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Proposée le 25/01/2011 par Marc Paul
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Après être rentrée chez elle (lire le chapitre 1), Martine se précipita sur l'ordinateur pour envoyer à Hervé ce qu'il avait demandé. Elle passa dans la salle de bains pour se déshabiller et prendre une douche, mais après quelques secondes d'hésitation, elle se ravisa. Elle voulait garder l'odeur de Hervé sur son corps, conserver sa semence en elle jusqu'à demain matin. Elle remit sa culotte pour ne pas tacher les draps et s'endormit d'un sommeil rempli de rêves érotiques.
Le dimanche qui suivit fut bien terne en comparaison des heures intenses qu'elle avait vécu la veille. Elle espéra, d'un espoir fou, qu'Hervé la contacterai et viendrai la rejoindre. Mais rien' Son téléphone resta muet toute la soirée.
Dans la semaine qui suivit, son mari travaillait trois jours à partir du mercredi. Le mercredi soir, elle ne quitta pas son téléphone, attendant un SMS, un coup de fil. Le jeudi, pareil, et Martine était désespérée. Hervé ne reviendrait plus, il l'avait baisée une fois, l'avait soumise à ses désirs et il la laissait tomber comme un kleenex usagé. Ses sombres pensées la déprimaient, des larmes coulaient sur ses joues pendant qu'elle se caressa le jeudi soir. Le vendredi était le dernier jour de la semaine où elle serait seule, son mari ne travaillant pas le week-end, elle n'aurait pas l'occasion de voir son bel amant avant lundi. Martine pensa même lui téléphoner le soir si il ne lui donnait pas signe de vie. Elle n'en pouvait plus d'attendre, d'espérer la jouissance qu'elle attendait de lui, elle voulait qu'il la rudoie encore, qu'il la pousse encore plus loin dans le tourbillon érotique qui l'entraînait et dans lequel elle se laissait aller avec un mélange de plaisir et de frayeur.
Vendredi soir, six heures cinq, son téléphone portable émit un bip annonciateur d'un SMS. Martine pianota fébrilement sur l'appareil. Un SMs' Hervé? Deux mots : « Ce soir ». Deux petits mots qui rendirent Martine fébrile. Pas d'indication de l'heure, se dépêcher, être prête. Marine se rua sous la douche, elle savonna son corps de ses mains, les faisant glisser avec délice sur ses seins lourds, sur sa chatte qu'elle avait soigneusement taillée. Elle préparait sa chair au plaisir, elle se donna du plaisir elle-même, debout sous le jet d'eau chaude, le dos contre le froid carrelage.
Séchée, coiffée, parfumée et maquillée, vêtue seulement de ses chaussures à talon, Martine faisait les cent pas, tournait en rond dans sa maison depuis une bonne demi-heure quand la sonnette retentit. Elle vit la voiture de Hervé garée devant chez elle et elle vit son amant refermer le portail derrière lui. Son c'ur bondit dans sa poitrine et elle courut pour lui ouvrir la porte. Hervé entra. Martine se colla à lui et lui tendit ses lèvres, il la repoussa sans un mot. Il entra dans le salon, Martine le suivit.
Hervé posa son blouson sur un fauteuil. Il avait avec lui une grande besace en toile grise. Martine restait debout, interloquée par cette entrée en matière glaciale. Hervé ouvrit enfin la bouche pour lui dire :
- Tu as fait ce que je t'avais demandé.
- Oui, je me suis douchée et je me suis caressée.
- Tu as jouis ?
- Oui.
- Bien, approche !
Marine s'approcha de lui, espérant un baiser comme une chienne espère une caresse.
Pour toute caresse, Hervé lui enfonça son majeur dans le con. Il retira sa main, frotta son doigt avec son pouce, le huma, puis satisfait, il ajouta :
- Parfait, tu es bien mouillée.
Il chercha dans sa besace pour prendre quelque chose. Il saisir d'une main un des gros seins de Martine et fixa un lourd bijou en métal sur le téton dardé à l'aide d'une pince. La douleur du pincement arracha un cri à Martine. Impassible, Hervé fit subir le même sort à l'autre sein. Les bijoux de poitrine tiraient les tétons de Martine vers le bas, tendant ses seins lourds. La douleur s'atténua lentement.
Hervé retourna chercher autre chose dans sa besace. Martine vit dans sa main un objet en plastique blanc de la forme d'un gros ?uf. Un mince fil d'une dizaine de centimètres partait de l'extrémité la plus fine de l'?uf. Hervé lui ordonna d'écarter les jambes et il introduisit l'objet dans son con, le poussant profondément avec son doigt. L'objet disparut dans le ventre de Martine, seul le fil dépassait de quelques centimètres. Il retourna dans sa besace et en sortit un petit boîtier blanc et un appareil photo ainsi qu'un loup noir constellé de petits brillants. Il couvrit le haut de son visage avec le loup en velours noir. Il avait fait tout cela, sans dire un mot, avec une lenteur cérémoniale. Martine n'osait pas parler, elle regardait son amant avec des yeux étonnés. Hervé, qui s'était assis sur un fauteuil face à elle, sourit de son visage ébahi. Il lui dit de sa voix douce :
- Tu as quelque chose à dire ? Martine.
- Qu'est-ce que tu as mis dans ma chatte ?
- Tu vas comprendre.
Hervé appuya sur le bouton du petit boîtier blanc et aussitôt le ventre de Martine se remplit de vibrations. La surprise fut telle, le chatouillis de l'?uf vibrant si agréable qu'elle gémit de plaisir.
Hervé posa le boîtier à coté de lui et fit quelques photos de Martine, nue, debout au milieu du salon. Il n'avait pas arrêté l'?uf vibrant et des ondes de plaisir commençaient à envahir le ventre Martine. Elle sentait ses seins se gonfler, des ondes de plaisir irradiaient sa poitrine en partant de ses tétons allongés, pressés par les pinces. Elle esquissa un mouvement pour prendre ses deux gros globes blancs à pleines mains mais Hervé l'arrêta :
- Non, je t'interdis de te caresser.
Il avait arrêté les vibrations et continuait de faire des photos tournant autour de Martine. Puis il se rassit et remit l'?uf vibrant en marche.
Les vibrations faisaient de plus en plus d'effet à Martine, ses jambes tremblaient, sa mouille suintait de sa chatte et mouillait l'intérieur de ses cuisses. Elle ne tenait plus, cet appareil diabolique la rendait folle et sa main droite partit vers son bas-ventre. Hervé arrêta les vibrations et se leva :
- Je t'ai interdit de te caresser. Tu ne m'écoutes pas. J'ai ici de quoi t'en empêcher.
Il sortit une paire de menottes de sa besace et lia les mains de sa victime dans le dos. Il remit ensuite l'?uf vibrant en route. Martine gémissait, torturée par les douces vibrations de l'appareil dans son ventre. Dix fois, vingt fois peut-être, elle fut sur le point de jouir, mais dix fois, vingt fois, à chaque fois alors qu'elle approchait du point de non retour de son plaisir, Hervé stoppait net les vibrations en la gratifiant d'un petit sourire sadique. Il attendait quelques minutes, se servait un verre, parcourait même une revue qui traînait sur la table basse, faisait quelques photos d'une Martine, rouge écarlate, la bouche entrouverte, la chatte gonflée et luisante de mouille. Puis il remettait l'appareil en marche.
Martine n'en pouvait plus. Ses jambes tremblantes ne la portaient plus. Elle tomba doucement à genou sur le tapis à l'occasion d'une des pauses que lui imposait son tortionnaire. Elle gémissait de frustration. Son plaisir était intense mais ne trouvait pas son assouvissement total. Durant les pauses, de plus en plus longues, elle sombrait dans une demi inconscience, couchée sur le coté en position f?tale, son c'ur battait à cent à l'heure. Elle ne sortait de cette inconscience que lorsque les vibrations reprenaient dans son ventre. Elle criait à chaque fois, hurlait même, espérant qu'Hervé lui laisserait, cette fois-ci, le temps de jouir, elle n'était qu'une boule de plaisir, elle n'était qu'un ventre, qu'une chatte, qu'un con gigantesque qui réclamait son du. Elle le disait d'une faible voix chevrotante :
- Fais moi jouir, je veux jouir, je suis une salope, je suis TA salope, je t'en prie.
Après une bonne heure de torture, Hervé sortit un autre vibromasseur de sa besace. Il écarta les cuisses de Martine, et en remettant en marche l'?uf vibrant, il plaqua le vibromasseur sur le clitoris érigé de sa victime. L'effet fût immédiat. La boule de plaisir explosa en un million d'étoiles, le corps de Martine se cambra, les menottes rentraient dans les chairs de ses poignets, elle hurla en sentant déferler sur elle, un tsunami de jouissance trop longtemps attendue. Martine perdit connaissance pour quelques minutes.
Quand elle revint à elle, ses mains étaient libres. Elle revint à elle doucement, elle massa ses poignets endoloris, étendit ses jambes couvertes de mouille jusqu'à mi-cuisses. Les battements de son c'ur se calmaient doucement, retrouvant un rythme normal. Hervé était assis dans le fauteuil est sirotait le whisky qu'il s'était servit. Martine se leva péniblement, le corps cassé. Elle but une gorgée de whisky au goulot de la bouteille, les yeux hagards, son maquillage détruit faisait des traces noires sur ses paupières. La brûlure de l'alcool lui fit du bien et réchauffa son corps glacé. Hervé la regarda en souriant :
- Ça t'a plu ?
- Quelle question ! Je n'ai jamais jouis comme cela. J'ai cru mourir.
Hervé se leva et l'enlaça :
- Tu es une belle cochonne. Je crois que tu as droit à une récompense.
Il embrassa alors Martine, aux anges, dans un long baiser langoureux. Puis se détachant d'elle, il lui demanda d'aller dans sa chambre. Martine l'entraîna en le tenant par la main.
Hervé tira une deuxième paire de menottes de sa besace qu'il avait pris soin d'emporter avec lui. Il ordonna à Martine de se coucher en travers du lit. Puis, à l'aide des menottes, il lui lia chaque poignet à la cheville du même coté. Il la tira ensuite vers lui, ses épaules étaient au bord de la couche, sa tête sans soutien pendant en arrière. Hervé se dévêtit complètement. Martine put admirer son corps d'athlète, ses muscles saillants et surtout sa queue dure et grosse, légèrement arquée qui venait à la rencontre de sa bouche.
Hervé frotta sa verge sur la bouche de Martine. Elle tira sa langue pour sucer ce pieu qu'elle désirait plus que tout. Bien qu'elle aurait aimé avoir la liberté de ses mouvements pour prendre ce gros chibre dans sa main, pour pouvoir le branler et le porter à sa bouche comme elle le voulait, le fait d'être ainsi entravée, de ne rien pouvoir faire, de subir son amant la ravissait. Elle découvrait à chaque instant le plaisir d'être soumise, d'être une chienne qui quémande une caresse, d'être une vraie salope avide de sexe et de jouissance.
Hervé lui fit sucer ses testicules. Elle ouvrit la bouche le plus possible pour pouvoir les prendre, les fit rouler doucement avec sa langue. Hervé gardait en main la télécommande l'?uf vibrant qui remplissait toujours le con de Martine. Il appuya sur le bouton pour lui signifier son plaisir et l'encourager. Martine poussa un petit cri quand elle ressentit à nouveau les vibrations de l'objet agacer son ventre, elle avait oublié qu'elle portait toujours le sextoy.
Hervé avança un peu, chevauchant la tête de Martine, jusqu'à ce que sa rosette fût à portée de sa langue. Martine ne bougea pas, ne fit rien. Hervé saisit un des bijoux de tétons qu'elle portait encore et tira dessus en disant :
- Suce moi !
Martine tendit sa langue et la fit rouler sur le petit trou de Hervé qui marqua son approbation en lui octroyant quelques secondes de vibrations. Martine continua à lui sucer le cul, poussant sur sa langue pour tenter de la faire pénétrer dans cet orifice étroit. Hervé laissa les vibrations en permanence jusqu'à ce qu'il se recule. Le plaisir de Martine remontait inexorablement. Son ventre se remplissait de chaleur, et de nouvelles ondes de plaisir remontaient le long de sa colonne vertébrale.
Hervé prit la tête de Martine à deux mains et lui bascula en arrière le plus possible. Sa queue se trouvait à la porte des lèvres de celle-ci. Il appuya son gland sur les lèvres entrouvertes et d'un lent coup de reins il s'enfonça dans sa bouche. Hervé s'appuya sur le lit et faisant des pompes, il baisait Martine par la bouche. Sa longue bite s'enfonçait profondément dans sa gorge, il restait ainsi quelques secondes puis se retirait, permettant ainsi à Martine de respirer, de calmer ses hauts le c'ur. Martine n'avait jamais fait de « gorge profonde » auparavant et elle avait du mal à ne pas vomir quand le gland de Hervé venait butter sur sa luette. Pourtant à chaque fois, qu'il la pénétrait comme cela, et qu'il se retirait, elle avait sa récompense. Un petit instant de vibrations qui attisaient son plaisir renaissant. Martine tenta de se détendre autant qu'elle le put, pour accueillir encore plus ce gros pieu dans sa gorge. Au prix de gros efforts qui la faisaient abondamment transpirer, elle réussit à avaler complètement la longue tige de Hervé. Il lui fit cadeau de longues secondes de vibrations qui commençaient à la faire gémir de plaisir.
Hervé reprit ses allers-retours dans la bouche de Martine qui supportait maintenant bien les profondes pénétrations qu'il lui imposait. Sentant son plaisir monter, Hervé changea de rythme. Il envoyait maintenant de rapides coups de reins, beaucoup moins amples qu'auparavant. Sa tige glissait sur la langue de Martine, qui commençait à se tortiller sous l'effet des vibrations continues qui remplissaient tout son ventre. Ses gémissements étouffés, étaient continuels, elle jouit à nouveau en serrant le gros chibre qui glissait dans sa bouche quand elle reçut au fond de sa gorge une grosse giclée de sperme gras et chaud, puis une autre et une autre encore. Hervé se retira, la tête de Martine pendait en arrière et Hervé la releva en lui soufflant à l'oreille :
- Avale, avale tout mon foutre !
Martine déglutit, avalant la semence au goût salé jusqu'à la dernière goutte.
Hervé remis son sexe dans sa bouche en lui demandant de le sucer encore, de nettoyer correctement sa queue et Martine recueillit sur sa langue les dernières gouttes de son plaisir.
Hervé s'allongea sur le lit pour récupérer un peu. Il libéra les mains de Martine avant de retourner chercher la bouteille de whisky dans le salon. Quand il revint dans la chambre, Martine était assise sur le bord du lit, le dos rond, la tête dans les mains, elle récupérait de ce deuxième orgasme de la soirée qui, s'il n'avait pas été aussi ravageur que le premier, n'en avait été pas moins intense. Hervé s'assit à coté d'elle, but une rasade d'alcool et, prenant le menton de Martine, la fit boire au goulot.
Martine le regarda d'un air de chien battu. Son aspect était assez effroyable. Son maquillage avait coulé et de longues traînées noires de rimmel maculaient ses joues. Son brushing était totalement détruit, ses cheveux se dressaient dans tous les sens. Son rouge à lèvres était étalé tout autour de sa bouche et sur son menton, quelques gouttes de sperme témoignaient du plaisir qu'elle venait de donner à Hervé avec sa bouche.
Hervé la força à s'allonger. Il enleva les pinces de ses tétons martyrisés. Il allait dans la salle de bains et revint avec deux rondelles de coton à démaquiller et un flacon de lait de toilette.
Pendant de longues minutes, Hervé s'appliqua à faire disparaître les traces de maquillage du visage de Martine. Il tira sur le fil et sortit de son vagin l'?uf vibrant avant d'aller le laver dans la salle de bains et de la ranger dans sa besace. Il rangea également les menottes. Il lui fit, ensuite, un doux massage qui sans faire disparaître totalement son épuisement la ramena un peu à la vie. Martine, un peu remise de tout cela lui demanda d'une voix chancelante :
- Tu vas t'en aller ?
- Non, pas encore.
- Tu veux me baiser encore une fois ?
- Oui, car il me reste une chose à faire.
- Quoi donc ?
- J'ai eu ta chatte, je t'ai baisée par la bouche, d'après toi que reste t'il ?
- Je ne sais pas. Je ne vois pas.
- Réfléchis !
- Mon cul, tu veux me?
- Oui, je veux t'enculer. Ça t'est déjà arrivé.
- Non, jamais.
- Alors c'est bien. Tu es encore pucelle de ce coté là. Je vais changer ça.
- Maintenant ?
- Oui, maintenant. Mais tu vas d'abord me remettre en forme.
Il s'assit sur le lit et attira Martine vers sa queue ramollie. La tête sur sa cuisse, il la laissa le sucer. Elle suçait bien, en fait. Il l'avait baisée par la bouche mais cela n'avait rien à voir. Martine tenait sa queue entre deux doigts qu'elle faisait coulisser, elle agaçait le gland de sa langue en alternance avec des prises en bouche pendant lesquelles sa main malaxait ses deux boules. Hervé retrouva vite une belle érection. Il repoussa Martine, la fit se mettre à plat ventre. Il prit le flacon de gel lubrifiant qu'il avait posé sur la table de nuit et demanda à Martine d'écarter ses fesses de ses deux mains. Il déposa une bonne dose de gel dans la profonde vallée entre les deux globes que Martine tenait à pleines mains.
Martine se rendit compte qu'elle n'avait pas pensé une seconde à protester, à se rebiffer contre quelque chose qu'elle avait toujours jugé dégoûtant et qui devait être sûrement douloureux. Non, ce mec allait la sodomiser et elle docilement, lui ouvrait son gros cul de ses deux mains. Pire que ça, cela lui semblait naturel, normal, qu'il ne lui ait pas demandé son accord. Elle pensa « Je suis vraiment une salope, je suis SA salope à lui. ».
Hervé s'allongea sur le dos de Martine et dirigea sa queue redevenue bien ferme vers la rosette abondamment lubrifiée. Il s'y enfonça doucement. Martine gémit faiblement, elle sentait la grosse bite de Hervé s'enfoncer dans ses entrailles, dilater ses chairs mais elle fut surprise de ne pas avoir mal. Elle était tellement détendue, tellement consentante et surtout tellement soumise que son ventre accepta sans effort cette pénétration totalement nouvelle. Hervé la besognait tranquillement et Martine sentit un plaisir nouveau monter en elle. Hervé glissa un bras sous son ventre pour la relever et la faire se mettre en levrette. Il put alors à son aise, caresser ses gros seins qui pendaient, les faire ballotter de ses deux mains, tordre ses tétons rendus hypersensibles d'avoir été pincés pendant deux heures. Puis sa main descendit sur son ventre un peu mou, alla à la rencontre de son clitoris dardé, gonflé de sang.
Les deux orgasmes de Martine n'avaient pas été causés par des caresses sur son petit bouton. Il n'en était devenu que plus sensible et dès qu'Hervé posa son doigt dessus, c'est Martine qui balança son corps d'avant en arrière s'empalant à chaque fois plus profondément. Les mouvements conjugués de Hervé et de Martine donnait une violence inouïe à cette sodomie, les fesses de Martine venait heurter le ventre de Hervé avec un bruit de gifle, Martine criait son plaisir renaissant, elle jouit une troisième fois, détruite elle s'écroula sur le lit, entraînant avec elle Hervé qui continua de la besogner jusqu'à ce qu'il se vide au plus profond d'elle-même.
Hervé et Martine restèrent ainsi de longues minutes retrouvant leur souffle et leurs esprits. Hervé se retira du cul dilaté de Martine et partit dans la salle de bains. Dès qu'il en sortit, Martine le remplaça et prit une longue douche brûlante pour tenter d'effacer les séquelles de cette soirée torride. Quand elle sortit de la salle de bains, Hervé était habillé et prêt à partir.
Martine l'accompagna à la porte, et Hervé partit sans se retourner. Le seul mot d'adieu qu'il prononça fut « A la prochaine fois' ».
Martine fit un peu de rangement dans le salon et dans la chambre et alla se coucher. Elle s'endormit aussitôt. Elle fut réveillée un peu après six heures par le bruit que fit son mari en rentrant. Elle l'entendit se dévêtir dans la salle de bains avant qu'il ne la rejoigne dans le lit.
En s'allongeant à coté d'elle, il lui caressa machinalement les fesses comme il l'avait l'habitude de le faire après ces nuits de travail. Mais, alors que d'habitude Martine accueillait cette caresse avec un grognement et se levait aussitôt si elle travaillait ou bien se rendormait le week-end, cette fois ci elle se retourna, embrassant son conjoint à pleine bouche en s'allongeant sur lui et en frottant son ventre contre le sien jusqu'à ce qu'elle le sente bien dur. Glissant sa main entre leurs ventres, elle dirigea sa queue vers sa chatte et elle baisa son mari, étonné mais ravi de cet accueil matinal. Martine jouit pendant que son mari se vidait en grognant au fond de son con brûlant.
Le samedi après-midi, Martine se remettait des fatigues de la folle soirée de la veille devant son ordinateur pendant que son mari bricolait au sous-sol. Elle trouva dans sa boite mail un message de Hervé. Ce message contenait uniquement un lien web, sans aucune autre explication. Elle cliqua sur le lien et elle se retrouva sur un site de photo porno d'amateurs. Elle réprima un cri de surprise quand elle reconnut dans les dernières photos postées, celles qu'Hervé avait faites d'elle la veille. Une dizaine en tout, sur lesquelles elle se vit debout nue dans le salon, couchée sur le tapis. Il y avait aussi des gros plans de sa chatte gonflée, luisante, de ses tétons munis de leurs pinces, de son visage déformé par la jouissance. Il y avait même une photo quand Hervé l'avait baisée par la bouche et où elle se voyait avec ses couilles dans la bouche. Elle compris alors le pourquoi du masque qu'il lui avait fait porter et qui la rendait méconnaissable.