La découverte du sexe (2)

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Proposée le 22/01/2011 par sergio06

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Lire le chapitre 1.

Passage incestueux, ne poursuivez-pas la lecture si vous n'appréciez pas SVP.


Eliane se couche, repensant à sa journée. Elle n'a pas tout raconté à André concernant son apprentissage. Un sourire coquin aux lèvres, elle repense à la suite qu'elle s'est bien gardée de lui raconter.
A peine Eliane avait elle quitté son amant pour la dernière fois, et tandis qu'elle se dirigeait tranquillement vers la maison comme d'habitude, elle tombe soudain face à face avec sa mère au détour d'un sentier. Ne l'ayant pas vue arriver, et étonnée de la voir, elle s'apprêtait à lui demander ce qu'elle faisait là mais n'en eut le temps.
Deux baffes magistrales, deux baffes comme jamais elle n'en avait reçu viennent s'aplatir sur sa figure, la sonnant sur le coup. Ne comprenant pas, et avant qu'elle demande des explications elle se fait injurier.
- Salope ! T'es une vraie salope ! J'ai tout vu, je t'ai vu avec ce type ! Je t'ai vue te faire baiser comme la dernière des trainées !.
Eliane ne réagit pas, sonnée. Ses joues la brulent, et elle pleure. Tout le long du chemin elle reçoit des gifles.
Arrivées à la maison sa mère la prévient qu'elle va en parler avec son père.
- C'est l'école de correction qui t'attend ma petite !
Devant cette menace, Eliane réagit enfin.
- Et toi ? C'est bien beau de me traiter de tous les noms ! Dis-moi, comment on appelle une femme qui trompe son mari ? Hein ? Dis-moi, comment on appelle une femme qui reçoit un homme presque tous les jours dans son lit et qui s'envoie en l'air pendant que son mari travaille ? Dis-le moi !
Monique, la mère d'Eliane recule, regardant sa fille, la bouche ouverte, les yeux hagards, elle ne dit plus rien, assommée à son tour.
Elle recule encore, ses jambes heurtent un siège, elle s'écroule dessus. Les coudes sur ses genoux, elle met les mains sur son visage, se met à pleurer à gros sanglots.
Eliane reprend du poil de la tête. Elle ajoute :
- C'est vrai, je me suis envoyé en l'air avec un type, et alors ? Je ne suis pas mariée moi ! Je n'ai trompé personne ! Et toi tu veux me donner des leçons ? Ah non alors !
Sa mère pleure de plus belle. Eliane sentant qu'elle a pris le contrôle de la situation décide de donner le coup de grâce.
- Tu veux tout dire à papa ? D'accord ! Moi aussi je vais tout dire ! Comment crois-tu qu'il va réagir quand je vais lui raconter de quelle façon tu t'envoies en l'air, et dans son lit en plus ! Attends un peu !
Elle n'a pas le temps de finir, sa mère se lève et se laisse tomber à genoux devant sa fille, s'accrochant à sa jupe, la supplie.
-Non ! Non, ne dis rien ! Je t'en prie ! Je t'en supplie ! Je ne le verrais plus je te le promets !
Eliane sait qu'elle a gagné la partie. Son père lui importe peu en fait, elle n'a jamais vraiment ressenti d'amour pour lui, elle veut simplement être libre de faire ce qu'elle veut et l'occasion est trop belle.
Elle laisse sa mère s'avilir un peu plus à la supplier un peu puis :
- D'accord, je ne dirais rien, mais je veux que tu fasses tout ce que je te dirais d'accord ?
Entrevoyant une porte de salut, la mère accepte.
- Tout ce que tu veux ma chérie ! Je ferai tout ce que tu me demanderas, je te le promets !
Eliane fait durer le plaisir.
- Vraiment tout ? C'est sur ? Au moindre refus je raconte tout ! D'accord ?
La mère jure tout ce qu'elle sait. Eliane veut la tester.
- Très bien ! Tout d'abord je veux que tu continues à recevoir ton amant comme auparavant.
Monique ne comprend pas, elle demande :
- Mais' pourquoi ?
- Parce que j'aime bien te regarder faire l'amour maman.
Et devant l'incompréhension de sa mère elle ajoute :
- Je sais, je suis une salope, mais je ne suis pas ta fille pour rien. J'ai découvert que j'aime regarder faire l'amour, ça m'excite. Tu ne peux pas savoir comme j'ai pu jouir en te voyant baiser. Il y a un mois que je vous regarde baiser et ça m'excite ! J'adore te regarder faire l'amour !
Monique supplie, sa fille est intraitable.
- Si tu ne le vois plus, je dis tout. Si tu continues comme avant, je ne dis rien. C'est toi qui voit.
Et, se radoucissant :
- De toute façon, si tu vas baiser avec quelqu'un, c'est parce que tu en as besoin. Si tu ne le fais pas tu vas être malheureuse, donc autant continuer et moi je pourrai continuer à me rincer l'oeil.
Monique réfléchit. Elle ne peut rien faire, elle est prisonnière de sa fille.
Eliane veut la rassurer.
-Allons maman, on oublie tout. On va être très heureuses comme ça ! J'oublie les gifles, tu continues à te faire baiser et tu n'auras même plus à te cacher de moi, que veux tu de plus ?
Monique regarde sa fille, découvrant quelqu'un qu'elle ne connaissait pas, mais bien contente de s'en tirer à si bon compte.
Elle essaye encore :
- J'aime pas que tu regardes.
- Et toi quand tu m'as vue maman, pourquoi es tu restée sans rien dire au fait ? Pour te rincer l'oeil ? Je veux faire pareil. Je suis une vicieuse, je sais, mais moi j'assume. Au fait dis moi, ça fait combien de temps que ça dure ?
Sa mère baisse la tête murmure quelque chose d'incompréhensible, Eliane lui demande de répéter
D'une façon plus audible, rouge de honte et la tête baissée elle dit :
- Trois mois à peu près.
- Et ben dis donc ! J'en ai loupé des occasions de me rincer l'oeil ! Je sens que je vais me rattraper
Sa mère ne trouve plus rien à dire. Vaincue, elle acquiesce. Eliane ajoute :
- Tu sais maman, j'aimerai bien prendre la pilule, pouvoir faire comme toi sans craindre de tomber enceinte. Bon ben, je te laisse, le type va bientôt venir non ? Vas te refaire une beauté, sinon il va se demander ce qui t'es arrivé.
Et elle s'en va, laissant sa mère en plein désarroi. Elle va dans sa chambre, s'allonge sur son lit, heureuse de s'en être si bien sortie.
Au bout d'un moment elle entend des pas monter l'escalier. Sa mère n'est pas toute seule comme prévu. Elle attend un moment puis se dirige toute excitée et sans bruit vers sa cachette.
Le type est déjà en train de prendre sa mère en levrette. Il donne de grands coups de bélier, repoussant Monique à chaque fois contre le mur. Celle ci a les yeux à demi fermés, fixant la porte ou se trouve Eliane, la bouche ouverte, en plein bonheur. Elle commence à crier, relève le buste, s'appuyant sur ses avant-bras.
- Oui ! Oui je vais jouir ! Oui ! Oui !!!!
Eliane n'en revient pas de l'impudeur de sa mère. Et elle qui vient juste de lui dire qu'elle ne veut pas être regardée ! Elle a au contraire l'impression que cela l'excite davantage, il n'y qu'a voir la façon dont elle fixe l'endroit où elle sait que sa fille se trouve.
Eliane est bluffée par l'impudeur, le vice de sa mère. Il est clair que celle ci est en train de la provoquer.
- Elle est encore plus salope que moi !
Eliane se masturbe comme une folle. Elle se mord les lèvres pour ne pas attirer l'attention de l'homme.
Celui ci est sur le point de jouir à son tour.
- Oui ! Oui, tiens ! Tiens ! Prends salope ! Prends ! Ahhhh !
Il se vide dans la chatte de Monique qui regarde toujours vers la porte, les yeux mourants.
L'homme se retire, sa queue redevenue molle. Restant à genoux, il dit :
- Viens me la nettoyer.
Docilement Monique se tourne et vient happer le sexe ramolli. Eliane constate qu'elle s'arrange de telle façon que sa fille puisse tout voir.
Sa façon de sucer est très lascive, très pro se dit Eliane. Au bout d'un moment, la queue se redresse lentement. Monique caresse les couilles de l'homme qui grogne de satisfaction.
Quand la bite est bien dure, elle s'allonge en travers du lit, les jambes et donc le sexe tourné vers la porte derrière laquelle se trouve Eliane.
- Viens, j'ai encore envie de ta queue.
L'homme vient entre les jambes relevées et largement écartées. Il rentre sa bite d'un grand coup de reins. Eliane a une vue superbe sur le cul poilu et le sexe qui perfore la chatte de sa mère. Les couilles velues battent à chaque fois contre le cul exposé impudiquement à sa vue.
Eliane se branle toujours. Le spectacle est incroyable, et elle a déjà joui plusieurs fois.
La copulation dure beaucoup plus longtemps. La queue qui entre et sort est luisante de mouille.
Les gémissements, puis les cris de Monique se font crescendo. Eliane devine que la jouissance de sa mère est proche. Soudain Monique se met à crier pour de bon et se met à jouir.
-Ah ! Ah oui ! Oui ! Vas-y ! Encore ! Ah oui ! Oui ça vient ! Ahhhhh !
L'homme se vide aussi. Ils restent soudés un moment puis il se retire et se rhabille.
Monique met une robe de chambre, accompagne son amant jusqu'à la porte et elle remonte, va dans la salle de bains.
Eliane s'y trouve déjà, assis sur le rebord de la baignoire. Monique est surprise puis, devant l'air coquin de sa fille elle se déshabille, tout en lui demandant :
- Alors ma fille, tu t'es bien régalée ?
- Super ! Tiens regarde !
Soulevant sa jupe, elle offre au regard brillant de sa mère son entre jambes trempé. Les jouissances répétées ont laissé des traces, collant les poils luisants de mouille sur sa peau. Monique, les yeux rivés sur le sexe de sa fille a enlevé sa robe de chambre. Elle la laisse tomber par terre et se rapproche de sa fille.
Son entre jambes est lui aussi souillé par le sperme et la mouille.
Eliane se déshabille entièrement, enjambe la baignoire. Elle dit :
- Viens, on va se laver.
Elle ajuste la température tandis que sa mère la rejoint sans un mot.
Le jet chaud les éclabousse. Eliane coupe l'eau et elles se savonnent abondamment.
Eliane prend l'initiative de savonner le dos de sa mère. Monique fait pareil ensuite.
Puis les mains s'égarent sur les seins, les fesses, le bas ventre. Aucune ne parle mais les regards se font lourds, les caresses de plus en plus précises.
Elles remettent du savon, ni l'une ni l'autre ne veulent arrêter le jeu. Inévitablement elles s'échauffent. Eliane s'assoit sur le rebord de la baignoire et, les jambes écartées, elle se masturbe pour de bon, sans aucune gêne, mais avec un regard lourd, les yeux à moitié fermés vers sa mère.
Celle ci s'assoit à son tour et en fait autant. Eliane ne tarde pas à jouir, deux doigts dans le con et l'autre main qui branle son clitoris comme une petite bite.
- Ah que c'est bon ! C'est bon maman ! C'est bon pour toi aussi ? Dis-moi !
- Oui, oui c'est bon ma chérie ! Ah oui !
Eliane récupère à peine que Monique jouit à son tour.
- Oui ! Oui ! Ahhh !
Elles s'étreignent un court instant, se relèvent. Elles se rincent puis se sèchent.
Sans se rhabiller, elles sortent de la salle de bains.
Monique sort la première, jette un coup d'oeil à sa fille par dessus son épaule en la regardant au fond des yeux.
Eliane la suit, l'invite est on ne peut plus directe. Eliane admire les fesses de sa mère. Le cul est un peu lourd mais dépourvu de cellulite, les hanches roulent sous son regard.
Eliane referme la porte derrière elle et reste appuyée contre elle.
Monique va fermer les doubles rideaux, laissant une lumière tamisée dans la pièce puis va sur le lit s'allonge sur le dos. Mère et fille se regardent, l'atmosphère est lourde.
Eliane de détache de la porte, va sur le lit et s'allonge sur le dos elle aussi, la respiration courte, attendant la suite.
Elle ne tarde pas à venir. Sans un mot, Monique se met sur le côté et doucement sa main droite vient se poser sur le ventre d'Eliane. Commence alors une douce caresse. La main effleure plus qu'elle ne touche la peau. Elle s'attarde longtemps sur le ventre puis prend le sein gauche de sa fille. Celle-ci s'est mise à gémir depuis longtemps sous la caresse savante.
Libérant le sein durci, la main caresse le gauche tandis que la bouche vient se poser sur le téton bandé. Eliane gémit plus fort.
- C'est bon ! C'est bon maman ! Ah oui !
Eliane se tourne sur le coté, faisant face à sa mère et met sa main sur le sexe de celle-ci.
Monique, relève en l'écartant sa jambe droite. Le con est trempé.
Les soupirs montent de plus en plus. Eliane repense au spectacle que sa mère lui a donné tout à l'heure. Son désir monte encore à cette évocation. Elle ne peut s'empêcher de l'évoquer. D'une voix mourante elle demande :
- Dis-moi maman.
D'une voix entrecoupée par les gémissements celle-ci répond :
- Oui ma chérie.
Eliane remarque l'altération de sa voix.
- Tout à l'heure, qu'est-ce que ça t'a fait de me savoir derrière la porte à regarder ?
Elle ne répond pas de suite puis :
- C'était? Je sais pas comment dire?
- C'était excitant non ?
- Oui. J'étais morte de honte au début, puis peu à peu, je te devinais derrière la porte et je t'imaginais en train de te branler. Dis moi tu t'es branlée ?
- Bien-sur maman !
- Et c'était comment ?
- Meilleur que d'habitude ! Dix fois mieux !
Les gémissements ont été remplacés par des petits cris.
Et elle ajoute :
- Et pour toi maman, c'était comment ? Je veux dire c'était comment le fait de savoir que je te regardais ?
Monique halète sous la caresse de sa fille. Elle parvient à dire, la voix mourante :
- C'était incroyable ! Je savais que tu me regardais et je n'ai jamais autant joui ! Je t'imaginais en train de me regarder en te branlant et mon plaisir était multiplié par je ne sais combien de fois !
Le désir des deux femmes est à son paroxysme. Eliane lui dit qu'elle avait l'air de la provoquer lorsqu'elle reportait son visage déformé par le plaisir. Monique avoue :
- Oui ! Oui je voulais t'exciter, te faire partager mon plaisir. Après tout c'est toi qui m'as dit de continuer à le voir. Ah mon dieu que c'est bon ! Je vais bientôt jouir ma chérie ! Je sens que ça vient !
Eliane est elle aussi tout près de la jouissance.
- Oui ! Oui maman ! Moi aussi je sens que je vais venir ! Je n'en peux plus !
Les cris augmentent très vite.
- Oui ! Oui ma chérie ! Oui, tiens ! Tiens ! Ahhhh !
Et Monique jouit sous les doigts de sa fille qui elle aussi, excitée par la jouissance de sa mère ne peut plus se retenir.
- Oui ! Oui moi aussi ! Oui ! Ah que c'est bon ! Ahhhh !
Les cris continuent encore un peu, diminuant en intensité puis s'arrêtent.
Les deux femmes récupèrent lentement, puis s'embrassent sur la bouche, scellant leur union.
Eliane embrasse une dernière fois sa mère, se relève et quitte la chambre.
Eliane, est super excitée en se rappelant ces moments. Depuis qu'elle repense à ces moments, elle est en train de sa caresser et la jouissance est toute proche. Se mordant les lèvres, elle jouit en haletant, la tête sous les couvertures pour ne pas alerter son père.
Reprenant son souffle, elle s'endort très vite, épuisée.











La s'ur d'André travaille dans une petite usine de matières plastiques.
Tout comme son frère, la sexualité la démange de plus en plus.
Sous une apparence très calme, elle cache un tempérament de feu. Sans être réellement belle, elle a beaucoup d'atouts. Brune aux yeux bleus, son beau visage dissimule parfaitement ses sentiments. A l'usine, plus d'un, pour ne pas dire tous lorgnent sur son corps bien formé.
Sa poitrine, plus grosse que celle de sa mère, est attachée assez haut. Ses hanches un peu fortes mais pas trop se déhanchent d'une façon naturellement lascive et ses fesses rebondies font se retourner tous les males. Néanmoins elle passe pour une fille sérieuse et les garçons n'osent pas trop aller plus loin que l'admiration.
Sa seule amie est Eliane. Elle sait que celle-ci a sauté le pas et qu'elle se fait baiser par un bûcheron. Eliane lui a raconté tous les détails et quand elle y pense, le rouge lui monte aux joues.
Elle doit aller voir le gynéco dans quelques jours et l'idée de montrer son sexe à quelqu'un la perturbe. Non qu'elle ait peur, au contraire l'idée l'excite beaucoup. C'est sa mère qui en a décidé ainsi et elle est reconnaissante d'y avoir pensé.
Toute à ses pensées, elle arrive chez elle. Elle dit bonjour à sa mère et son frère.
Elle monte dans sa chambre, prend sa robe de chambre et va dans la salle de bains.
La douche lui fait du bien. Elle se savonne abondamment et ses mains parcourent son corps un long moment.
Elle se trouve trop grosse, ses seins surtout. Elle pense à tous les garçons qui ont les yeux rivés sur eux dès qu'ils la croisent. En fait elle les aime bien, elle voudrait que des mains autres que les siennes se promènent dessus, les caressent. Sans s'en rendre compte, elle fait ce qu'elle voudrait bien que des mains lui fassent.
Ses tétons durcissent sous la caresse. Les bouts, très gros et très longs pointent. Elle les pince, les fait rouler sous ses doigts. Elle gémit, sent son entre jambes qui mouille.
Elle n'y tient plus. S'asseyant sur le bord de baignoire, elle écarte largement les jambes et se met à se caresser.
Avec l'index de sa main gauche, elle imprime une légère rotaion sur son bouton érigé, tandis que deux doigts de sa main droite pénètrent sa motte trempée.
Le plaisir vient très vite. Elle jouit en mouillant abondamment, retenant ses cris.
Elle se relève, se rince et s'essuie, s'admirant dans la glace.
Elle descend, ils dinent tous les quatre.
Le lendemain André retrouve Eliane. Ils se sont donné rendez-vous dans leur petit coin.
Depuis quelques jours elle prend la pillule, sa mère l'a amenée chez le gynéco qui lui a prescrit à sa demande et elle va enfin pouvoir faire l'amour sans crainte et surtout découvrir le plaisir de ressentir une bite se vider en elle. Rien qu'à cette pensée elle sent sa chatte se mouiller.
Ils s'enlacent aussitôt et se retrouvent très vite allongés par terre. André commence à la peloter et très vite les seins se retrouvent à l'air.
Il s'attaque au bas, passe la main sous la jupe, elle ne porte pas de culotte. Avec un sourire salace elle lui dit :
-C'est pas mieux comme ça ? Tu n'as pas à te battre pour l'enlever au moins !
Et elle ajoute :
-Et puis j'aime ça, ça m'excite de me promener sans culotte.
André bande comme un cerf, le contact de sa main sur un sexe déjà trempé le rend fou de désir.
Il s'écarte, lève les fesses, se débarasse prestement de son short. Eliane a les yeux fixés sur la grosse bite qui s'agite.
André s'allonge tout à fait, attire la fille sur lui. Elle vient, empoignant la tige durcie, la prend en mains, admirative.
Elle ne peut attendre plus longtemps, elle le chevauche, s'introduit la queue dans une chatte brulante et déjà largement lubrifiée. Avec un grand soupir qui ressemble à un sanglot, elle s'empale à fond et s'écroule sur son jeune amant.
- Ah qu'elle est bonne ! Ah oui !
Et elle commence des mouvements de va et vient. Ses soupirs montent, de plus en plus haut. André malaxe les nichons qui dansent devant ses yeux.
La fille ne tarde pas à jouir.
-Ah oui ! Oui ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Oui ! Oui ! ! ! Ahhh !
Et elle s'écroule sur André qui n'est pas loin de la jouissance. Empoignant les deux beaux globes de ses fesses, il les écarte et, du bout des doigts, vient titiller la petite rosace qu'il sent palpiter.
Descendant plus bas, il trempe ses doigts dans la mouille qui s'écoule abondamment, revient sur le petit orifice.
Doucement il introduit la première phalange de son majeur. Devant l'acceptation muette, il accentue la pénétration. La fille grogne de satisfaction. Il enfonce son doigt à fond et le fait doucement tourner à l'intérieur.
Eliane relève la tête, le regarde avec son air vicieux, les yeux troubles.
- T'es vraiment un vicieux toi !
André fait à présent coulisser son doigt, branlant le cul. Il voit la fille qui respire de plus en plus vite. Ingénuement il demande :
- Tu n'aimes pas ?
Elle suffoque presque maintenant.
- Si, j'aime ! Continue salaud ! Ah j'adore !
Et elle recommence à s'empaler sur la bite dressée. Bientôt André commence à accompagner Eliane dans ses rales. Il est tout près de la jouissance à présent.
- Ah que c'est bon ! Ah que ta chatte est bonne ! Je vais jouir bientôt, je sens que ça vient.
La fille s'affole, elle veut le rattrapper, elle veut jouir encore.
- Non, attends ! Attends-moi ! Je viens oui ! Oui ! Ah ouiiii ! ! ! Ahhhh !
André se vide au même moment.
Ils jouissent en ralant de bonheur, Eliane s'écroule sur le corps de son jeune amant, vidée, ivre de jouissance.
Ils restent longtemps ainsi, savourant cet instant merveilleux d'après l'amour quand les deux partenaires ont bien joui.
Doucement leur respiration redevient normale.
Eliane manifeste sa reconnaissance par un baiser appuyé.
André, le doigt toujours fiché dans le cul de la fille demande :
- Dis-moi, tu voudrais pas essayer par là ?
Eliane est horrifiée.
- T'es fou ? Tu vas me tuer avec ton gros bracquemart ! Non je ne veux pas.
André n'insiste pas.
Eliane essaye de consoler le garçon.
- Je t'en prie, tout ce que tu voudras mais pas ça !
La bite ramollit dans le con de la fille. Elle se relève, libère le sexe qui retombe sur le ventre d'André avec un bruit mou.
S'asseyant à coté, elle écarte les jambes avec une totale impudeur, admirant le sperme qui sort de sa chatte.
- Qu'est-ce tu m'as mis dis donc !
Tous les deux admirent le jus qui continue à couler puis se tarit enfin.
Eliane reporte son regard sur le sexe flasque, bien que toujours conséquent. De nouveau elle s'extasie devant.
La queue est pleine de foutre et de mouille. André se rappelle les propos de la fille.
- Tu veux bien me la sucer ?
Devant l'hésitation il dit :
- Tu m'as dit que je pouvais tout te demander.
Elle s'incline, mais n'abandonne pas.
- D'accord, mais toi aussi tu vas me bouffer la chatte.
André n'y voit aucun inconvénient.
La fille vient sur lui, tête bêche.
André se rassasie d'abord du spectacle. La chatte gluante ne le repousse pas, au contraire. Ses doigts explorent l'anus qui palpite.
Eliane n'est pas en reste. Elle nettoie d'abord les grosses couilles, tout en empoignant le sexe dans une main.
Très vite elle sent que le vit se remet à grossir dans ses doigts. Quand elle a terminé de sècher les couilles qui ressemblent à de belles mandarines, la queue a repris une consistance dure.
Enfin elle l'enfourne, se met à sucer la queue.
André s'est lui aussi attaqué aux points sensibles. Sa langue, de plus en plus experte se promène entre le bouton dressé qui ressemble à une petite bite, à l'entrée de la chatte. De nouveau il sent le gout de la mouille qui s'en échappe.
Les deux amants poussent des grognements de plaisir.
C'est Eliane qui est la première à se sentir partir. Avec un grand cri, elle abandonne le membre qui lui déformait la bouche.
- Oui ! Oui salaud de cochon, continue comme ça ! Oui ! Oui, je vais jouir ! Je vais jouirrrr ! ! !
Ses cris de bonheur ressemblent à des sanglots tellement le plaisir est intense. André voit l'intérieur du sexe se contracter fortement. Le débit de mouille odorante qu'il avale se fait plus important et la fille jouit en lâchant un pet sonore, incapable de controler ses sphincters.
La jouissance est longue intense d'après les cris qui diminuent quand même après un petit moment. André ne s'arrête que lorsque la tête de la fille est retombée, apaisée, sur ses cuisses.
Des petites contractions internes qui diminuent d'intensité montrent le plaisir ressenti. Il lèche le plus doucement possible la mouille qui continue de couler du sexe, se régalant de ce qu'il considère comme un véritable nectar.
Eliane pouse un grand soupir, murmure d'une voix à peine audible :
- Cette fois j'ai cru que j'allais m'évanouir tellement c'était bon.
André est flatté, mais il aimerait bien qu'elle s'occupe à nouveau de lui. Sa bite est agitée de contractions. Doucement, il caresse les belles fesses rebondies, ses doigts s'arrêtant furtivement sur la petite rosace qui se met alors à vibrer.
- Ah oui, j'aime bien que tu caresses mes fesses ! Tu les aimes ?
André ne peut qu'aquiescer.
- Bien sur, elles sont super.
Et il ajoute :
- Et ton petit trou est bien tentant.
Disant cela, sa caresse se fait plus précise. Du bout de ses doigts mouillés il titille le petit hublot, introduit doucement la première phalange.
- Oui, j'aime comme ça, c'est bon ! Branle moi le cul j'adore mon cochon.
- Je sais que tu adores ça cochonne !
Elle rit nerveusement puis :
- Continue comme ça, je vais te sucer pendant ce temps.
Enfin elle gobe la queue, déclenchant des soupirs de satisfaction de la part d'André.
- Oui ! Ah oui ! Ah comme tu suces bien ! Ah la salope ! Oui !
Le souffle court, il sent le plaisir le submerger. Il enfonce deux doigts dans le cul de la belle qui le suce de plus belle tout en ronronnant de satisfaction. Il sent qu'il va jouir.
- Oui ! Oui ça vient ! Oui je vais jouir ! Je vais jouir ! Tiens ! Tiens ! Prends ! Bouffe mon jus salope ! Ahhhhh ! ! ! !
Les doigts fichés au plus profond de l'anus de la fille, il se vide copieusement dans la bouche goulue qui a peine à suivre à avaler, s'étouffant presque.
Peu à peu les jets se tarissent, André s'apaise doucement. Il murmure :
- N'avale pas tout, je veux t'embrasser comme ça.
Elle libère doucement le membre apaisé, se contorsionne pour venir s'allonger sur André, lui tend sa bouche pleine de sperme. André l'attire brusquement, un baiser passionné les unit. André sent le sperme qui arrive dans son palais.
Il l'embrasse furieusement durant un long moment.
Eliane se relève, les yeux pleins d'admiration pour son jeune amant. Non seulement il est membré de façon incroyable mais il est au moins aussi vicieux qu'elle. Souriante elle demande :
- Tu aimes tant que ça ton sperme ?
- Oui, tu sais pourquoi ? Comme j'avais peur de laisser trainer des mouchoirs pleins de sperme et que ma mère tombe dessus, je me suis mis à le récupérer avec moi sur mon ventre et à l'avaler. D'ailleurs je trouve que ça a bon gout. Et puis ça m'excite, je suis vicieux.
Eliane approuve.
- Oui, mais il y a pas plus vicieuse que moi alors je te comprends.
André veut justement prêt à la mettre à l'épreuve.
- Prouve-le.
Eliane, le regard plus vicieux que jamais lui rétorque :
- Je ne sais moi. Demande.
André la regarde, puis, se lâchant :
- Je voudrai te voir pisser.
- C'est tout ?
Elle se lève et vient s'accroupir tout près et bien en face de lui près de lui, écartant les jambes au maximum.
- Regarde-moi bien salaud.
Un jet mordoré sort de l'entre-jambes, arrosant l'herbe tout près d'André.
Eliane regarde le visage d'André. Celui-ci, les yeux exorbités, regarde le jet qui sort avec ce bruit caractéristique que font les filles quand elles pissent.
Le jet se tarit, Eliane est excitée par le plaisir ressenti de la part d'André à la voir se vider la vessie. Enhardie, elle demande :
- Tu veux m'essuyer ? Avec ta bouche bien sur.
- Viens !
Se relevant, elle vient mettre ses pieds de chaque coté du visage de son amant. Descendant très doucement, elle vient coller sa chatte humide sur le visage d'André, ses fesses s'appuyant sur le torse de celui-ci.
André lèche avec délectation, enlèvant toute trace d'urine. L'odeur le rend fou de désir.
A nouveau elle vient s'allonger à coté du jeune homme, ils s'étreignent comme des fous.
Ils se pelotent un bon moment puis se rhabillent, il est temps de rentrer pour Eliane.










Quelque temps après Eliane rencontre Nadine. Les deux amies ne se sont pas vues depuis quelques jours et elles sont heureuses de se retrouver.
En fait la rencontre n'est pas fortuite. Eliane a délaissé son amie depuis qu'elle fait l'amour avec André et voulant se faire pardonner, elle est allée la chercher à la sortie de son travail.
Elles papotent joyeusement, bras dessus, bras dessous. Elles arrivent bientôt à la maison d'Eliane.
Elles boivent un verre et continuent à discuter.
Eliane se montre sous son meilleur jour, car elle a un plan bien précis.
Depuis qu'elle a découvert sa bi-sexualité en se faisant sucer par sa mère et en lui rendant la pareille, elle a envie folle d'essayer avec sa meilleure amie.
Tout d'abord elle s'est rendu compte que se faire sucer par une femme est meilleur que par un homme qui ne sait pas toujours comment faire jouir efficacement de cette façon quelqu'un du sexe opposé.
Ensuite et surtout, elle adore manger une chatte. L'odeur de femelle la rend folle de désir.
Et puis les douceurs que se font deux femmes entre elles sont super, ce qui change des caresses d'un homme qui sont plus brutales, tout au moins moins douces.
Elle adore les moments passés avec sa mère après qu'elle ait fait l'amour avec un homme, et elle a pu se rendre compte que c'est pareil pour sa mère. Les deux se sont rapprochées et c'est tous les jours maintenant qu'elles se retrouvent dans le même lit tandis que le père est au travail.
A présent elle veut tenter l'expérience avec sa meilleure amie.
Il est vendredi et demain Nadine ne travaille pas. Eliane lui fait promettre de venir la voir demain matin. Elle sera seule, son père travaille et sa mère doit aller chez le coiffeur et elle en a pour toute la matinée.
Le lendemain Eliane voit apparaitre son amie. Elles s'embrassent affectueusement.
Nadine est habillée d'un corsage léger assez ample, comme souvent, dans une tentative, vaine, de dissimuler l'importance de sa poitrine. Une robe légère d'été assez large également dissimule ses fesses. Il fait déjà chaud en ce jour d'été, la journée promet d'être belle et ensoleillée.
Elles boivent un verre de soda puis Eliane invite son amie à la suivre dehors.
La maison du garde forestier est complètement isolée. Le devant donne sur la route, les autres cotés sont entourés d'un grand terrain, pour la plus grande partie en friche.
Le terrain est délimité par une cloture rustique et la forêt se trouve immédiatement derrière. Des ronces impossibles à franchir protègent l'intimité de ce terrain.
A travers ces ronces, un passage presque caché permet d'accéder à une sorte de petite clairière complètement isolée des regards indiscrets.
Ce petit endroit est un peu le jardin secret d'Eliane. Toutes les deux arrivent dans le petit enclos et elles s'assoient sur une couverture qu'Eliane a pris soin d'amener avec elle.
Comme par hasard le soleil tombe droit dessus et l'endroit est très agréable.
Elles papotent un petit moment puis Eliane a chaud tout à coup. Il faut dire que le soleil tape fort.
- J'en peux plus moi.
Et d'un geste naturel elle se débarasse de son tee shirt en le passant par dessus la tête.
S'allongeant sur la couverture elle tourne la tête vers sa copine.
- C'est super, on va bronzer. Tu devrais faire pareil toi aussi t'as chaud, regarde comme tu transpires !
C'est la vérité en plus. Eliane se dit que le ciel est avec elle. Après une petite hésitation, la fille défait les boutons de son corsage et le léger vêtement se retrouve par terre. Eliane regarde du coin de l'oeil la volumineuse poitrine de son amie. Il est évident que le soutien gorge est très serré, trop, sans doute une ou deux tailles en dessous.
Nadine s'allonge à son tour, les filles se touchent presque.
Eliane décide d'aller plus loin. Se contorsionnant, elle dégrafe les bretelles dans son dos, les ramène devant, passe l'encolure autour de sa tête et jette le soutien gorge à ses cotés.
Nadine l'a regardée faire sans rien dire.
Eliane tourne la tête vers elle, constate que ses joues sont légèrement empourprées.
- Tu devrais faire pareil, on se sent si bien. Et puis ça évite les marques.
Nadine ne dit rien, visiblement troublée par la vue de la poitrine de son amie.
Eliane décide de la bousculer un peu.
- Vas-y, enlève le, tu te sentiras mieux. Je t'ai dit que personne ne peut venir ici, regarde c'est inaccessible et personne ne peut nous voir.
Visiblement elle est tentée mais hésite encore. Eliane décide d'enfoncer le clou.
- Et puis je trouve que tu es serrée dans ton soutien gorge. Allez !
Avec un pauvre sourire timide qui émeut son amie, Nadine se relève, passe ses mains dans les dos, se met à batailler avec les agrafes. Le soutien gorge est tellement serré qu'elle a du mal. Eliane s'empresse.
- Attends je vais t'aider.
Se relevant elle a du mal à libérer l'attache.
- Qu'est-ce que tu es serrée !
Nadine passe l'encolure au dessus de sa tête et les seins apparaissent enfin aux yeux ébahis d'Eliane.
Il faut dire que la poitrine est imposante. Les gros globes tombent un peu, entraînés par leur poids, libérés de leurs supports.
Nadine regarde son amie, inquiète du jugement qu'elle semble attendre. Eliane la rassure.
- Bon dieu qu'ils sont beaux ! Comme j'aimerais avoir une poitrine comme ça.
Nadine se demande si Eliane ne se fiche pas d'elle.
- Ils sont trop gros.
- Mais non, ils sont super. Mais pourquoi tu te serres comme ça ! Regarde moi toutes ces marques.
En effet les bretelles et les bords du soutien gorge ont laissé des saillies profondes dans la peau.
Eliane passe doucement le bout de ses doigts sur les zébrures sur le dos. Nadine la laisse faire. Enhardie, elle s'approche du nichon droit qui est à sa portée.
Insensiblement ses doigts glissent sur le sein. La peau est très ferme pour un nichon aussi gros.
Eliane est a demi couchée, appuyée sur son bras gauche, la main sur sa joue.
- Allonge-toi sur le dos.
Nadine s'éxécute. Sa belle poitrine s'écarte un peu sur le coté mais beaucoup moins qu'Eliane l'aurait pensé.
- Tu sais qu'ils tiennent drôlement bien pour des seins aussi gros ?
Tout en lui parlant doucement, elle continue sa caresse légère sur le sein qu'elle parcourt entièrement à présent. Nadine la laisse faire. Eliane constate que les joues de son amie sont rouges écarlates et sa poitrine se soulève à un rythme accéléré.
S'enhardissant un peu plus, sa paume vient caresser le téton. Elle voit celui ci grossir et le sent durcir sous sa paume. Les bouts des seins sont à l'échelle de la poitrine, aussi longs et gros que la dernière phalange de son petit doigt. Elle lui fait remarquer.
- Tu as des bouts énormes dis donc. Comme c'est beau ! Tiens regarde les miens. A coté, ils sont minus !
Nadine tourne la tête vers son amie. Sa respiration s'est encore accélérée. Eliane qui a laché le sein de sa copine se caresse le sein droit, effleurant le bout turgescent qui durcit. C'est vrai qu'il est beaucoup plus petit que celui de sa copine.
- Tiens touche, regarde, il est dur mais il est petit.
Nadine se tourne sur le coté, faisant face à Eliane. Ses seins roulent et viennent au contact des seins de son amie. Voyant qu'elle hésite, Eliane lui prend la main gauche et la pose sur son propre sein.
- Là tu sens comme il est dur ?
Elle abandonne la main qui continue de tater son sein et repose à nouveau ses doigts sur le gros sein gauche de son amie. Elle caresse doucement, en faisant le tour avec des gestes doux, allant de temps en temps sut le bout gros et dur.
Nadine s'est prise au jeu. Elle aussi caresse le sein de son amie. Les souffles se font courts. Le visage de Nadine est de plus en plus rouge, Eliane ne sait si c'est de honte, d'excitation, de désir enfin. Sans doute un mélange des trois. Eliane est de plus en plus excitée, elle demande doucement :
- Tu aimes qu'on te caresse les seins ?
Après une hésitation, elle rétorque :
- Oui. Mais c'est la première fois qu'on me le fait.
- Tu te les caresses bien de temps en temps non ?
Nadine ne répond pas. Eliane insiste gentiment, voulant éviter de la brusquer.
- Moi je me les caresse souvent et j'adore. Mais c'est mieux quand c'est fait par quelqu'un d'autre.
Qu'en penses-tu ?
Nadine hésite puis :
-Oui, c'est vrai, c'est meilleur.
Eliane est heureuse, sa copine se libère, lentement, mais enfin elle se libère. Pour la remercier elle l'embrasse sur le coin des lèvres, plutôt sur les lèvres même.
- Et bien tu vois que tu es comme tout le monde. Tout le monde se caresse, les seins et autre chose. Vas-y, continue j'aime ta façon de me caresser.
La caresse est un peu timide et de ce fait maladroite mais elle veut l'encourager.
Eliane augmente l'intensité de sa caresse. Elle s'occupe de plus en plus des tétons bandés, les serre entre ses doigts, les fait rouler.
Elle se rend compte de l'émoi chez son amie car elle aussi accentue sa caresse, et elle sent que sa motte mouille de plus en plus.
Elles continuent ainsi, Nadine est de plus en plus hardie dans sa façon de caresser les seins de son amie qui sent l'excitation la gagner pour de bon.
- Ah oui, comme tu me caresse bien ! Continue comme ça. Tu es en train de m'exciter ! Dis-moi, tu aimes mes caresses ?
Cette fois ci Nadine répond spontanément d'une voix grave, sourde qui trahit son excitation.
- Oui ! Oh oui c'est bon !
Super heureuse de la réponse elle continue :
- Tu te sens bien ma chérie ? Moi je me sens toute mouillée pas toi ?
Cette fois ci l'attaque est directe. Pour la première fois, Nadine regarde son amie dans les yeux mais ne dit rien. Eliane insiste.
- Allons ! Vas-y ! Réponds-moi !
Nadine, houspillée par son amie, répond enfin :
- Oui ! Oui je suis toute mouillée moi aussi.
Et elle se mord la lèvre inférieure, comme contrite. Eliane sent qu'elle est en train de gagner la partie, d'arriver à son but : dessaler sa meilleure amie. Elle pose la main de Nadine sur sa motte trempée. Celle ci a un geste d'étonnement.
- Mais tu', heu.
- Non, je ne porte pas de culotte ma chérie. Alors tu vois comment tu m'excites ? Et toi, es tu aussi excitée que moi ? Fais-moi voir ma chérie.
Et sans hésiter, elle introduit sa main sous la robe de Nadine qui n'a pas le temps de réagir.
La culotte de Nadine est littéralement trempée. Les doigts d'Eliane forcent l'étau des jambes. Sans difficultés, Nadine ouvre le compas de ses jambes. La main s'insinue plus profondément dans la raie culière. Tout l'entre jambes de la fille est trempé, la culotte, le haut des cuisses. Elle caresse doucement, descend et remonte doucement et introduit sa main sous la culotte qui est à tordre. Ses doigts viennent au contact de la vulve trempée, les poils abondants collés à la peau.
- Toi aussi tu trempée.
De son majeur elle caresse l'intérieur de grandes lèvres largement ouvertes.
Nadine se met à soupirer et respirer de plus en plus fort. Elle sent qu'elle aussi lui caresse la motte.
Eliane couche son amie sur le dos et l'embrasse sur la bouche. Sa caresse se fait plus insistante sur le sexe de son amie, mais le slip la gène.
- Tu veux bien enlever ta culotte ma chérie ? Ce sera meilleur pour toi, et plus facile pour moi.
Nadine se contorsionne et enlève sa culotte trempée qu'elle jette à coté d'elle. Aussitôt, Eliane lui remonte sa robe, exposant la chatte de son amie. Elle admire le spectacle. Les poils collés sont abondants et remontent assez haut sur le ventre. Les grosses lèvres gonflées sont bien en relief.
Descendant un peu, elle met deux doigts dans la fente, sans aller trop profond et se met à la branler à toute vitesse.
Nadine se met à gémir, les jambes bien écartées. La chatte dégage une odeur forte qui enivre la branleuse. Nadine se met à crier maintenant.
- Ah qu'est-ce que tu me fais ! Ah que c'est bon ! Tu me rends folle ! Ah ! Ah oui ! Oui ! Ahhhh !
Soudain elle jouit, sa main vient se poser sur celle qui la branle et lui imprime un rythme plus fort.
- Oui ! Oui ! Tiens ! Ahhhh ! ! !
Elle retombe, vidée, la tête tournée de l'autre coté.
Eliane se rapproche d'elle, lui prend le menton pour qu'elle la regarde. Elle a les yeux à demi fermés, sa respiration est courte. Elle l'embrasse, son amie répond à son baiser.
Elles restent enlacées quelques minutes puis Eliane lui murmure dans le creux de l'oreille :
- Alors ma chérie comment c'était ?
L'autre hésite un moment puis :
- C'était, je ne sais pas comment dire, c'était? Super !
- Dis-moi, c'est la première fois qu'on te le fait ?
- Tu le sais bien, je te l'aurais dit.
Eliane a elle aussi une furieuse envie de jouir. Elle murmure à nouveau :
- Tu veux me faire pareil ? J'ai une envie folle de jouir moi aussi tu sais.
Disant cela elle s'allonge sur le dos, écarte les jambes, remonte les genoux et, avec une totale impudeur expose son sexe trempé aux yeux de son amie.
Celle ci se relève, comtemple le sexe, comme pour comparer avec le sien. Eliane est impatiente.
- Viens ma chérie, viens me branler, comme je t'ai fait. N'aie pas peur d'enfoncer tes doigts, mon pucelage est parti.
Nadine se rapproche, s'installe confortablement et commence à braanler son amie. Pas assez énergiquement à son avis.
- N'aie pas peur, j'aime qu'on me branle fort. Mets deux doigts, c'est meilleur !
Alors, se jetant à l'eau, Nadine se met à la branler le plus vite qu'elle peut. Ses doigts sont trempés. La belle salope se met à crier son bonheur.
- Oui ! Oui comme ça c'est bien ! Oui ! Oui vas-y ! Continue ! Continue tu vas me faire jouir ! Oui ! Oui encore ! Encore ! ! ! Ah oui ! Oui ! Tiens ! Tiens ! Ahhhhh ! ! !
Nadine s'arrête haletante. Eliane récupère un peu puis tend les bras vers son amie et l'étreint.
- Tu m'a super bien branlée ma chérie. Tu as aimé me branler ?
- Oh oui, j'adore ça ! C'est vrai que c'était bon ?
La réponse est spontanée cette fois. Le visage lumineux, embellie par la jouissance qu'elle a reçue, elle dit :
- C'était super bon. On le fera encore ?
Les yeux brillants répondent pour elle.
- J'espère bien ma chérie ! Tant que tu veux.
Elles s'embrassent de nouveau. Puis le temps ayant passé, Nadine dit :
- Il faudrait peut-être que je m'en aille non ?
Il y a des regrets dans la voix de la fille. Eliane, fière d'elle sait qu'elle a trouvé une amante servile, et prête à tout pour renouveler l'expérience qu'elle vient de vivre.
- Il est presque midi en effet.
Nadine demande :
- On peut se voir cet après midi ?
Cet après midi Eliane a rendez-vous avec André.
- Cet après midi je ne peux pas ma chérie.
Devant l'air déçu de Nadine elle ajoute.
- Cet après-midi j'ai rendez-vous avec un garçon.
Immédiatement l'oeil de Nadine se met à briller.
- Et.., il va?, vous allez?
Les joues rouges, elle ne sait comment poser la question. Eliane l'aide, lui caressant la poitrine, elle lui murmure au creux de l'oreille :
- Oui, il va me faire l'amour. On va baiser, faire plein de choses.
Puis devant le silence de son amie, elle s'écarte, la regarde.
- Dis moi, tu ne vas pas être jalouse non ? On recommencera, j'ai beaucoup aimé mais un homme c'est bien aussi tu sais ?
Elle sourit et ajoute :
- Non au fait c'est vrai, tu ne sais pas. Mais je te jure que c'est fabuleux. Il faudrait que t'essaye toi aussi. L'amour c'est bien avec une fille, mais c'est bien aussi avec un garçon. Ils ont une chose que nous n'avons pas.
Nadine la regarde, répond :
- Oui, mais pour l'instant je ne vois pas avec qui.
- Et tes copains d'usine ?
- Non, si je fais l'amour avec quelqu'un de l'usine, ça va se savoir et après tout le monde va m'embêter.
Eliane est d'accord avec elle. Elle avance sur des ?ufs.
- Tu sais le garçon avec qui je fais l'amour est prêt à faire l'amour avec n'importe quelle fille jolie et sexy. Et je ne suis pas jalouse tu sais. Si tu veux il sera d'accord pour te dépuceler. Et puis au moins je suis sur qu'avec lui tu seras heureuse.
Nadine semble intéressée, l'oeil brillant elle demande :
- Tu veux dire que je pourrai heu'
Encore une fois elle bloque.
- Si tu veux tu peux m'accompagner cet après midi et si tu veux franchir le pas il n'y aura pas de problème.
Nadine a peur de comprendre.
- Tu veux dire que je peux venir avec toi et? Rester, regarder ?
-Bien-sur, tu es ma meilleure amie. Et puis ça va m'exciter d'être regardée. Je suis sur que mon ami sera d'accord aussi.
Nadine est excitée mais demande :
- Et?, c'est qui ? Je le connais ?
Bon elle est au moins d'accord sur le principe.
- Oui, tu le connais très bien.
Et après une dernière hésitation, sous le regard interrogatif et surtout implorant de son amie :
- C'est ton frère, André.
La bouche ouverte, Nadine ne sait quoi dire. La chose lui semble énorme, impensable.
Sans lui laisser le loisir de refuser, Eliane insiste :
- Ecoute, André est un garçon comme moi, super vicieux. Il me parle tout le temps de tes seins. Il en est fou, je t'assure. La dernière fois je lui ai dit que tu étais sa soeur, il m'a rétorqué qu'il en avait rien à faire et je cite ses mots "Je ferais n'importe quoi pour la baiser, sa poitrine me rend dingue." Et il a ajouté : "Tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en voyant ses seins en rêve."
Nadine a écouté sa copine, le rouge aux joues. Pour Eliane il est net que sa vision des choses est en train de changer. Elle n'a plus sur son visage cet air scandalisé. Ses yeux brillent à nouveau.
Eliane continue.
- Oui ça le rend malade de ne pas pouvoir te peloter les seins.
Disant cela, elle continue à triturer le bout des nichons de son amie. Celle ci est complètement déboussolée, n'arrive plus à réflêchir. Depuis ce matin trop de choses sont arrivées. Eliane ajoute :
- Et puis ton frère est monté comme un ane, tu peux pas savoir !
Là c'est le coup de grâce. Nadine demande, le regard de plus en plus brillant.
- Comment il', comment est heu',.
- Tu veux savoir comment est son sexe ? C'est ça ?
- Oui, dis-moi !
Eliane, émoustillée sait que la partie est gagnée. Tout doucement elle lui parle à l'oreille, lui décrit le sexe d'André, montre avec ses mains écartées la longueur, avec ses doigts en forme de cercle, elle lui explique son diamètre, lui raconte ce qu'ils font. Eliane sent la respiration de son amie s'accélérer.
Elle est sure qu'elle en train de s'imaginer faire l'amour avec André. Eliane comprend les scrupules de sa copine, ses réticences. Une idée vient très vite à son esprit.
- Si tu veux on peut faire autrement. Je te fais voir où on se rencontre. Tu te caches à côte et tu nous regardes, André n'en saura rien, et tu pourras te régaler à nous regarder faire l'amour. C'est comme tu veux ma chérie.
Eliane est aux anges, quoi que son amie décide, elle est assurée de prendre un super pied cet après midi. Elle a un tempérament de voyeuse, elle adore voir sa mère se faire baiser et faire l'amour en étant vue, ce qu'elle n'a pas encore fait, et cela la rend malade de désir.
Nadine ne répond toujours pas. Eliane demande :
- Alors ? Que décides-tu ?
Elle regarde son amie, elle est rouge de confusion.
- OK, viens je vais te faire voir ou on se rencontre, tu feras ce que tu voudras.
Ils se rhabillent, se dirigent vers la forêt.
Eliane lui montre l'endroit, pas très éloigné de l'endroit ou ils se trouvaient.
- Si tu veux venir tu peux te mettre là, tu verras tout.
Elle regarde son amie, ajoute :
- Tu viendras dis ?
Nadine la regarde, le regard plein de convoitise, se mordant les lèvres, elle hoche la tête en signe d'acquiècement.
Eliane la remercie d'un baiser, puis :
- Super ! Bon je m'en vais, tu viens après quinze heures heures, on sera là.
Elles s'embrassent et Eliane s'éloigne.