Le cadeau d'anniversaire de Luc

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Proposée le 20/01/2011 par Marc Paul

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Luc était ravi de ce début de soirée et il rêvassait dans la voiture que sa belle Sophie conduisait. Il imaginait la suite que sa belle et perverse épouse, allait donner à sa soirée d'anniversaire. Elle lui avait d'abord fait la surprise de l'emmener dîner dans une petite auberge. Comme d'habitude, Sophie s'était faite belle pour son mari, une robe légère à fines bretelles qui ne cachait rien de ses formes harmonieuses, des talons hauts qui mettaient en valeur ses longues jambes fuselées, ses longs cheveux roux bouclés relevés en un chignon déstructuré qui laissait voir l'ovale parfait de son visage et un maquillage discret pour mettre en valeur ses grands yeux verts.

Luc fantasmait sur la suite qu'elle donnerait à ce début enchanteur. Elle se masturberait devant lui probablement, elle le faisait chaque fois qu'elle voulait l'exciter. Et peut-être, utiliserait-elle son gode rose pour le sodomiser comme elle le faisait maintenant fréquemment depuis qu'elle avait acheté ce jouet dans une réunion de vente de sextoys chez une de ses collègues de travail. Luc adorait sentir cet objet dilater son anus pendant que la belle et perverse Sophie prenait son chibre dans sa bouche. Rien qu'à l'évocation silencieuse des délices que Sophie avait vraisemblablement imaginés pour lui, Luc bandait et changea de position tant sa queue dure et gonflée, prisonnière de son boxer, le gênait.

Au détour d'un virage sur la petite route de campagne qu'ils suivaient depuis une dizaine de minutes, Sophie engagea la voiture sur un chemin empierré qui conduisait vers un étang comme l'indiquait le panneau au carrefour. Luc pensa que Sophie voulait baiser en pleine nature, la douceur de cette belle nuit de juillet se prêtait bien aux ébats en extérieur. L'érection de Luc augmenta quand Sophie arrêta la voiture près du petit étang. Sur la pelouse, quelques tables de pique-nique et un portique en bois avec deux balançoires constituaient le seul aménagement de l'endroit.

Sophie sortit de la voiture, suivie de Luc qui fit rapidement le tour pour enlacer sa belle. Ils s'embrassèrent longuement debout sous la pale lueur de la lune presque pleine. Puis mettant fin à leur baiser, Sophie prit son sac dans la voiture et entraîna son mari vers le portique. Tout en l'embrassant, Sophie poussa doucement Luc contre un des pieds du portique. Sans lâcher sa bouche, elle lui passa habilement une paire de menottes qu'elle avait tiré de son sac et le lia au poteau de bois, les deux bras attachés devant lui. Une fois son mari immobilisé, Sophie se détacha de lui et le regarda en souriant.
- Qu'est-ce que tu fais, ma chérie. Demanda Luc.
- Tu vas voir, je t'ai préparé un anniversaire inoubliable.
Elle caressait la bosse de son pantalon, défit la boucle de sa ceinture, ouvrit son pantalon et d'un seul coup descendit pantalon et boxer sur ses chevilles. Sa queue tendue, douloureusement raide jaillit d'un seul coup.

Sophie appliqua, du bout de ses doigts manucurés, quelques caresses légères sur le pieu tendu. Elle décalotta le gland violacé et le serra doucement dans sa menotte. Luc gémit de plaisir.

Pourtant des phares et un bruit de moteur annonçaient la venue d'importuns. Luc enrageait d'être interrompu alors que tout commençait si bien. Sans doute, un couple comme eux, désireux de baiser en pleine nature. Comme Sophie ne semblait pas s'être rendue compte de la venue d'étrangers, Luc lui souffla :
- Voila du monde, détaches-moi et allons ailleurs'
Mais Sophie ne bougea pas et un petit sourire fut sa seule réponse.

Une grosse berline approchait avec deux personnes à bord. Luc les voyait distinctement malgré la faible luminosité de la lune et il se dit que ces gens ne pouvaient manquer de les voir aussi. Il tenta de se cacher derrière le pied du portique, ne comprenant pas l'attitude de sa belle épouse qui semblait désireuse de poursuivre ce qu'elle avait entreprit. Sa belle érection disparut, sa queue retrouva sa taille et sa forme habituelle malgré les caresses que Sophie continuait de lui prodiguer.

Sophie sembla prendre conscience de l'arrivée des inconnus quand leur voiture stoppa près de la sienne et qu'ils coupèrent le moteur. Elle se retourna et se dirigea d'un pas décidé dans leur direction. Luc faillit la rappeler pour lui dire de le détacher, mais il était trop occupé à tenter de remonter son pantalon. Man'uvre sans succès car il ne disposait pas de la liberté de mouvements nécessaire.

Deux hommes sortirent de la voiture et Sophie s'approcha d'eux et leur parla. Luc ne pouvait entendre ce qui se disait à cause de la distance mais surtout parce que Sophie et les deux inconnus parlaient à voix basse. Sophie prit chacun des hommes par la main et les entraîna vers le portique où Luc tentait vainement de se rajuster. Il arrêta net ses tentatives infructueuses pour couvrir son intimité quand il se rendit compte que Sophie conduisait les deux inconnus dans sa direction.

Luc détailla les deux hommes alors qu'ils s'approchaient de lui, encadrant sa belle Sophie.
Tous les deux étaient grands, ils dépassaient Sophie d'une bonne tête. L'un brun, les cheveux longs attachés en catogan avec une barbe qui lui couvrait tout le visage, l'autre blond coiffé en brosse, le visage glabre. Le brun était mince, sec alors que le blond paraissait très musclé. Ses bras puissants, ses pectoraux saillants distendait son tee-shirt.

Sophie s'arrêta à un mètre du poteau ou Luc avait définitivement cessé de se débattre pour remettre son pantalon tant sa surprise était grande. Il ouvrit la bouche pour demander des explications quand Sophie lui fit signe de se taire de son index barrant verticalement ses lèvres pulpeuses. Puis elle lança un coup d'oeil vers chacun des deux hommes.

Comme si tout cela avait été prévu, scénarisé, répété de longue date, le blond passa derrière Sophie et emprisonna, dans son dos, ses deux fins poignets dans sa seule main gauche. Le brun se pencha en avant légèrement pour attraper le bas de sa robe et le relever jusqu'à la bouche de Sophie. Il lui glissa l'ourlet entre les dents, lui intimant l'ordre silencieux de maintenir sa robe ainsi relevée qui la dénudait jusqu'au nombril. La petite culotte blanche de Sophie faisait comme un triangle clair entre le haut de ses cuisses hâlées et son ventre plat. Puis glissant sa main entre ses cuisses, il lui fit écarter les jambes. Sophie ne protestait pas, elle se contentait de plonger ses yeux plus verts que jamais dans ceux de Luc.

L'homme brun fit remonter sa main vers la blanche culotte de Sophie et commença à lui masser le pubis. Il abandonnait parfois le mont de vénus pour caresser l'intérieur des cuisses.
Sophie ondulait sous ces caresses, Luc remarquait que sa femme lançait son bassin en avant pour augmenter encore le contact de son sexe avec cette main inconnue. Le grand blond profita de sa main libre pour faire glisser le zip de la robe de Sophie et lui passa par-dessus la tête, libérant ses mains que pour la débarrasser de son vêtement. Sophie portait un soutien-gorge bandeau et il le dégrafa d'une seule main. Il caressa ensuite ses deux petits seins ronds, les malaxa à pleine paume, titilla les tétons érigés, les tordant doucement. Luc, qui connaissait leur sensibilité extrême, savait que sa belle Sophie ne tarderait pas à manifester son plaisir, elle qui avait réussit une fois à se faire jouir devant lui rien qu'en se caressant les seins.

Effectivement, Sophie se mit à gémir doucement sous les caresses combinées des deux inconnus. Le plaisir manifeste de sa belle épouse fit renaître son érection, son chibre se gonfla et se redressa, démonstration évidente de l'excitation que lui procurait le spectacle de sa femme soumise à deux inconnus.

L'homme brun glissa sa main sous l'élastique de la culotte de Sophie, Luc voyait clairement ses doigts s'agiter sur la chatte de Sophie à travers le tissu distendu de la petite culotte en satin.

Sophie gémissait continuellement sous les caresses combinées des deux hommes. Les doigts du barbu brun glissaient dans sa fente inondée, écartaient les petites lèvres gonflées de sève, son con se contractait et expulsait à chaque spasme, sa mouille abondante. Jamais elle n'avait mouillé comme cela, le petit triangle en tissu éponge qui garnissait le fond de sa petite culotte en était trempé.
La main de l'homme blond derrière elle qui torturait délicieusement ses tétons faisait naître des ondes de chaleur dans sa poitrine.

Quand les doigts du barbu se posèrent à nouveau sur son clitoris dardé, gonflé qui pointait à la commissure de ses lèvres intimes, tout son corps se raidit. Elle se cambra et appuya sa tête sur l'épaule du blond qui lâcha ses mains pour la soutenir. Sophie cria de plaisir dans la nuit, pendant que la main dans sa culotte lui malaxait son petit bouton de plaisir. Son orgasme fut long car les caresses se poursuivirent longtemps avant que ses forces anéanties par ce plaisir violent ne la quittent, que ses jambes se dérobent sous elle et qu'elle glisse à genoux sur le gazon.

Sophie récupéra de son plaisir pendant quelques minutes, la tête baissée. Puis elle se releva et se pendit au cou de Luc et l'embrassa langoureusement. Le barbu en profita pour lui ôter sa culotte trempée de mouille et il sortit son dard et le couvrit d'un préservatif.

Le blond alla se mettre à coté de Luc et maintint les mains de Sophie sur les épaules de son mari pendant que le barbu derrière elle la saisissait par les hanches et enfonça son dard dans son con inondé. Sophie accueillit cette pénétration brutale avec un soupir. Le barbu besognait Sophie à grands coups de reins, lents, s'enfonçant profondément en elle, lui arrachant des soupirs d'aise à chaque fois que son chibre heurtait le fond de sa grotte.

Luc avait le visage de Sophie à quelques centimètres du sien. Il voyait ses yeux verts briller de milles éclats, il sentait son souffle haletant sur sa joue, il entendait ses petits gémissements, il sentait ses ongles s'enfoncer dans les muscles de ses épaules.

L'homme blond ne prenait plus la peine de maintenir les mains de Sophie sur les épaules de Luc. Son bras reposait tranquillement sur les épaules de celui-ci pendant que son autre main lui prit le menton, forçant Luc à détacher les yeux du visage de sa femme et à le regarder. Le visage à deux centimètres de celui de Luc, il lui dit d'une voix douce :
- Elle est bonne, ta femme, elle aime la baise, ça ce voit. Mon pote s'amuse bien avec elle, tu as vu comme il lui fait du bien.
A ce moment là, le barbu se retira un peu et guidant son dard vers le cul de Sophie, il la sodomisa d'un seul coup, s'enfonçant en elle profondément. Sophie poussa un râle de plaisir de sentir cette grosse bite dilater son petit trou. Le blond reprit son discours à l'attention de Luc :
- Tu vois maintenant comme il l'encule? Et elle aime ça, la salope. Mais moi je préfère les mecs bien foutus comme toi, mon mignon.
Et sans attendre de réponse, il posa ses lèvres sur la bouche de Luc. Interloqué, celui-ci ne chercha pas à se soustraire à ces lèvres d'homme sur les siennes. Quand la langue de l'homme blond se glissa entre ses lèvres, il ne résista pas plus mais garda la bouche fermée. Le blond lâcha son visage et commença à ouvrir sa chemise, bouton après bouton. Il lui caressa les pectoraux à même la peau, titilla ses tétons comme il avait titillé ceux de sa belle Sophie. Puis sa main continua sa descente vers son ventre. A ce moment précis, Luc se rendit compte que son pantalon était baissé et que son sexe était ainsi offert à l'homme qui forçait ses lèvres. Quand les doigts de l'homme atteignirent la naissance de sa verge, pénétrèrent sa toison pubienne, Luc frémit. Quand il sentit sa verge enserrée par une poigne virile et que l'homme blond commença à le branler, il desserra ses mâchoires et offrit sa bouche à cette langue impatiente de rencontrer la sienne. Luc ne cherchait plus à résister à ce contact homosexuel, il donnait sa bouche à ce grand gaillard blond qui le branlait doucement, il enroulait sa langue autour de cette langue masculine pendant qu'une poigne puissante lui malaxait les couilles, les faisait rouler entre les doigts. L'homme blond avait laissé son autre main glisser dans le dos de Luc et après lui avoir peloté ses petites fesses, il introduisait maintenant son doigt entre les deux globes de son postérieur.

Sophie n'en pouvait plus de se faire défoncer, branler par l'homme au catogan. Son deuxième orgasme arrivait impérieux, inexorable. Le barbu accéléra ses coups de reins, son plaisir à lui aussi tout proche. Quand elle sentit la queue qui lui défonçait le cul se gonfler, quand l'homme barbu l'attira violemment vers lui en envoyant de violent coups de reins, quand elle sentit les jets de son sperme jaillir de sa queue malgré le préservatif, Sophie enfonça ses ongles dans les épaules de Luc et jouit en criant, le corps bousculé par le raz de marée de son plaisir.
La jouissance de Sophie provoqua celle de Luc, d'autant plus que le blond le branlait de plus en plus vite. Il dégagea sa bouche de celle de son amant quand il sentit la douce brûlure de sa semence remontant le long de sa tige. Il jouit en poussant un râle profond pendant que les jets de sperme jaillissaient de sa queue, un petit d'abord qui se perdit entre les doigts de l'homme blond qui continuait de la branler, puis un second, puissant, violent qui atteignit les seins de Sophie, puis d'autres encore qui virent maculer son ventre et les derniers qui tombèrent sur le gazon.

Sans attendre que Luc récupère, le blond lui appuya sur la tête pour le forcer à se baisser. Sophie, un peu hagarde par ses deux orgasmes successifs, ouvrit la braguette de l'homme, en sortit sa queue et la dirigea vers la bouche de son mari. Luc prit son gros pieu dans sa bouche, tentant de respirer tant bien que mal en fonction des allers et retours que ce dard faisait dans sa bouche. Sucé par Luc, branlé par Sophie, l'homme blond éjacula rapidement dans la gorge de Luc en grognant. Luc reçu ses jets de sperme au fond de sa gorge, goutta la saveur salée et la consistance grasse de la semence de son amant et avala tout le foutre.

Les quatre personnes prirent quelques minutes de récupération en silence. Le brun au catogan jeta son préservatif dans une poubelle et alla s'allonger sur une des tables de pique-nique.

Sophie récupéra, dans son sac, la clef des menottes qui immobilisait Luc et la tendit au grand blond qui fit d'abord relever Luc pour lui quitter complètement son pantalon et son boxer avant de le détacher puis de lui quitter sa chemise. Il entraîna ensuite Sophie et Luc vers son compagnon en les enlaçant l'un et l'autre par la taille. Arrivé près de la table, il souffla dans l'oreille de Luc en lui caressant les fesses :
- Tu suces bien' Pour une première fois. Tu es un vrai petit pédé. Je crois que mon pote aimerait bien que tu le suces aussi. Ta belle salope va me sucer à son tour. Je préfère quand c'est un mec mais elle saura bien me remettre en forme.
Il poussa Luc en avant qui s'appuya des coudes sur la table. Il prit la queue encore flasque de l'homme brun entre ses doigts. Et commença à le sucer. Le chibre encore couvert du sperme de l'homme brun gonfla rapidement dans sa bouche. Luc s'appliquait, il avait la possibilité de la faire maintenant alors qu'avec le blond, il n'avait pu être que passif, il s'était fait baiser la bouche alors que maintenant il faisait une vraie pipe à ce mec qui venait de jouir dans le cul de sa belle Sophie. Il branlait doucement cette belle tige droite, faisait glisser sa langue sur le pourtour du gland violacé avant de le prendre complètement dans sa bouche et de le presser doucement avec sa langue contre son palais.

Absorbé par sa besogne, il entendit à peine le blond dire à Sophie :
- Ca va comme ça. Lèches lui le cul maintenant et mouilles le bien.
Aussitôt il sentit les mains de Sophie écarter les globes de ses fesses et sa langue pointue glisser doucement sur la rosette de son cul. Sophie ne lui avait jamais léché le cul, il en avait rêvé souvent mais il n'avait jamais osé lui dévoiler ce fantasme, craignant qu'elle ne refuse.
Ses caresses devaient faire de l'effet au barbu car celui-ci avait posé sa main sur sa tête et forçait Luc a absorber sa queue. Sophie avait cessé de le lécher mais elle lui maintenait les fesses largement ouvertes. Avant que Luc n'ait le temps de comprendre ce qui allait se passer, il sentit la queue dure de l'homme blond sur son anus. Le blond le saisit par les hanches et poussa doucement. Luc sentit son gros chibre s'introduire en lui. Il n'avait pas mal, habitué qu'il était de prendre ainsi le gode de sa chère épouse. Il se fit même la réflexion qu'une vraie bite était beaucoup plus agréable, beaucoup plus chaude, beaucoup plus souple, beaucoup plus douce.

L'homme enculait Luc doucement mais profondément. Luc sentait son ventre dur et musclé contre ses fesses et ses couilles frôlaient les siennes. Il se retira tout aussi doucement avant de s'enfoncer encore.

L'homme brun manifestait son plaisir de se faire sucer par Luc, il lançait de petits coups de reins pour enfoncer sa queue dans la bouche du jeune homme. Luc décida de le finir rapidement car il voulait profiter pleinement de la sodomie, d'autant plus que maintenant Sophie, assise sous son ventre le suçait et le branlait. Il accéléra les va-et-vient de sa main sur la tige qu'il suçait jusqu'à ce qu'en jaillisse la semence révélatrice du plaisir de son amant.

Maintenant concentré sur son propre plaisir, Luc sentait avec ravissement la grosse queue du blond s'enfoncer en lui, le dilater. Il se cambra pour offrir son cul à son amant, pour se faire enculer encore plus profond. Sa queue à lui, dure et tendue coulissait dans la bouche de Sophie au gré des lents coups de reins du blond.

Le colosse blond accéléra sa cadence, son ventre venait percuter de plus en plus fort les fesses de Luc qui gémissait de plaisir. Il avait passé son bras puissant sous le ventre de Luc et l'empalait sur son dard. Luc sentit les gonflements de la queue qui le perforait s'accentuer. Sophie avait du mal à ne pas laissait s'échapper de sa bouche la bite de son mari mais elle réussit à recevoir la semence de celui-ci dans sa gorge quand les deux hommes jouirent en même temps, mêlant leurs cris de plaisir.

Un grand silence, simplement troublé par les souffles des quatre personnes suivit ce moment intense. L'homme brin s'était relevé le premier et attendait que les autres récupèrent en fumant une cigarette.

Sophie se remit debout, alla se rhabiller près du portique où ses vêtements avaient été éparpillés. Le grand blond se retira du cul de Luc, jeta son préservatif dans la poubelle avant d'essuyer sa queue avec un mouchoir en papier qu'il jeta aussi dans la poubelle. Luc se releva le dernier, péniblement, un peu courbaturé et alla se rhabiller vers le portique d'un pas un peu chancelant.
Sophie se précipita vers lui, elle l'enlaça et l'embrassa. Luc trouva dans sa bouche le goût de son propre sperme. Sophie lui dit :
- Bon anniversaire, mon amour, j'espère que ton cadeau t'a plus.
- C'est probablement le plus merveilleux des cadeaux que tu puisses me faire. Cette soirée était vraiment extraordinaire de plaisir et de perversité.
- Je suis contente que cela t'ai plu. Mais allons dire au revoir à nos amis et rentrons chez nous.

Ils revinrent enlacés vers les deux hommes qui fumaient tranquillement leur cigarette, silencieux. Sophie s'adressa à eux :
- Merci pour tout. Vous avez été parfaits.
- Mais tout le plaisir à été pour nous. Répliquèrent les deux hommes en c'ur.
- Et qui sait, peut-être que nous ferons encore appel à vous' Pour ton anniversaire à toi, ma chérie. Ajouta Luc.
Tous les quatre prirent congés en s'embrassant sur les joues.