La remontée des âges....(part 2)

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Proposée le 1/02/2011 par gerbie3

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Sexe "quasi" incestueux avec de jeunes protagonistes comme dans le chapitre précédent.


Salut à mes lecteurs :)

je tiens simplement à signaler que j'écris aussi sous le pseudonyme de gerbie.

Petit rappel : à cette époque, j'ai 17 ans, adopté et mes cousines en ont 15, 16 et 17 ans.

Camille et moi étions restés très proches et souvent intimes après nos premiers ébats : Ils l'avaient transformée en jeune femme sûr d'elle, belle et douce.
Ses soeurs s'en étaient aperçues mais ne faisaient pas de commentaire sérieux en ma présence, mais Camille me répétait toutes ces choses en privé et je dois dire que ça m'excitait gravement...

Un jour, alors que je descendais au petit matin, pour prendre mon petit déjeuner sur la grande table de la salle à manger, je m'aperçus que mes cousines étaient encore en pyjama et qu'elles semblaient nues en dessous car le froid ambiant faisait légèrement pointer leurs mamelons tout jeunes comme de petit perce neige.
Ne m'étant pas masturbé à la demande expresse de Camille, mon bas ventre me joua des tours, heureusement caché par un caleçon américain et d'un jean.
M'approchant pour la bise du matin, je fis le tour de la table, saluant chaque convive afin d'arriver à la hauteur de mes cousines plus âgée ; Charlotte et sa soeur.
En me penchant, j'aperçus le gouffre séparant deux seins généreux et puis les yeux brillants de Cha' avant de poser un baiser sur sa joue à la commissure de ses lèvres roses et douces, ce qui donna à ma queue un spasme des plus communs.

Arrivé près de Camille, elle me tira une chaise à ses côtés, exigea une bise et recommença à grignoter son toast.
Je commençai à tirer les kellog's à moi en écoutant les conversations de mes tantes et oncles, quand une main fébrile me caressa la cuisse. Etonné, je m'arrêtai dans mon mouvement puis le finis en jetant un regard à Camille qui continuait de manger.
Alors que le lait coulait dans mes céréales, la main de Camille se fraya un chemin à travers la tirette de mon jean et caressa mon pénis, légèrement dur déjà.
Je décidai de ne pas la regarder et commençai à manger tandis que sa main s'enroulait; ses doigts pareils, à présent à chaque anneau d'un python autour d'un rondin, autour de ma tige gonflante. D'un mouvement brusque, elle passa sa main dans mon caleçon et me décalotta avec une telle force que je poussai un soupir plaintif de plaisir.
Elle passa ensuite sur mes boules et les serra comme deux bonbons et les tritura en les malaxant jusqu'à que je soupire aigu.
Ma bite, étrangement gonflée ne se sentit plus lorsqu'elle me branla doucement, un de ses doigts caressant mon prépuce et le sommet de mon gland avec douceur et expertise.

Je tentai de ne rien montrer en conversant avec ses soeurs et mes tantes qui ne semblaient ne rien avoir remarqué. Le plaisir commençait à venir tandis qu'elle me branlait plus fort, repoussant à chaque fois ma peau plus loin...
Avant de jouir, car je sentais l'électricité remonter de mes bourses vers mon gland, j'entrepris de me lever brusquement et prétextant un arrêt aux toilettes, me jetai à contre-coeur dans les couloirs.

La cuisine étant sur le chemin, je m'intéressai au contenu du frigo, ayant désormais tout le temps pour me satisfaire.
Je l'ouvrit et constatai qu'il restait 5 parts de gâteau qu'avait fait ma mère, une bonne nouvelle de plus en cette journée radieuse.

Aux toilettes, j'ouvris mon pantalon, qui me tomba jusqu'aux pieds, et commençai à me branler avec force; ma main passant de mes pastèques à ma banane...
Je me figurai que Charlotte, nue, sa peau bronzée et ses courbes généreuse, me suçait avec fougue, sa langue jouant avec mon gland.
Camille m'ayant branlé récemment, mon sperme jaillit tel un geyser, sur la planche des toilettes et je fus foudroyé par un orgasme tandis que dans mon esprit, ma queue déversait ses larmes dans la bouche ouverte et consentante de Charlotte.
Ma descendance éparpillée un peu partout, j'en prit une goutte au bout de mon sexe et me faisant la réflexion suivante "quel goût a mon foutre ?", je plongeai mon doigt mouillé de sperme dans ma bouche et fermai les yeux... "Charlotte, un jour, tu va connaitre ce goût..." et cette pensée, me remonta la queue en moins de deux...

L'après-midi fût torride pour deux raisons.
La première étant la chaleur, la deuxième est moins évidente.
Mes cousines, ma tante Michelle et moi étions allongés dans le jardin au soleil mais n'ayant pas besoin de bronzer (je suis d'origine indienne), je commençai vite à m'ennuyer si bien que je matais plutôt mes cousines.
Camille était couchée à côté de moi, tandis que Charlotte et la plus grande étaient face à moi.
Leurs jambes repliées laissaient dépasser un peu de leur toison et la vue étaient plongeante sur leurs lèvres dessinées à travers le bikini. Je n'osais pas glisser ma main dans mon maillot de peur de devoir le ressortir avant d'avoir senti ma bite se gorger de sang.
- Un gateau, ça vous dit les filles ? Demandai-je pour m'éclipser.
- Ouiiiii.

J'ouvris la porte du frigo et déplaçai les assiettes contenant les parts de gateaux.
J'était en train de prendre la crème chantilly lorsque une idée me tarauda l'esprit.
Plus personne n'était dans la maison et seules, mes cousines et ma tante restaient dehors.
je baissai alors mon maillot, pris mon dard dans une main et entammai le va-et-vient en pensant à ces poils pubiens tellement jolis que j'aimerais les lécher.
Ils étaient la forêt recouvrant un rift et une colline qui faisait cambrer toutes les femmes à son simple effleurement.
Me figurant la tête penchée et ma langue sortie, léchant les lèvres graisseuses et le clitoris de Charlotte afin de sentir la cyprine couler à flot dans ma bouche accueillante, la jouissance se mit en route...
Au moment où elle arrivait, j'approchai les gateaux et ils furent ensevelit de crème onctueuse, blanche et sucrée...
Je vidai l'entièreté de mes bourses sur les sommets puis je recouvris le tout de chantilly.
Seul une part avait été épargnée ; celle adressée à ma tante.

Revenant dans le jardin, je leur tendis les gateaux, esquissant un sourire de tombeur.
En les voyant dévorer leur part, mon sourire s'élargit encore plus et quand Charlotte ramassa une coulée de chantilly sur son ventre et la mit en bouche en s'écria "C'est fou ce que j'adore la crème... !", je me pris à rêver.

Le soir arriva bientot, réduisant leur espoir de bronzer à néant.
Après un diner mémorable, où mon père se prit la honte de sa vie en découpant un poulet à la Terminator, mes cousines s'étaient décidées à aller en boite de nuit sur la digue et m'obligèrent à m'incruster dans leur groupe en prétextant diverses choses :

- Tu vas pas rester le seul gars, tu vas bien te marrer !
- Il nous faut une protection au cas où...
- Tu pourras nous ramener et peut-être draguer un peu...

Ma présence requise et poussé par mon instinct de mâle, je partis donc avec elles.
Rien de bien potache ne se passa sur le chemin : Elles parlaient de leur livre préféré et commentaient les beaux gars de leur série préférée...

La soirée se passa tranquillement, un peu éméchées, elles s'étaient décidées à aller choper des garçon mais je vis Charlotte sortir tandis que ses soeurs dansaient en rythme avec des gens de leur âge... Je n'était décidément pas intéressé par aucune des filles dans la boite et je décidai de sortir...
C'est là que je vis un drame se préparer : Ma cousine agressée par deux jeunes péteux très alcoolisés. Ils la draguaient pour l'instant mais voyant leurs avances repoussées, ils s'étaient mis à la pousser.
Bien que moyennement bâti, ma dextérité et mon expérience du karaté, taekwondo et du krav maga me fûrent d'une grande utilité.

Ils s'approchaient d'elle et je fonçai me mettre sur leur route ; l'un d'eux me décocha une droite, que j'évitai facilement et à laquelle je répondis par une formidable croc en jambe qui fit s'écrouler un des deux. L'autre s'énerva mais avant qu'il ai pu faire quoi que ce soit, je lui enfonçai mon pied dans le sternum ce qui le mit KO.

Je ramassai ma cousine et me dirigai vers l'intérieur de la boite dans laquelle je pris par le bras mes deux autre cousines, à présent déchirées.
Je les ramenai doucement mais fermement à la maison : Je les posai dans leurs lits habillée et elles tombèrent comme des masses. En tout cas, la plus jeune et la plus âgée.
Charlotte et moi n'étions pas du tout éméchés et je lui fis du thé qu'elle avala avant d'aller dormir.

Un frôlement près de moi me réveilla en sursaut et j'entendis la voix de Charlotte :
- Je ne savais pas comment te remercier...
- C'est rien Cha' va dormir, tu as besoin de sommeil...
- Je n'y arrive pas et puis je dois te remercier...
- Mais qu'est ce que tu fais ??
- Chuuuut... Laisse-toi faire...

Elle avait glissé sur ma queue et elle la caressait sans cesse depuis le début de la conversation...
"Hummm elle a l'air énorme... Charlie t'es super bien monté, Camille avait raison..."
A présent, elle avait pris mon caleçon et l'avait tiré lentement vers mes genoux afin de voir ma brousaille apparaitre. Elle me prit doucement la bite et la décalotta en me sussurant des mots doux "Huuuh merci de m'avoir sauvé Charlie ! Je ferai ça pour toi..."
Elle me branla doucement puis de plus en plus vite, je voyais ses yeux s'agrandir au fur et à mesure que mon sexe s'érigeait. Mon gland brillait à la lumière de la lune et je sentai une de ses mains malaxer mes boules avec douceur...
"Oh putain mon salaud, t'en a une géante... Attends que je te la suce..."

Ses lèvres touchèrent mon gland peu après sa langue qui eut le temps de tourner autour de mon gland et de rendre miroitant mon gland déjà brillant.
Alors qu'elle me suçait avec lenteur et application, sa langue vibrant autour de mon gland tandis que ses joues gonflaient à mesure qu'elle aspirait mon plaisir dans sa bouche; je me surpris à me cambrer comme un chat et à soupirer abondamment.
Ma voix s'étirait dans les aigus lorsqu'elle suçait mes boules tour à tour...

Ma main vagabonda alors vers sa culotte et au moment où elle se rendait compte que je la touchais, elle émit un gémissement.
Ma main enthousiaste se mit à caresser sa toison à travers le tissu avant de placer un doigt au niveau de son clitoris gonflé de désir et de le titiller : Elle gémit alors plus fort et me suça avec plus de force.
Audacieuse, mon autre main malaxait à présent son sein gauche tandis que ma main droite était passée sous la culotte et se contentait de frotter le clitoris avec la cyprine neuve et abondante qui coulait de la chatte de ma cousine.
Elle gémissait beaucoup à présent. Elle se leva alors doucement et vint se placer à califourchon sur moi : J'en profiter pour me redresser un peu et lui sucer les seins, ma langue titillant les bourgeons gonflés et mes dents les mordillant doucement.
Alors que je m'affairais, elle écarta les lèvres de son intimité et s'empala d'elle-même sur ma queue tendue...
Nos deux cris de plaisirs surpris, s'entremêlèrent tandis que nos corps ne formaient plus qu'un...
L'embrassant dans le cou et lui malaxant les seins, elle se mit à crier un peu puis de plus en plus fort alors que mon dard s'enfonçait de plus en plus en elle.
Je lui pris alors les hanches et me cambrant, je soulevais son corps afin d'accélérer de pillonage de son jardin intime. C'est alors qu'elle se mit à crier un peu plus fort en se cabrant vers l'arrière, étourdie par le plaisir de la chair...
Moi-même n'y tenant plus, mon gland frottant contre les parois rugueuses de son vagin, je la serrai fort au moment où nos deux jus se rencontrèrent et que débordés par tant d'émotion et d'électricité, nous succombâmes au bonheur.

L'orgasme fini, elle se retira et poussa sur sa chatte afin de faire tomber le trop de sperme brulant sur ma queue toujours rigide.
Nous changâmes souvent de position et chaque giclée de sperme atteignit une partie différente de son anatomie féminine...
Mais, alors que je finissais de l'empaler par derrière, son petit trou de cul serrant ma queue avec force, je sortis d'elle, lui prit la tête et lui demandai de me sucer jusqu'à éjaculation... Elle refusa...

- Je n'ai jamais fait ça, moi...
- Tu l'as déjà fait Cha'.
- Ah ouais ? Quand ça ?
- Cet aprem', les gateaux à la chantilly... Il n'y avait pas que de la chantilly...
- Oh ! sale porc ! Putain tu m'excites ! Sale con ! Prends-moi !

Je lui remis ma queue dans la chatte et la tamponai jusqu'à ce que je sente mon liquide se frayer un chemin dans mon robinet : Alors je lui pris la tete et elle suca... Elle suca goulument et avec force...
Et quand, enfin vint mon lâché de sperme, elle ouvrit la bouche et je me masturbai devant sa bouche ouverte et attentive...

Je la lui remplis entièrement... Avant de l'embrasser un peu avant qu'elle avale...