- Carrément !
Et on est là, à siroter sous la lune, assis sur le ponton, les jambes pendantes. Tout est calme. On n'entend que le bruit des vagues au loin. C'est vraiment cool ! On voudrait que ça ne finisse jamais. Léa est entre nous deux, elle a passé un bras sur chacun de nous et nous caresse doucement les cheveux.
- Vous savez ce qui serait bien ? C'est que, demain matin, on fasse un long jogging sur la plage, tous les trois...
- Oui, mais alors, on va se coucher tout de suite et... On dort toute la nuit répond Thibaut en éclatant de rire.
- En parlant d'aller se coucher les garçons ? Interroge Léa en augmentant la pression de ses mains sur nos têtes...
On a compris le message !
- En ben moi, j'ai envie de voir la mer en dormant ! lance Thibaut en s'allongeant sur le grand tapis devant le feu de bois - éteint, on est en été - et face à la grande porte vitrée qui donne directement sur le plage.
- Tu as raison ! Répond Léa, en revenant déjà avec trois oreillers et une couette légère.
- Pas besoin de couette, il fait chaud, lance Thibaut. Et nous voilà tous les trois, lovés les uns contre les autres, sur le tapis, avec la porte fenêtre légèrement entrebaillée et le bruit de la mer en arrière fond.
Nos mains commencent à se balader sur les corps des uns et des autres, après tout, ce n'est pas la première fois que cette situation se présente. Léa semble maintenant vouloir favoriser un rapprochement entre Thibaut et moi-même. Elle prend nos mains et les promènent sur son corps puis les posent inversement sur nos sexes. Elle s'est placée au niveau des oreillers, à notre tête, à genoux. Elle enserre nos deux têtes avec ses genoux et se penche vers nous pournous embrasser à l'envers. Puis elle s'allonge sur nous et rampe vers nos deux bites pour les agacer de sa bouche. Trop bon !. Elle nous demande alors de nous rapprocher au maximun, en nous mettant de côté, de façon que nos deux bites se collent l'une à l'autre. Collées est bien le mot car, déjà, elles ruissellent de liqueur de désir. ON commence une très jolie et très très lente masturbation à... six mains ! Putain ! Super bon ! Les mains se baladent sur les bites, sur les couilles, partout.
- Tiens, ça me donne une idée ! lance Léa. Jo, est ce que tu accepterais que je te filmes entrain de faire l'amour avec Thibaut ?
- Est ce qu'on t'a déjà refusé quelque chose, quand c'est demandé ainsi ? C'est pour tes archives personnelles ? Si tout le monde est OK, alors... "
Déjà Thibaut s'est collé à moi et me laboure le dos avec ses ongles. C'est bien ce que je pensais. On dirait que Léa veut tester Thibaut sur sa bisexualité, sur son attachement à elle,... à moi. Et comme elle préfère contrôler la situation... - si c'est possible-. Léa a allumé une bougie dans un coin de la pièce pour récupérer un peu de lumière pour son caméscope.
- Ca fera de plus jolies couleurs à l'écran !
- Ca mettra ça aussi sur grand écran pour ceux qui passent sur la plage... Non ?
- T'inquiète ! On ne peut pas nous voir, on est en surplomb.
- Si tu le dis... "
J'essaie d'oublier Léa, la plage et tout le reste, mais je dois dire que tout cela rajoute bien évidemment à mon excitation. Avec Thibaut, on s'embrasse avec fougue. Du coin de l'oeil, je vois Léa qui tourne autour de nous avec sa caméra, qui zoome, qui... Je décide de l'oublier un peu et je prends l'initiative. Thibaut est de plus en plus excité. J'entends carrément son coeur battre contre ma peau. Ca doit être son côté exhib qui est stimulé par le caméscope, probablement aussi son côté homo qui le submerge. Si, en plus, Léa est d'accord !
Il rampe partout sur mon corps, promenant sa bite tendue comme un arc et mouillée, mouillée. Je lui rends la pareille, ça l'excite grave.
- C'est bon, allez-y ! Nous lance Léa.
On n'avait plus besoin de ses encouragements, on est déjà trop pris par le délire de nos sens. Instinctivement, on se retrouve en position de 69. J'avale toute sa teub à en suffoquer. Je le sens se raidir et frémir de tout son corps. Et Léa qui tourbillonne autour de nous, de plus en plus excitée.
- Avant de jouir, j'aimerais bien en être aussi, nous lance Léa.
- j'ai envie de te pénétrer, Thibaut !
Il se place en levrette et m'offre ses reins biens cambrés et sa rondelle offerte. Presqu'aussitôt, Léa m'amène du gel, enduit copieusement la raie de Thibaut et ma bite. Puis elle reprend sa vidéo. Je passe un doigt à Thibaut qui est déjà bien dilaté, puis deux, puis je commence à le titiller avec mon gland. Il gémit. Déjà, le gland est entré. Je vois Léa qui filme en très très gros plan. Je commence à pousser lentement en me retirant parfois complètement. Petit à petit, je sens ma bite pénétrer de plus en plus dans les entrailles de Thibaut. C'est chaud ! C'est bon ! Ca y est ! J'y suis complètement, je commence de lents va et vients.
- Attendez ! C'est là que j'interviens ! Nous lance Léa. Elle pose le caméscope en marche automatique sur le sol et vient se joindre à nous.
- Vas-y, baise moi, Thibaut ! Elle se glisse sous Thibaut, à hauteur de sa bite tendue comme un arc et attend qu'il la pénètre. C'est clair, Thibaut va jouir par tous les bouts. Il nous faut seulement quelques secondes pour nous coordonner dans nos mouvements réciproques. J'ai ainsi, par personne interposée, l'impression de baiser moi aussi Léa ! Les mouvements de va-et-vient de Thibaut ont pour effet de contracter son anus par intermittence et de m'enserre un peu plus la bite, ce qui me rajoute des sensations. Et on continue ainsi un bon moment. Plusieurs fois, on est au bord de l'explosion, mais, à chaque fois, Thibaut et Léa essaient de contrôler en ralentissant un peu pour faire durer, encore et encore le plaisir de tous. Trop, trop bon !
Je ne crois pas que je vais pouvoir tenir plus longtemps, j'en ai trop envie. Alors j'accélère à fond mon pilonnage. Thibaut a compris, lui aussi, il accélère. Qui a joui le premier, la première ? Oh ! Ca s'est joué à quelques poignées de secondes. Je décharge de longs jets de sperme chaud dans le ventre de Thibaut, à grands spasmes libérateurs. Il ressent la chaleur de mon foutre qui se répand en lui et ça l'excite encore plus pour labourer Léa de toutes ses forces. Il sent le plaisir de Léa monter jusqu'à l'orgasme et alors, seulement, il jouit dans un grand cri libérateur. On reste là plusieurs minutes à essayer de reprendre nos esprits. Avant de plonger dans le sommeil, on décide de regagner le lit mais on veut garder sur nous l'odeur forte de l'amour. Léa s'endort presqu'aussitôt. Thibaut me caresse longuement les cheveux avant de sombrer à son tour. Je resterai encore un bon moment avant de plonger moi aussi. Je me repasse dans la tête tout le fil de cette bonne journée et je repense encore longuement à nous trois, sans cesser de dévorer des yeux le superbe corps abandonné de Thibaut, de m'enivrer de son odeur forte... C'est clair je suis entrain de tomber amoureux de lui. Cette nuit là, je fais un rêve érotique particulièrement chaud. Je suis sous la mer, je nage et des mains, des bouches viennent me lécher, me caresser le sexe. Je n'ai jamais rêvé aussi fort. Du coup, cela me tire à moitié de mon sommeil. Et... je comprends mieux. Thibaut est entrain de me caresser la bite très très doucement, du bout de ses doigts. ce n'était donc pas un rêve. Je m'étais toujours demandé si on pouvait ressentir des sensations physiques pendant le sommeil... Maintenant, je sais ! Du coup, on s'imbrique l'un dans l'autre, mon ventre collé à son dos, ma bite dans sa raie et ma main sur son sexe et on tente de se rendormir ainsi. Dieu que je suis bien !
C'est le soleil qui nous réveille le lendemain, sur le coup de dix heures.
- Salut les garçons ! N'avez rien oublié ?
- ... ?
- le jogging ! Allez, c'était pas une blague !
Un fruit, un verre de jus d'orange, on enfile un maillot de bain, minis slips de bain turquoises et marcels rouges pour eux, souvent habillés pareils, et on file. On court pieds nus, le long des vagues, sur le sable ferme. C'est super agréable. Ca va encore être une belle journée. Très peu de monde, quelques personnes promènent leurs chiens, quelques joggers, c'est tout. Thibaut et Léa ont une belle foulée, ils sont sportifs, en pleine forme, donc le rythme est soutenu. Tous les deux kilomètres environ, on alterne avec une plage de récupération en marchant dans les vagues. On s'est donné une heure. Au retour, pour se relaxer, on décide de se baigner. Un petit peu plus fraîche, l'eau, mais c'est tonique. On se met à nager droit vers le large, et... On nage, on nage, on nage en sachant qu'il y aura forcément le retour. Personne ne veut lacher pied le premier, ça en devient presque un jeu. Sans nous prévenir, Léa fait demi-tour, on la suit. Eh bé ! La journée commence bien ! Déjà deux heures d'exercices physiques. Bon, ça ne peut pas faire de mal, non ? Le midi, ce sera papillottes de saumon, dans les braises du barbecue et pommes de terre dans l'alu. Super bon. L'après-midi s'annonce super beau mais, un tout petit peu venteux. Alors, on décide de lézarder au soleil, complètement nus, dans un creux de dune assez élogné, bien à l'abri du vent. Et une grande partie de l'après-midi se passe ainsi, à discuter de tout et de rien, à lire, à sombrer dans de petites siestes, à se rôtir au soleil - je suis entrain "d'égaliser" mon bronzage -, à profiter du temps qui passe. Comme la conversation vient à un moment sur le yoga, Thibaut et Léa entreprennent de m'expliquer la technique de respiration yogi. C'est assez simple et d'une efficacité immédiate. Tant qu'à faire, Léa m'initie aussi à la relaxation. C'est super cool ! J'ai un mal fou à ne pas sombrer dans le sommeil à la fin !
Mais, Léa a plus d'un tour dans son sac - de plage -, la preuve, elle en sort son caméscope pour nous montrer, sur le petit écran, les séquences d'hier soir... Aurait-elle des arrières pensées ? On regarde ça, tous les trois serrés les uns contre les autres pour bien discerner ce qui se déroule sur le petit écran. Je dois reconnaitre que c'est super bien filmé et que ça nous met dans un état de trouble... Certain. C'est la première fois, pour moi, que je me vois entrain de faire l'amour. Troublant ! Bien évidemment le visionnage de ces ébats nous a passablement échauffés... Assurément, Léa avait des arrières pensées en nous montrant ces images. Sans mot dire, la voilà qui va caler sa mini caméra à quelques mètres de là. Le voyant rouge nous indique qu'elle filme en continu. Léa nous rejoint, réenfile son maillot et nous demande de faire de même.
- C'est pour un remake ? interroge Thibaut. En général, je ne travaille pas le dimanche...
Ayant trouvé une belle plume d'oiseau, Léa commence à nous épousseter toutes les parties du corps recouvertes d'une fine pellicule de sable. Pourquoi se concentre-t-elle surtout sur nos maillots ? On doit reconnaître que ces petits effleurements sont très très agréables. Le gonflement de nos slips de bain est là pour en témoigner. Elle se place alors sous nos têtes, un peu à la manière d'un pelochon. C'est ainsi que Thibaut se retrouve la tête posée sur ses CttCette fois seins et moi sur son slip. Je sens aussi la main de Thibaut qui vient se promener sur mon ventre, à la lisière de l'élastique de mon slip. Bref, on s'échauffe gentiment. Je me retourne à plat ventre et commence à agacer le maillot de Léa : Souffle chaud, mordillements... Je glisse doucement ma langue sous l'élastique de son slip, au pli de l'aine. Thibaut en profite pour glisser ses doigts dans mon slip et me titiller le gland, déjà bien humide. J'entrebaille le slip de Léa et commence à l'agacer du bout de ma langue. Je me rapproche petit à petit de sa vulve d'où coule déjà un peu de liqueur de désir. Léa étant entièrement rasée du pubis - comme Thibaut -, je distingue très bien son clitoris qui commence à se gorger de sang sous mes coups de langue. Je la sens qui commence à onduler sous la caresse humide. Thibaut me rejoint et se joint à moi pour procurer du plaisir à sa copine tout en me massant furieusement les fesses à travers le tissu du slip. Pendant que je continue à exciter son clito, Thibaut, du bout de sa langue, essaie de pénétrer sa vulve, à la manière d'une bite. Léa apprécie de plus en plus. Moi aussi, j'ai passé ma main dans le slip de Thibaut et je lui malaxe la bite et les couilles. Il se frotte voluptueusement contre ma main. A la vitesse à laquelle les mains de Léa fourragent dans nos cheveux, on sent bien que son désir monte de plus en plus
- OOOOh ! Les garçons ! C'est booon ! C'est chaud ! Encooore !
On voit nettement son sexe qui ruisselle de désir et nous qui nous barbouillons de cette liqueur un peu aigrelette. Thibaut lui a passé un doigt et lui caresse l'intérieur du vagin. Léa ondule de plus en plus. Moi aussi, je lui passe un doigt. Mais, il y a chez eux un grand principe : "Ne pas jouir trop vite ! Faire durer !"
Alors, pour décompresser un peu et pour le remercier, Léa décide de s'occuper de Thibaut et me demande mon aide.
Cette fois, c'est au tour de Thibaut de subir nos assauts amoureux. Il me vient une idée et je demande à Léa si cela ne la gêne pas si je refais à Thibaut ce qu'elle lui fait.
- En amour, rien ne me gêne... Me souffle-t-elle. C'est parti pour une longue séance de caresses, de baisers, de léchouilles sur tout le corps de Thibaut qui ronronne de plaisir comme un chat ! Son slip, tendu à bloc, s'auréole d'une tache de plaisir de plus en plus large. Le plus délicieux, c'est la fellation à tour de rôle. On a entrebaillé son slip de bain et, chacun notre tour, on titille sa bite luissante de désir et vibrante de bonheur. Au début, du bout des lèvres, puis de plus en plus profondément. Cette fois Thibaut ne ronronne plus, il grogne carrément de plaisir. Il accompagne de mouvements de son ventre de plus en plus rapides notre succion gloutonne. C'est très très excitant de voir ainsi quelqu'un s'activer à quelques centimètres de soi sur un sexe en folie. Maintenant Léa lui a passé un doigt, ce qui l'a fait tressaillir encore plus. Elle me prend la main et m'invite à en faire autant. Thibaut s'offre de plus en plus à notre caresse. Léa glisse alors sa main dans mon slip et me fait comprendre qu'elle aimerait bien que je pénètre Thibaut pour lui donner encore plus de plaisir. Elle fait glisser ma bite sur le côté de mon slip et l'approche de la rondelle de Thibaut, déjà super dilaté par nos caresses. C'est une sensation inouïe de sentir la main de Léa sur ma tige et mes couilles et qui me guide vers Thibaut et de sentir en même temps sa rondelle qui cède doucement sous mon gland ruisselant. Très vite, je suis dans les entrailles de Thibaut. Je sens sa chaleur, je sens ses contractions autour de mon dard. C'est super bon. Léa a maintenant empoigné mes fesses et accompagne puissament mon mouvement de va et vient. Thibaut est aux anges.
- Allez y ! Défoncez moi !!!
Comment résister à une telle demande, Je me mets à à le pilonner puissamment. J'ai la bite en feu mais, dieu que c'est bon !
Mais Léa veut lui en donner encore plus. Alors, elle vient se placer à califourchons devant sa bouche. Lui offrant son sexe béant à lécher. A sentir tout le corps de Thibaut se tendre, j'imagine bien que son excitation est encore montée d'un cran ! J'essaie de ne pas le limer trop vite car je ne veux pas, moi non plus, jouir avant eux. Rien qu'à voir sa bite tremblante, on peut aisément juger de son état. Lentement Léa glisse, toujours à califourchons, vers la bite dressée de Thibaut qui a compris la manoeuvre. Je vois ainsi sa bite affolée qui cherche l'entrée chaude de Léa qui se dérobe par jeu. Quand, enfin, il la pénètre, je sens nettement la contraction de son anus autour de mon sexe, ce qui me procure encore plus de plaisir. Il faut maintenant qu'on arrive à coordonner nos mouvements à trois, pour le plus grand plaisir de tous. Et cela dure ainsi encore un délicieux moment où, plusieurs fois, chacun notre tour, on est au bord de la jouissance. Mais, on n veut encore et encore...
- Thibaut... Tu sais ce qui serait bien ?
- Non... ?
- Que tu nous prennes tous les deux, Jo et moi.
- En photos ?
- C'est ça, oui... ! Ca te dit, Jo ? Me lance Léa.
- Et comment ! C'est vrai que j'en meurs d'envie. C'est vrai que, depuis qu'on se fréquente, Thibaut ne m'a jamais baisé !
- T'inquiète, je saurai être aussi doux que tu l'as été hier.
- J'amène le gel, lance Léa.
De son sac de plage, Léa la prévoyante, ramène un pot de gel et... le moulage de ma bite (voir la fête du slip, la suite).
- Pour commencer à me dilater, pendant que tu t'occuperas de Jo, je me servirai de ça ! Lance Léa
- Ca fait quand même bizarre de voir sa... Photocopie en 3D ! En tous cas, je vous remercie de l'avoir peinte en or! Dis-je.
Et nous voilà tous les trois occupés à enduire de gel la vraie bite de Thibaut et ma copie. Thibaut, émoustillé a déjà la bite bien dressée et, c'est vrai qu'elle est impressionnante. Pour rire, Léa pose le gode sur la sienne, pour comparer les tailles...
- Tu vois, Thibaut, c'est pour ça que je t'aime tant ! Lance-t-elle en rigolant, en lui faisant constater que sa bite dépasse le moulage de deux bons centimètres ! Mine de rien, Thibaut a l'air assez flatté et moi... Un peu vexé ! Ah les mecs !
Léa et moi nous nous mettons en levrette, côte à côte, bien cambrés tous les deux. C'est alors que mon regard est attiré par quelque chose qui semble avoir bougé au sommet du creux de sable où nous nous ébattons. En regardant mieux, maintenant, j'en suis sûr, ce sont bien deux têtes, à moitié cachées dans les oyats qui nous observent. décidément, Thibaut a raison. Cet endroit est le rendez-vous des exhibs et... Des voyeurs. Perso, cela ne me gêne pas spécialement; au contraire cela rajouterait à mon excitation. Du coup, je décide de ne rien dire à mes amis.
Léa commence à jouer avec son sex-toy et essaie de se le faire pénétrer petit à petit. Pendant ce temps, Thibaut commence à s'occuper de mon cas... Je sens sa langue qui me caresse le dessous des couilles : Super bandant !
Puis je sens sa petite langue pointue qui vient me titiller l'anus et me le caresser doucement. Encore plus délicieux. Sous la caresse, je me cambre encore plus et m'offre à lui. Il alterne ses petits coups de langue avec un doigt qu'il a enduit de gel. Assez vite son doigt passe sans problème et il commence à me caresser l'intérieur en tournant. Je vois que Léa, à côté de moi est bien avancé dans sa préparation. Thibaut s'est redressé et je sens à présent qu'il guide son gland de sa main pour essayer de me pénétrer. Il procède par petits coups délicats. Assez vite,je ressens son gland qui passe. A ses ongles qui me labourent les flancs, je devine le plaisir qu'il ressent. Alors, très délicatement, il commence à pousser et à se reculer pour essayer de me pénétrer totalement. dans mes entrailles. C'est doux, c'est chaud, c'est...
- Thibaut ! Thibaut ! C'est trop bon ! Ouuuiii !
Je sens bien la chaleur vibrante de son dard qui glisse maintenant.
Commme prévu, Thibaut va nous prendre à tour de rôle, Léa et moi. Léa a retiré son gode, Thibaut se retire et vient la pénétrer d'un seul coup. Elle gémit sous la poussée. Il commence quelques va-et-vient puis se retire à nouveau et vient me défoncer à mon tour. Et ainsi, de nombreuses fois et de plus en plus vite. A un moment, je repense à nos deux spectateurs et je me dis qu'ils doivent être à la fête devant un tel spectacle. D'ailleurs, je vois nettement maintenant leurs deux têtes très très proches l'une de l'autre... Sous la bonne chaleur du soleil et à cause de son agitation grandissante, Thibaut commence à se couvrir de sueur. Il n'en continue pas moins son pilonnage qui le met en transes.
C'est alors que Léa me prend la main gauche et vient me la poser sur sa chatte qui ruisselle. Je lui frotte la vulve et lui excite le clito. Elle me prend alors la bite et veut me faire comprendre qu'elle voudrait que je la pénètre. Elle se redresse alors sur les genoux, bien foncée sur le dard de Thibaut et m'offre sa chatte à fourer. On ne peut refuser cela à une femme ! Je la pénètre délicatement et commence à la limer. Léa semble ainsi au bord de l'extase à être ainsi stimulée de tous les côtés à la fois. On sent nettement qu'elle est entrain de se laisser emporte par son désir brûlant. Tout à coup, elle m'empoigne la tête et se met à m'embrasser furieusement. Je suis assez surpris mais je lui rends son baiser et c'est alors que je croise le regard de Thibaut, dans son cou, face à moi. Est ce la raison pour laquelle ses coups de reins se font plus furieux ? Est-il encore plus excité ? Ou jaloux ? Ou bouleversé ? J'ai du mal à décoder son regard mais il me semble bienveillant et encourageant. Il a d'ailleurs agrippé mes fesses et moi les siennes et on s'active de plus en plus vite. Tacitement, on a décidé d'aller jusqu'à l'explosion, pour le plus grand plaisir de Léa qui a l'air totalement ailleurs. Tout à coup, nous sentons des ondes parcourir tout son corps. Elle est entrain d'avoir un orgasme d'enfer, ce qui nous excite d'autant plus. Je sens une grande chaleur envahir tout mon ventre et se répandre dans tout mon corps.
- Je vais jouiiir !!
Et j'explose toute ma jouissance dans son ventre dans un grand cri libérateur. Thibaut continue son pilonnage e , peu de temps après, jouit lui aussi à longs jets brûlants dans sa copine, secouée à nouveau par un deuxième orgasme presque simultané. On retombre tous les trois sur la grande serviette, totalement hors d'haleine, le coeur battant à tout rompre.
- Putain ! Quel pied !
On essaie de reprendre nos esprits. C'est alors que je vois nos deux spectateurs se relever et c'est à ce moment que je reconnais l'équipage qui nous a doublé hier en bateau. Ca ne m'étonnerait pas du tout que ces deux là soient homos. Thibaut aussi les a vus et me fait un clin d'oeil complice.
La fin d'après midi passera à essayer de récupérer un peu de forces en se laissant sombrer dans de délicieux moments de torpeur comateuse. Vers 20 heures, le soleil commence nettement à décliner et on décide de regagner la cabane. En chemin, on croise sur la plage nos deux "spectateurs" occupés à ranger leur bateau, totalement nus. Ils nous font un grand signe de la main doublé d'un grand sourire. Pourquoi, à ce moment là, ai-je eu la sensation que Thibaut et Léa les connaissaient déjà ? Font-ils partie de la collection de godes, eux aussi ?
Après un peu de rangement, on décide de rentrer pour éviter les bouchons de retour de plage.
Wouaah ! Ce fut un super week end. Je m'empresse de les remercier pour tout et je réalise que je m'attache de plus en plus à eux...
Dans la voiture qui roule dans la nuit, tout à coup, brutalement, je suis submergé par une énorme boule d'émotions qui remonte d'un seul coup. Ce week end, c'était TROP ! Trop de bonheurs, trop de plaisirs, trop de beauté. Sans pouvoir les retenir, les larmes se mettent à couler silencieusement. Un pur moment d'émotion...