Faites nous sortir de là !

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Proposée le 2/02/2011 par want2beaslave

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Ce récit se suffit à lui même, mais pour comprendre les subtilités je vous conseille la lecture du premier récit, « Pris la main dans le sac ». Ça ne peut pas vous faire de mal, bien au contraire ;-)

***

3 semaines ont passé depuis cet après midi mémorable. Ma vie étudiante est presque redevenue normale.

J'ai appris que Fanny a un petit ami, mais je ne pense pas qu'elle l'ait mis au courant de notre aventure. Elle fait d'ailleurs comme si de rien n'était quand on se croise, c'est à dire assez souvent étant donné qu'on est dans la même promo. Je lui fait la bise sans plus, je n'ai jamais osé la peloter un peu devant les autres.
Je n'ai pas revu Corinne par contre, je ne suis pas encore prêt à la revoir surement, j'ai séché tous ses cours en amphi, et je n'ai pas le courage d'y retourner pour l'instant. Par contre j'ai toujours sa petite culotte bordeaux que je garde précieusement dans une poche de mon blouson et que je respire à plein poumons pour me rappeler ce formidable moment.

Et enfin, j'ai croisé plusieurs fois l'autre étudiante ? dont je ne connais toujours pas le prénom d'ailleurs - elle m'a souri mais entourée de ses camarades elle ne m'a rien dit. Je l'ai vu se retourner plusieurs fois juste avant de rentrer aux toilettes, peut-être me cherchait-elle du regard pour ensuite me faire un signe, mais maintenant que toutes les promos ont fait leur rentrée il y a beaucoup plus de monde dans l'IUP, et les toilettes ne sont plus calmes comme il y a quelques semaines, difficile donc de la suivre une nouvelle fois.

***

L'heure des habituels "projets" arrive à grand pas, c'est quelque chose sur lequel on doit travailler en groupe et qui recoupe différentes matières. C'est un coefficient très élevé pour l'obtention du diplôme, il ne faut donc pas se tromper dans le choix du sujet ni dans la composition du groupe, de 3 à 4 personnes généralement.

Les sujets les plus intéressants sont tous rapidement pris, et mes amis ont déjà fait un groupe de 4, je me retrouve donc tout seul sans savoir quoi choisir. Je parcours des yeux une nouvelle fois la liste de tous les sujets proposés, quand je tombe sur un des derniers groupes encore incomplets. Il traite d'un sujet qui ne m'attire pas spécialement, mais ce qui m'attire c'est la composition du groupe, puisqu'on trouve Pierre qui n'est autre que le major de la promo l'année dernière, ainsi que Fanny. Je ne peux pas laisser passer cette occasion, et je me rajoute à la liste.

Quelques jours plus tard, une fois tous les groupes composés, la liste des tuteurs nous est communiquée, et oh surprise, ça sera Corinne pour nous. Je ne sais pas trop comment le prendre, je n'ose toujours pas retourner à ses cours, mais cette fois ci je n'y échapperai pas, va falloir assumer et lui faire face.

On échange d'abord quelques emails avec elle pour convenir d'un planning à respecter dans notre travail, et on fixe la date de notre première réunion.
Sous l'impulsion de Pierre qui, en chef de projet improvisé, nous distribue les tâches à accomplir, nous avançons rapidement, et la réunion arrive à point nommé pour valider notre avancement.
Malheureusement Corinne nous prévient la veille par email que la réunion est annulée sans nous donner de raison, et qu'elle est repoussée à une date ultérieure.

Sans nouvelle de sa part pendant quelques jours nous sommes un peu bloqués, et on décide donc d'aller la voir à l'improviste dans son bureau au labo informatique pour essayer de lui poser quelques questions avant de rentrer chez nous.
Arrivé devant le labo qui jouxte les salles de cours de l'IUP, on sonne au bureau de Corinne. C'est une voix féminine qui répond, mais ce n'est pas notre prof.

Quelques instants plus tard, une jeune femme viens nous ouvrir. Elle se présente, elle s'appelle Mireille, elle est doctorante et travaille sur les mêmes projets que Corinne, et elle nous propose gentiment d'essayer de répondre à nos questions. Elle nous guide donc vers son bureau, tandis que Fanny et Pierre sont déjà en train de lui parler des points qui nous bloquent. Je reste un peu en retrait pour observer ce qui se trame de ce côté de l'IUP, car c'est plutôt un lieu réservé aux professeurs dans lequel les étudiants ne mettent que très rarement les pieds. Une première chose m'interpelle, il n'y a personne, tous les bureaux sont vides, et on ne croise qu'une secrétaire qui nous salue à peine, pressée visiblement de quitter les lieux. Mais où sont donc tous les gens travaillant dans ce labo ?

« Il y a une réunion très importante ce soir avec tous les professeurs, c'est pour ça qu'il n'y a personne ici. »

Je rêve ou bien Mireille vient de lire dans mes pensées et de répondre à ma question ? Enfin c'est peut-être tout simplement un de mes deux camarades qui a posé la question, que je n'ai pas entendu, perdu que j'étais dans mes observations.

« Et puis les doctorants sont déjà parti, il commence à se faire tard. », continue-t-elle.
« Ah, on vous dérange peut être ? Si vous devez rentrer on peut repasser demain matin. », s'empresse de répondre Pierre.
« Non non je ne suis pas pressée, rassurez-vous, et puis si je peux soulager un peu Corinne qui est très occupée en ce moment je suis sûre que ça lui fera plaisir ! », dit-elle en souriant.

On continue de suivre Mireille, décidément c'est très grand ici. Toujours en dernière position, je m'engage dans l'escalier en colimaçon menant au premier étage. En levant les yeux je ne peux m'empêcher de regarder et de comparer les 2 croupes qui remuent en rythme sous mon nez.

Fanny, fidèle à elle-même, porte encore une courte jupe, et pour se protéger du froid qui commence à arriver elle a des collants ou des bas de laine rayés multicolores. C'est une jupe en jean plutôt serrée puisque ça lui aplatie bien les fesses, et pour les avoir vu de très près je sais qu'elles ne sont pas plates du tout !

Mireille quand a elle porte un tailleur vert pomme qui s'accorde avec ses cheveux blonds, c'est plus stricte comme tenue mais ça ne met pas moins en valeur ses formes et notamment sa chute de reins.

On s'installe ensuite enfin dans son grand bureau qu'elle partage avec Corinne. Pierre et Fanny lui posent beaucoup de questions, mais comme ça ne concerne pas directement ma partie du projet, je finis par décrocher un peu, et je suis plus intéressé par le croisé - décroisé de jambe de Mireille que par ses réponses.

Fanny finit par le remarquer et me donne un coup de pied discret pour me faire rentrer de nouveau dans la conversation. Je prends quelques notes sur cette fin de réunion, puis nous remercions Mireille de nous avoir répondu et nous prenons congé après lui avoir laissé quelques documents à remettre à Corinne

On sort du bureau et on se dirige vers la sortie, tout en discutant des orientations à donner à notre travail. Arrivés devant la porte de sortie du labo on la trouve fermée de l'intérieur, ce qui n'est pas le cas d'habitude, peut-être est ce dû à l'heure tardive. On est tous un peu fatigué par notre journée, et l'idée de refaire le chemin inverse pour aller demander à Mireille de venir nous ouvrir ne réjouit personne.
Pierre par galanterie propose de tirer à pile ou face qui de nous deux ira rechercher Mireille pour qu'elle vienne nous ouvrir. Face j'y vais, pile Pierre y va? Face, ça sera moi.

Je pars sans broncher, tandis que les 2 autres s'installent confortablement dans le canapé à côté de la porte d'entrée. Je ne croise toujours personne, décidément c'est bien vide. J'accélère même le pas, me disant que Mireille est peut être en train de partir elle aussi. Arrivé à l'étage je suis soulagé, il y a toujours de la lumière dans son bureau.

Je frappe deux petits coups sur la porte entrouverte, et n'ayant pas de réponse j'entre dans le bureau. Je m'arrête net et je ne peux m'empêcher de lâcher un petit cri d'étonnement quand je vois Mireille assise sur son fauteuil. Elle tient dans sa main gauche un sous-vêtement qu'elle a porté à son visage, et qu'elle respire à plein nez. Elle a glissé sa main droite sous sa jupe et est visiblement en train de se masturber.

Je ne sais pas comment réagir, étant donné qu'elle n'a pas l'air d'avoir senti ma présence. L'alerter serait me mettre dans une situation embarrassante, situation dont je me passerais bien étant donné les récents évènements, surtout qu'elle travaille avec Corinne. Je pourrais sortir sans faire de bruit et trouver quelqu'un d'autre pour nous ouvrir, mais ça serait uniquement pour me donner bonne conscience, je sais pertinemment qu'il n'y a personne d'autre ce soir pour nous ouvrir.
Je pourrais également retourner voir mes deux camarades, mais je me vois mal leur expliquer ce que j'ai vu.

Non vraiment, je ne sais pas quoi faire. J'ai toujours le regard fixé sur Mireille, et plus particulièrement sur ce qu'elle tient à la main. J'ai l'impression que c'est la petite culotte bordeaux de Corinne que j'ai récupérée la dernière fois.
Je plonge les mains dans les poches de mon blouson, et je cherche frénétiquement parmi toutes les affaires qui s'y trouvent, mais il faut se rendre à l'évidence, j'ai dû la faire tomber tout à l'heure sans m'en rendre compte, et Mireille l'a ramassée.

Ah mais comment ai-je pu être aussi bête et la laisser tomber ? J'ai dû machinalement commencer à jouer avec quand j'étais pris dans le jeu de jambe de Mireille, puis quand Fanny m'a rappelé à l'ordre j'ai dû malencontreusement la laisser tomber.

Je me demande bien a quoi elle a dû penser quand elle a vu ce sous-vêtement à côté de ma chaise. En tout cas ça à l'air d'avoir réveillé en elle un fantasme, puisqu'elle continue à respirer de grandes bouffées de cette petite culotte tout en se masturbant. J'ai même l'impression qu'elle est en train d'accélérer petit à petit.

En tout cas elle n'a pas l'air de réagir à ma présence, toujours dans son rêve érotique, et je l'entends même murmurer quelques mots, je m'approche pour distinguer ses paroles.

« Viens lèche moi. »

Je ne sais pas trop comment interpréter ces mots, est elle consciente de ma présence ? J'en doute. Alors s'adresse-t-elle à une personne dans le fantasme qu'elle est en train d'imaginer ?

Décidément, elle a l'air de vivre un moment très intense.
On continuant de remuer sur sa chaise elle est en train de glisser vers l'avant, ce qui fait remonter sa jupe jusqu'à dévoiler son entrejambe. Je découvre un collant ouvert, avec en dessous une petite culotte blanche qui ne donne envie que d'une chose, de la croquer !

« Oui lèche moi encore. », continue Mireille.

A la vision de cette petite culotte blanche très fine qui commence à être trempée et à devenir transparente, et du petit triangle de poil bien entretenu que je distingue en dessous, ma peur d'être gêné si par malheur elle venait à se réveiller a complètement disparu, et je n'ai plus qu'une envie, c'est d'entrer dans son rêve, et d'être la personne qui lui prodigue tant de plaisir.

J'enlève sans bruits mon blouson et je m'approche de sa chaise à pas de loup, et je me positionne face à elle, puis je m'agenouille. Je touche son genou pour voir si elle réagit, mais il n'en est rien, elle continue à se masturber sans sourciller. J'en profite alors pour écarter un peu ses jambes pour me faire une place et je commence à lui caresser les cuisses.

Elle continue de gémir doucement, mais elle s'est un peu calmée, elle ne se tortille plus sur sa chaise. Son amant imaginaire l'a-t-il laisser tomber ? Ou alors est il en train de changer de position ?
J'accentue mes caresses et je sens sous sa peau chaude tous ses muscles tendus. Des effluves de son sexe trempé remonte jusqu'à mes narines. Enivré par ce délicieux parfum, je plonge tête la première vers son entrecuisse.
Au moment où ma bouche se pose sur sa chatte pour l'aspirer, elle recommence à parler, plus fort cette fois.

« Hum oui, recommence. »

Encouragé par ses paroles je continue à la brouter, et je me délecte des saveurs de sa chatte, au travers de sa culotte d'abord, puis n'y tenant plus j'écarte ce dernier rempart qui se dresse sur la route du jardin secret de Mireille et je pose mes lèvres sur les siennes.

« Oh Corinne, oh oui. »

Intéressant ça, ça confirme que ses paroles ne m'étaient pas adressé, et ça montre que Corinne fait fantasmer bien des étudiants, et pas uniquement moi. Bon par contre je pensais jouer le rôle d'un amant secret dans cette histoire, mais finalement c'est une amante !

Elle a placé une main dans mes cheveux, et l'autre est toujours en train de branler son clitoris quand celui ci n'est pas englouti par ma bouche. Elle commence à gesticuler de plus en plus, peut être est elle en train de jouir dans son rêve ? Je place ses cuisses sur mes épaules et je la maintient au niveau des hanches pour ne pas qu'elle continue de glisser. Elle est complétement affalée dans son fauteuil, et j'ai maintenant son sexe bien ouvert complètement offert pour ma langue qui en profite autant que possible.

Je continue à dévorer son sexe, encourager par ses gémissements...

« Eh bien, on pouvait toujours attendre que tu viennes nous ouvrir ! » lance une voix dans mon dos.

Cette phrase me glace complétement le sang, c'est une chose de se faire surprendre dans les toilettes avec une étudiante, ça en est une autre de se faire prendre la tête entre les cuisses d'une femme qui ne sait visiblement pas que je suis là et dans un bureau d'une prof qui plus est.

Je ne suis qu'à demi rassuré quand je comprends que c'est la voix de Fanny. J'avais oublié qu'elle m'attendait avec Pierre pour sortir du labo. Je me retourne et je vois une Fanny mi-amusée, mi-furieuse. Pierre quand à lui est complètement ahuri, il reste bouche baie et contemple fixement le sexe de Mireille, et je ne sais pas trop si c'est la vue de ce sexe humide et bien ouvert ou si c'est la position dans laquelle je suis qui le laisse sans voix. Surement un peu des deux.

Je reste quelques secondes sans savoir quoi dire ni quoi faire, toujours à genoux devant Mireille. Heureusement, elle me sort de cette situation pour le moins gênante en continuant à rêvasser à voix haute :
« T'arrêtes pas Corinne, t'arrêtes pas ! »

« Mais qu'est ce que tu fais ? », me dit Fanny, on contournant le bureau pour s'approcher du fauteuil de Mireille, qu'elle finit par secouer franchement jusqu'à ce qu'elle ouvre enfin les yeux.
Mireille pousse aussitôt un petit cri de stupeur en voyant son état et sa position. Elle essaye instinctivement de se redresser, mais avec mes bras qui bloquent ses cuisses autour de mon cou elle n'y parvient pas, et avec le fauteuil en cuir qui commence a être trempé elle glisse même de plus en plus et arrête rapidement de gesticuler pour ne pas tomber.

J'essaye d'articuler quelques mots :
- Je suis désolé, je vous ai vu tellement prise dans votre rêve que j'ai voulu vous le faire vivre. J'espère que vous avez apprécié au moins. Mais je ne pensais pas que dans votre fantasme c'était avec Corinne. Enfin peut-être que ce n'est pas un...
- Non, elle ne sait rien de tout ça ! Coupe Mireille qui semble avoir retrouver l'usage de ses cordes vocales. S'il vous plaît ne lui dites pas, implore-t-elle, puis elle ajoute : De mon côté je ne dirais rien, promis.

- Ne vous inquiétez pas pour moi, je ne sais pas comment je pourrais expliquer ça de toute façon, lui dis je. Et ayant remarqué les coups d'oeil appuyés de Fanny vers les lèvres charnues du sexe de Mireille j'ajoute : Mais Fanny voudrait peut être une compensation.
- Mais qu'est ce que tu dis ? Répond Fanny, faussement étonnée.
- Ben son fantasme c'est de faire l'amour avec Corinne, peut-être que tu peux lui donner un avant goût de ce que c'est de le faire avec une fille, dis-je tout en caressant l'entrejambe de Mireille pour y récupérer un peu de cyprine sur mes doigts, que je tends à Fanny en demandant : Tu veux goûter ? Elle est délicieuse.

Fanny hésite quelques instants, mais voyant que je me relève pour lui faire une place elle se rapproche. Mireille se relève enfin, et essaye de protester, mais elle est rapidement interrompue par Fanny qui lui prend la bouche pour un baiser passionné, une main dernière sa nuque, une main sur ses fesses nues.
Mireille essaye de se débattre mollement, mais dès que Fanny commence à lui caresser la chatte au travers de la culotte qui repris sa place elle recommence à gémir et s'abandonne à son amante.

Fanny la fait pivoter puis s'assoir sur son bureau tout en continuant à lui masser le sexe. Elle la prend ensuite par les épaules pour lui faire comprendre de s'allonger sur le bureau, et elle écarte d'un revers de la main les feuilles et autres stylos qui gênent. Mireille est maintenant complètement allongée sur le dos, Fanny lui ôte ses escarpins et repose ses pieds sur le bureau en repliant ses jambes, pour garder un accès privilégié à son intimité.

Pierre, qui observe attentivement la scène depuis tout à l'heure sans mot dire, et qui a du mal à cacher sa gêne tellement il est rouge parle enfin. Il s'adresse à moi à voix basse pour ne pas déranger les 2 femmes :
- Bon on y va ?
- Où veux tu aller ? Tu as bien vu que la porte était fermée de l'intérieur, il faut que Mireille vienne nous ouvrir.
- Je vais bien trouver quelqu'un pour m'ouvrir.
- Tu vas avoir du mal à expliquer pourquoi tu te trouves ici tout seul. Moi je reste profiter du spectacle, tu devrais faire de même, tu ne verras pas ça souvent dans ta vie. Et puis Fanny va nous laisser participer, hein Fanny ? Dis-je en m'approchant de Fanny et en lui donnant une petite claque sur les fesses.
- Pas touche, répond Fanny entre deux coups de langue.

Souhaitant admirer ces 2 jeunes femmes dans leur jeu je ne la dérange pas plus et je m'assois dans le fauteuil de Mireille. J'ai une vue privilégiée sur le cul de Fanny, et je distingue sa tête qui s'affaire entre les cuisses écartées de Mireille.
Pierre quand à lui est assis de l'autre côté de la pièce, près de la porte, et ne s'est toujours pas décidé sur le comportement à avoir. Si on était dans une BD de Tintin on verrait apparaître de chaque côté de sa tête un petit ange lui montrant le couloir, et un petit diable lui montrant les deux femmes allongées sur le bureau.

Fanny se décale légèrement, me laissant entrevoir les caresses buccales qu'elle est en train de prodiguer à Mireille. Elle baisse la petite culotte blanche suffisamment pour avoir ses deux mains libres, mais ne peut l'enlever à cause du collant.
Je la vois qui introduit l'index de sa main droite dans le vagin de sa partenaire, qui n'attendait visiblement que ça. Sa main gauche se promène sur le haut du corps de Mireille pour essayer de déboutonner le tailleur et le chemisier pour accéder à sa poitrine.

Je n'ai qu'une envie, c'est de soulever la jupe de Fanny et de pénétrer tour à tour ces deux petites chattes qui me font de l'oeil depuis tout à l'heure. Mais je respecte la demande de Fanny, et je les laisse à leur relation saphique.
N'en pouvant plus je sors néanmoins mon attribut par la braguette de mon jean pour me branler un peu car il commence à être un peu à l'étroit. Et puis c'est pour envoyer un petit message à Fanny aussi, je n'attends qu'un signe de sa part pour venir les rejoindre.

Mon v?u est à moitié exhaussé quand Fanny décide de passer à l'étape suivante. Elle se redresse face à sa partenaire et toujours en me tournant le dos, elle remonte sa jupe sensuellement le long de ses cuisses, dévoilant le haut de ses bas multicolores. La jupe autour de la taille, ses fesses retrouvent de leur rondeur habituelle. Elle ne s'arrête pas là puisqu'elle enlève également le string rouge qui ne cachait pas grand chose de son excitation.

Peut être qu'elle me nargue et qu'elle veut me chauffer un peu, ou peut être qu'elle veut aller plus loin avec son amante. C'est bien parti pour en tout cas, elle déplie les jambes de Mireille et entreprend de lui retirer son collant et sa culotte en lui soulevant le bassin. Elle les jette négligemment par terre, et je m'empresse de récupérer la culotte pour compléter ma collection. Elle est complètement trempée, c'est encore meilleur.

Fanny remonte ensuite petit à petit sur le corps de sa partenaire en se frottant à elle et en caressant tout ce qui peut l'être. Elle finit par monter elle même sur le bureau en enjambant Mireille. Elle a mis au jour le soutif de Mireille, et masse délicatement ses seins. Elle baisse légèrement le sous vêtement ensuite, juste assez pour mettre les tétons dehors, tétons qu'elle s'empresse de sucer avidement.

Mireille qui à l'air de prendre toujours autant de plaisir sous les coups de langue de Fanny, a glissé une de ses mains vers son entrejambe et se branle le clitoris. Sentant sa partenaire proche de l'extase, Fanny l'arrête rapidement et place cette main branleuse sur son sexe pour faire comprendre à Mireille qu'elle doit aussi s'occuper d'elle.

Fanny continue de remonter à quatre pattes au dessus de Mireille allongée, et les deux femmes sont bientôt bouche contre bouche, poitrine contre poitrine et sexe contre sexe. Elle se frotte et s'embrasse mutuellement, c'est vraiment magnifique à voir, alors à vivre ça doit l'être encore plus !

Fanny fait ensuite le chemin inverse, caressant les seins, les hanches et les cuisses de Mireille qui recommence à gémir. Elle fini par descendre du bureau pour se remettre dans sa position initiale et repart ensuite à l'assaut avec sa bouche, et colle ses lèvres contre celles intimes de Mireille, qui commence à mugir bruyamment, et à se cambrer pour pousser encore un peu plus son sexe dans la bouche experte de Fanny.

Fanny accélère la cadence, et Mireille ne résiste pas longtemps à ses coups de langue, elle jouit brutalement et bruyamment, en se cambrant à s'en casser le dos, toujours allongée sur son bureau.
Fanny, satisfaite, se redresse et admire l'expression de plaisir qu'elle lit sur le visage de son amante d'un soir.

Je profite de ce moment d'accalmie pour dire à Fanny : « Si je puis me permettre Fanny, je crois qu'elle aime particulièrement l'odeur du sexe féminin, peut-être que tu pourrais lui faire goutter la tienne ? »

Mireille, toujours les yeux fermés sur son petit nuage n'a visiblement pas entendu ma remarque, ou en tout cas elle fait comme si. Fanny hésite quelques instants, elle veut surement que Mireille lui rende la pareille. Elle grimpe à nouveau sur le bureau, et ce coup ci elle se retourne pour se placer tête-bêche au dessus de Mireille. Les deux jeunes femmes ont pratiquement la même taille et s'emboitent parfaitement.

Mon champ de vision est maintenant dégagé, et je peux observer en détail les coups de langue et les caresses de Fanny sur le sexe brulant de Mireille. J'essaye d'emmagasiner toutes ses images dans ma tête, elle a l'air de mieux se débrouiller que moi et je ferais bien de m'en inspirer la prochaine fois que j'utiliserai ma langue pour autre chose que manger et parler.

De l'autre côté, le spectacle est tout aussi fascinant à en croire l'expression de Pierre, toujours assis près de la porte. Il a l'air hypnotisé par le cul de Fanny et par Mireille qui commence à déguster sa chatte. Elle a mis ses mains sur les reins de Fanny comme pour la tirer un peu plus vers elle.

Fanny apprécie le traitement, elle stoppe ses caresses et se relève un peu pour s'abandonner complètement à la langue de sa partenaire. Elle commence à gémir à son tour, mais comme elle semble prendre autant de plaisir à en donner qu'à en recevoir, elle ne reste pas longtemps inactive, et replonge rapidement en apnée.

Je bande de plus en plus fort, et je lutte pour ne pas me branler, j'ai mis mes mains dans le dos du fauteuil et elles se tiennent mutuellement. J'ai toujours espoir que Fanny me demande de la rejoindre, et si je commence à me branler je ne tiendrais pas longtemps ensuite.

Le temps semble s'être arrêté, les deux filles allongées l'une sur l'autre continue à se brouter le minou et à se doigter. Quelques gémissements viennent troubler régulièrement le bruit de succion, et j'entends également Mireille grommeler quelques mots que je ne comprends pas, d'où elle est, elle peut difficilement articuler des phrases audibles. Elle peut être reparti dans un délire où elle mélange le réel et l'imaginaire ?

J'entends soudain le bruit de chaussures à talon dans le couloir, qui se rapproche à grande vitesse, puis qui s'arrête juste à la porte d'à côté, et je distingue ensuite deux personnes qui parlent. Il n'en faut pas plus à Pierre pour se lever d'un coup et aller se cacher accroupi sous le bureau de Corinne. J'ai commencé à fantasmer sur le spectacle qui nous est présenté, je mets plus longtemps à réagir, et j'ai juste le temps de ranger ma queue dans son fourreau tant bien que mal avant de voir Corinne apparaître dans l'encadrure de la porte restée ouverte.

« Ouf t'es encore là Mireille, j'ai besoin de la clé du' », commence par dire Corinne avant de voir les deux filles sur le bureau et moi sur le fauteuil.
Elle pousse un cri de surprise étouffé, puis ajoute à voix basse :
« Ah putain il manquait plus que vous, non mais je vous jure... Qu'est ce que vous faites encore là ? Bon pas le temps de m'occuper de vos bêtises maintenant. »
Elle n'a visiblement pas envie que la personne qui l'accompagne sache qu'on est ici.
« Mireille où est ce que tu as mis la clé du placard pour le vidéo projecteur ? Je dois passer dans cinq minutes, et celui de l'amphi vient de tomber en panne. », demande Corinne.

Devant le manque de réaction de Mireille et l'indifférence de Fanny qui ne semble pas disposée à laisser sa partenaire s'échapper, elle se décide à chercher elle-même. Elle déplace frénétiquement les piles de papiers sur son bureau, et regarde rapidement dans ses tiroirs. Elle est tellement pressée qu'elle ne semble même pas remarquer Pierre qui est caché à quelques centimètres d'elle.

Toujours assis sur le fauteuil de Mireille, je regarde de mon côté si je ne vois pas cette clé, parce que je me dis que ça serait la meilleure solution d'apaiser un peu la tension qui règne dans cette pièce, même si ça n'a pas l'air de gêner tout le monde...
Je vois une petite clé à côté du portable de Mireille, je me lève pour la prendre puis je demande à Corinne : « Est ce que ça serait pas celle là par hasard ? »

« Ah si, donne la moi ! » me répond Corinne.

Je tends le bras pour lui donner, mais avant qu'elle n'est pu la récupérer Fanny se relève et me l'arrache des mains, et vient la rentrer dans la chatte de Mireille ! Elle la pénètre avec ses doigts depuis tout à l'heure et n'a donc aucun mal à rentrer profondément.
Au contact de cet objet froid qui vient toucher et rentrer dans son intimité, Mireille ne peut s'empêcher de lâcher un nouveau gémissement.
« Oh oui Corinne, c'est bon ça. »

Cette fois ci c'est clair, elle est repartie en plein délire et ne s'est pas rendu compte que Corinne est réellement à ses côtés, même si ce n'est pas elle qui est en train de la caresser ça ne m'étonnerai pas que ça arrive vu la tournure des événements.
Bon par contre pour la confidence qu'on devait garder pour nous c'est plutôt raté, elle vient de vendre la mèche elle même là...

« Donnez moi cette clé, je n'ai pas le temps de jouer à ce jeu. », fait Corinne d'un ton menaçant.

C'est alors que la seconde voix que j'avais perçu tout à l'heure se fait entendre dans le bureau voisin : « Tu trouves Corinne ? »

« Oui oui, deux minutes j'arrive. », répond Corinne en haussant la voix pour se faire entendre, puis elle s'adresse à nous « Allez y bon sang, donnez moi cette clé. »

Je ne sais pas trop quoi faire et c'est finalement Fanny qui décide pour moi, elle me fait un petit signe de la tête et me tire par le bras pour m'inviter à s'assoir à côté de Mireille.
Elle se relève un peu du doux fauteuil qu'était le visage de Mireille, pour lui laisser un peu d'air et pour se rapprocher de moi et m'embrasser. J'ai à peine le temps de comprendre ce qui m'arrive qu'elle s'est déjà redressé à quatre pattes sur le bureau, et qu'elle plonge une main vers ma braguette restée ouverte.

L'oiseau ressort de son nid avec grand plaisir, il a un peu perdu de sa vivacité avec l'arrivée de Corinne à l'improviste, comme le constate Fanny qui commence à le branler pour lui redonner toute son envergure, et qui en vient rapidement à joindre l'acte à la parole, en l'occurrence ici les mains et la bouche.

Corinne est médusée et ne sait plus quoi dire devant tant d'indécence. Je la sens au bord de la crise de nerf, mais elle fait de son mieux pour ne pas le laisser paraître, heureusement qu'elle est accompagnée par un de ses collègues et qu'elle est pressée par le temps, parce que sinon je ne sais pas ce qui pourrait se passer.

Comme elle voit que personne n'est disposé à lui donner la clé elle finit par venir la chercher elle même au plus profond de sa collègue. Pendant ce temps, Mireille qui ne sent plus le contact de Fanny, qui est malgré tout restée au dessus d'elle à quatre pattes, recommence à se caresser. Corinne s'est rapprochée pour se mettre bien dans l'axe, et fait son possible pour aller droit au but.

Mais c'est raté, Mireille ressent ces mains qui se promènent sur son sexe, et essaye de s'en emparer. Comment pouvez-t-il en être autrement d'ailleurs ? Avec sa chatte trempée et ses lèvres gonflées à bloc, son entrejambe est devenu ultrasensible et réceptif au moindre contact, un simple souffle de vent lui aurait arraché un soupir. Alors pour Corinne qui doit partir à la recherche de la clé perdue dans la grotte du plaisir, ça s'annonce toute une aventure !

Mireille se sert d'une main de Corinne pour se caresser le clitoris, et lui a laissé l'autre main pour explorer l'intérieur de son sexe. Corinne commence prudemment à insérer un doigt dans le vagin de sa voisine de bureau, mais se rend rapidement compte que deux ne serait pas de trop.
Mireille apprécie particulièrement et est loin d'être rassasiée. Elle se cambre encore un peu plus, et entre deux gémissements elle lâche quelques mots :

« Oh j'aime tes doigts Corinne, j'en veux plus ! »

Corinne qui n'a pas suivi toute l'histoire doit se demander se qu'on a fait à sa collègue pour la pervertir à ce point.

Fanny finit par lâcher mon sexe et me repousse, je la regarde pour essayer de comprendre, et je vois qu'elle est en train d'essayer de séduire à son tour Corinne. Je réfléchis quelques instants puis soudain tout s'éclaire, elle a tout programmé depuis qu'elle m'a pris la clé des mains, elle cherchait à placer Corinne dans cette situation pour essayer d'en profiter, et pour ne pas que j'intervienne elle a dû me couper le sifflet, enfin me pomper le sifflet plutôt.

Le sentiment de m'être fait manipuler ne reste pas bien longtemps, l'excitation reprend le dessus et je décide de rentrer dans son jeu. Je me lève du bureau et vient me plaquer derrière Corinne. Pendant ce temps, Mireille s'est emparé du poignet de Corinne et essaye de lui faire faire de va et vient, difficile pour Corinne de trouver la clé dans ces conditions.

Je laisse le haut du corps à l'initiatrice de ce projet fou, et je pose mes mains sur les hanches de ma prof Corinne puis je me promène doucement sur ses cuisses. Elle porte un jean très serré, que j'essaye de défaire bouton par bouton après avoir débouclé sa ceinture.

Corinne ne dit pas un mot pendant ce temps là, et étant de dos je ne peux pas lire l'expression sur son visage. Par contre je vois par dessus son épaule Fanny qui est en train de peloter ses petits seins à travers son pull.

Mon sexe laissé à l'abandon rebondit sur les fesses devant moi, laissant au passage quelques traces sur son jean. Mes caresses se font de plus en plus appuyées, et j'ai l'impression de revivre une scène que j'ai déjà vécue...
Au point où l'on en est autant continuer et essayer de conclure de la même façon, on peut difficilement aggraver notre cas. Ma main se promène à l'endroit où j'ai ouvert son pantalon, et je commence à la masturber au travers de sa culotte.

Mais, toujours attentif à ce qui ce passe par dessus l'épaule de Corinne, je la vois qui a enfin trouvé la clé et qui a sorti ses doigts du sexe béant de Mireille non sans difficulté. Fanny tend le cou, se rapproche du visage de sa prof et commence à l'embrasser sur la joue.

Je sens Corinne hésitante, maintenant qu'elle a la clé elle aurait dû partir, mais elle est bloquée par le bureau sur lequel se trouve Fanny d'un côté et par moi qui suis collé derrière elle et qui l'empêche de reculer. Je suis en train de me dire que c'est gagné, je relâche un peu ma garde, et Corinne profite de cet instant pour me bousculer et se libérer des griffes de Fanny qui essayait de lui prendre la bouche.

Elle gifle au passage l'étudiante, se retourne et me donne une claque également. Je ne l'ai pas volé celle là tiens ! Elle a eu un petit moment de faiblesse comme la dernière fois, mais elle est arrivée à se dominer ce coup ci.

Une fraction de seconde plus tard, Corinne a déjà rebouclé sa ceinture et se dirige vers la porte sans dire un mot. Elle éteint la lumière au passage, ferme la porte et nous enferme à clé dans le bureau !
Ça alors, elle semblait très pressée et désorientée par notre présence, elle n'en a pas perdu le sens des réalités pour autant, puisque nous voilà pris au piège jusqu'à son retour. Si jamais elle revient d'ailleurs, rien n'est moins sûr.

Il faut quelques secondes pour que mes yeux s'adaptent à la pénombre, je me déplace à tâtons jusqu'à la fenêtre pour ouvrir les stores et laisser ainsi entrer dans le bureau la faible lumière des réverbères du parking.

Je distingue de l'autre côté de la pièce la silhouette de Pierre qui est sorti de sa cachette, et essaye de trouver l'interrupteur et d'ouvrir désespérément la porte sans succès. Quand il se rend enfin à l'évidence qu'il est bloqué ici avec nous, il hausse le ton et commence à faire les cents pas, complètement angoissé :
« Mais vous êtes complètement fou ! Qu'est ce que vous lui avez fait ? Et comment on va sortir d'ici ? Parce que j'ai pas du tout envie qu'elle me trouve avec vous ! »

Je le laisse à ses réflexions, ne sachant pas trop quoi penser, tout cela s'enchaine beaucoup trop vite pour moi.

Fanny imperturbable fait comme si rien ne s'était passé, elle semble apprécier sa chevauchée fantastique et est repartie de plus belle. Sa monture n'est pas fatiguée non plus, ce qui est plutôt logique à y réfléchir puisque qu'elle continue de s'abreuver à volonté dans cette source intarissable qui propose un liquide euphorisant et qui n'est autre que la chatte de Fanny.

Les voilà donc reparties, et je me demande si elles ont conscience du temps qui s'écoule et des événements extérieurs. Mireille je ne crois pas, et j'ai des doute aussi pour Fanny qui semble pouvoir continuer ainsi des heures durant.
Mais je refuse que ma bite ne soit qu'une vulgaire diversion quand Corinne est présente, je me rapproche des deux filles, toujours positionnées en 69, et je viens tapoter les joues de Fanny avec ma queue pour lui faire comprendre qu'elle ne peut pas me laisser comme ça.

Pas de réaction, elle continue de me snober en préférant brouter Mireille. Mais après tout peut être qu'elle préfère les filles aux garçons, plus je la vois à l'?uvre et plus je me dis qu'elle est bi, et que ça fait déjà longtemps qu'elle souhaitait faire l'amour à une femme, la dernière fois a été le déclic et elle est enfin passé à l'acte. Et maintenant qu'elle a essayé elle ne peut plus s'en passer.

Mais je suis sûr qu'elle apprécie encore les hommes, j'en ai eu la preuve irréfutable il y a quelques minutes. Une main sur son menton, une autre sur mon sexe, je guide ma perche vers sa bouche, qu'elle gobe sans broncher. Elle n'a rien perdu de ses qualités dans le domaine, et me suce divinement dans son style rapide caractéristique.

Je ne distingue plus Pierre de l'autre côté de la pièce, peut-être s'est-t-il calmé et assis dans un coin, ou alors a-t-il sauté par la fenêtre ? Non si tel avait été le cas je m'en serais aperçu quand même. Et puis je m'en fout en fait, il faut que je profite un maximum de ce qui m'arrive, car la suite risque d'être bien compliqué.

Je la retiens un peu dans ses gestes pour lui faire comprendre de ralentir, sinon je ne vais pas tarder à me vider en elle. Mais ce n'est pas de son goût, elle ne veut pas faire de pause, elle lâche ma queue qu'elle continue à branler doucement, et replonge vers le sexe de Mireille qui apprécie toujours ses coups de langue.

Je me calme comme je peux, on pensant à ce qui va nous arriver ensuite, mais j'ai beaucoup de mal, je revois Corinne séduite par les charmes de Fanny, et moi qui la caresse derrière, et je me fais un film de ce qui aurait pu se passer si elle était restée, ce qui n'est pas un très bon moyen de se calmer.
Je reste ainsi quelques minutes à souffler, appréciant simplement la présence de ces deux femmes faisant l'amour à quelques centimètres de moi.

Un petit cri vient soudain troubler le calme relatif qui s'est installé. C'est un cri de plaisir de Fanny, je vois Pierre en face de moi bouger derrière elle, il est venu la pénétrer sans crier garde. Fanny a été la première surprise puisque comme moi elle avait oublié qu'il était avec nous dans cette pièce.
Je vois son corps faire des allers-retours rapide sous les coups de boutoir de Pierre, qui a finalement décidé de participer également, en désespoir de cause.
La main de Fanny sur mon sexe arrête de me branler et se crispe, elle se cramponne pour résister aux assauts répétés du major de la promo.

Je ne vois pas ce que Mireille est en train de faire de son côté, mais vu les gémissements des deux autres elle doit s'occuper tour à tour de chacun d'eux, un coup de langue sur les couilles et la verge de Pierre, le suivant sur le clitoris de Fanny.

Je me dis que c'est le bon moment pour combler la jolie étudiante de tous les côtés, je positionne ma queue à côté de sa bouche, mais elle rejette mon invitation et me guide vers l'entrée secrète de Mireille, non sans mal puisqu'il fait toujours très sombre ici.

Je rentre comme dans du beurre fondu tant Mireille a la chatte trempée. Je m'habitue à la chaleur qui vient entourer ma queue, et je commence à faire un léger mouvement de va et vient. Nous voilà partie pour ce qu'on pourrait appeler un « 1691 », avec les deux femmes au centre et les deux hommes de chaque côté.

Mireille, toujours dans sa bulle, se laisse aller à son imagination qui semble très riche :
« Oh Claude prend moi oui ! »
Décidément, elle est vraiment dans une autre réalité. Je me demande bien qui peut être ce Claude, je n'en connait aucun dans tout l'IUP.

Je prends ses jambes nues que je remonte le long de mon torse et jusqu'à mes épaules, j'ai ainsi plus de prise et je peux accélérer un peu mes mouvements. Fanny en profite également pour s'y agripper, car derrière elle Pierre y va de plus en plus fort, ce qui la fait remuer également plus fort.

Les gémissements de chacun se font plus intenses, l'apothéose finale se rapproche. Je sens Pierre au bout du voyage, alors j'accélère mes coups de bassin, pour être synchronisé avec mes partenaires.

Quelques instants plus tard, il pousse un long râle en éjaculant à l'intérieur de Fanny, puis il s'affale sur elle, épuisé. Fanny, aidée par ses doigts et par la langue de Mireille jouit dans la foulée, mais ses cris sont couverts par ceux de son partenaire.

Je m'applique à faire de même avec la jolie doctorante toujours demandeuse, mais c'est alors que la lumière se rallume. Éblouie par cet éclat de lumière, il me faut quelques secondes pour reconnaître Corinne qui est entré dans le bureau, ainsi que Philippe qui se tient derrière elle à côté de la porte. C'est un des responsables de notre promo.
Le bruit de nos ébats a couvert leur arrivée, peut être même que c'est ça qui les a attiré ici.

Corinne, encore plus en colère que tout à l'heure, s'adresse à nous violemment :
« Cette fois-ci ça suffit, ce n'est pas un lieu de débauche ici, sortez de mon bureau ! »

Philippe a l'air surpris plutôt que choqué, je distingue même un petit sourire d'amusement sur son visage. Mais conscient de ses responsabilités il ne laisse rien paraître quand Corinne se retourne vers lui.

Pierre se relève et Corinne, qui ne l'avait pas vu tout à l'heure planqué qu'il était sous le bureau, se tourne vers le lui :
« Vous aussi Pierre ? Vous êtes tombé bien bas. »

Il bégaye quelque chose et essaye de se remettre correctement. Fanny se relève à son tour, et Mireille, que les cris de Corinne n'ont pas inquiétée s'adresse à son amant imaginaire :
« Ne me laisse pas mon chéri, encore... »
Et elle joint les gestes à la parole, elle place ses jambes en croix autour de mon bassin pour m'empêcher de partir, et pour m'imprimer un rythme rapide, ma bite étant toujours à l'intérieur de son intimité.

« Qu'est que vous lui avez fait !? Vous l'avez droguée ou quoi ? », nous demande Corinne.

Je suis le seul à ne pas avoir joui lors de nos ébats, au prix de nombreux efforts, ça serait dommage de partir sans aller au bout, je me prends donc au jeu et je réponds aux mouvements de Mireille en la pénétrant de plus en plus vite.

« Je vous ai demandé de sortir ! Arrêtez tout de suite votre manège ! », me dit-elle en se rapprochant. Puis elle continue : « Philippe, faites quelque chose. »
Mais voyant qu'il ne bouge pas et préfère contempler la scène, elle décide de jouer les videurs elle même. Elle s'approche de moi, attrape les jambes de Mireille pour me libérer puis me tire par le bras, mais c'est trop tard, le point de non retour a été franchi, je sens le jus monter en moi et je ne peux m'empêcher de me branler pour finir le travail.

Je gémis et Corinne se retourne pour voir ce qui se passe. Une giclée de sperme chaud atterrit sur son pantalon et descend le long de sa jambe.

« Mais vous êtes dégueulasse. », s'exclame Corinne outrée avant de me gifler, c'est ma seconde claque de la journée.

Elle me tire par la bras, rouge de colère, et me traine dans le couloir puis retourne dans son bureau et claque la porte.
Je me retrouve dans le couloir, la queue entre les jambes, dans tous les sens du terme. Pas de trace de Fanny ni de Pierre, je crois que je ferais bien de sortir par la sortie de secours avant de croiser quelqu'un...


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Une troisième et dernière partie de la série est possible si ça vous intéresse !