Une semaine chez sa nounou

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Proposée le 20/01/2011 par Marc Paul

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En sortant du lycée, Thomas ne prit pas le bus comme d'habitude mais il partit à pied chez son ancienne nounou. Quelques semaines auparavant, ses parents lui avaient annoncé qu'ils partaient en voyage pour une semaine. Ils lui avaient expliqué que ce voyage fêtait leurs vingt ans de mariage et qu'ils ne l'emmèneraient pas avec eux. D'autant plus qu'il devait se consacrer à ses révisions pour le bac de français.
Thomas avait proposé de rester seul dans l'appartement familial, à dix-sept ans il se sentait capable de vivre sans ses parents et surtout cela lui donnerait l'occasion de passer tranquillement de bons moments avec sa copine du moment, Anaïs. Mais ses parents avaient envisagé autre chose. Thomas irait toute la semaine chez son ancienne nounou, Nicole. Ils avaient tout arrangé avec elle et restèrent inflexibles malgré l'insistance de leur fils.

La perspective de passer une semaine chez Nicole ne déplaisait pas réellement à Thomas. Il adorait son ancienne nounou qu'il continuait d'appeler Nanny Cole, Nanny Nicole étant trop compliqué pour un bambin. D'ailleurs, il la visitait souvent, déjeunant avec elle au moins une fois par semaine, jouant avec les deux enfants qu'elle gardait. Nicole et lui étaient très attachés l'un à l'autre, surtout depuis que Nicole était seule. Son mari avait succombé à un accident de la circulation dix ans plus tôt. A trente-sept ans, Nicole avait trouvé avec les enfants dont elle s'occupait et surtout avec son petit Thomy la force de ne pas sombrer dans le désespoir. Les années avaient passé, vite, très vite et Nicole trop occupée n'avait pas pensé ou eut l'occasion de refaire sa vie.

Quand les parents de Thomas lui avaient proposé d'accueillir leur garçon pendant une semaine, elle avait accepté avec joie. A quarante-sept ans, elle se sentait seule parfois et la perspective d'avoir la compagnie de Thomas pendant une semaine l'enchantait.

Pour leur première soirée en tête à tête, Nicole avait mis les petits plats dans les grands. Thomas adorait le hachis Parmentier et elle en avait fait un grand plat qui dorait dans le four. Elle avait même été chez le coiffeur?

Le repas qu'ils prirent ensemble fut gai et enjoué. Et sitôt avalé, Nicole se colla à son petit Thomy sur le canapé devant la télé.

Sitôt le générique de fin de la série policière américaine, Thomas se leva du fauteuil en disant à Nicole :
- Je vais dans ma chambre, Nanny Cole, bonne nuit.
- Bonne nuit, mon grand. Tu vas déjà dormir ?
- Noon, je vais aller un peu sur internet.
- Ne te couche pas trop tard, je sais que tu n'as pas d'école demain, mais tout de même il faut te reposer.
- Mais oui, je suis grand maintenant.
- C'est vrai, j'ai tendance à oublier que tu n'es plus tout à fait mon petit Thomy. Excuses-moi.
Thomas sourit en déposant une bise sur la joue de sa nounou. C'est vrai que ça l'agaçait un peu, parfois, qu'elle continue de la traiter comme un bébé mais elle le faisait avec tellement de tendresse qu'il lui pardonnait de tout c'ur.

Nicole regarda le journal télévisé sur une autre chaîne avant de passer dans la salle de bains.

En sortant de la salle de bains, elle devait passer devant la chambre de Thomas pour rejoindre la sienne. Elle remarqua que la porte était entrouverte et jeta un coup d'oeil à l'intérieur en passant. Ce qu'elle y vit, l'arrêta net et elle fit un pas en arrière pour vérifier qu'elle avait bien vu ce qu'elle avait vu.

Thomas était allongé sur son lit, nu comme un ver. Il était couché sur le coté, les écouteurs dans les oreilles, il regardait l'écran de son PC portable. Ce qui troubla le plus Nicole, ce n'était pas la nudité de Thomas, bien que cette vision lui fit prendre conscience que ce n'était plus le bambin qu'elle adorait mais un jeune homme, plutôt bien fait, longiligne avec un corps fin et musclé. Rien que cette évidence la troubla mais ce qui portait son trouble à son comble, c'est que son petit Thomy se caressait en regardant son PC. Sa main allait et venait sur son sexe en érection, décalottant le gland qu'il effleurait de bout de ses doigts.

Nicole resta un long moment à regarder Thomas en train de se branler, elle cherchait à voir ce qui pouvait bien contribuer à son excitation, sans succès car elle n'était pas en face de l'écran. Elle nota que Thomas avait préparé un mouchoir en papier, probablement pour recueillir son sperme qu'il ne manquerait pas de faire jaillir de son chibre, à force de se caresser.

Nicole ressentit que quelque chose se passait en elle, dans son ventre, dans son sexe en jachère depuis très longtemps. Elle redécouvrit cette sensation qu'elle n'avait pas eu depuis qu'elle était veuve, depuis qu'elle était seule. L'évidence s'imposa à elle. Elle avait envie? Elle avait envie de baiser?elle avait envie de baiser avec ce beau jeune homme? Elle avait envie de baiser avec Thomas.

Cette pensée faillit lui arracher un cri de désir et de honte à la fois. Elle couvrit sa bouche de sa main comme pour s'empêcher de parler, de dire son désarroi devant cette relation quasi-incestueuse qui lui semblait impossible mais qu'elle désirait malgré tout.

Avait-elle parlé toute seule ? Ses mouvements avaient ils fait un bruit quelconque ? Ou bien est-ce l'insistance de son regard qui alerta Thomas ? Il détacha ses yeux de l'écran et dirigea son regard vers la porte. Nicole se recula et s'enfuit vers sa chambre mais pas assez vite pour que Thomas ne remarque pas sa présence.
Le jeune homme réfléchit quelques minutes sur ce qu'il devait faire. Ne rien faire et continuer sa branlette ? C'est ce qui lui apparut comme la meilleure solution. Il était très gêné d'avoir été découvert et ne voulait pas que sa Nanny Col se fasse une mauvaise opinion de lui. Il opta donc pour la deuxième solution qui consistait à en parler avec elle. De toute façon, son érection était retombée et il n'en avait plus envie. Thomas se leva, passa le bermuda de son pyjama et alla frapper à la porte de la chambre de Nicole.
- Entre mon grand. Qu'est-ce que tu veux ? Lui demanda Nicole qui avait eu le temps de se jeter sous le drap.
- Rien, simplement te dire que? Enfin te dire que j'aurais du fermer ma porte? Je ne sais pas quoi dire? Tu m'as vu ?
- Oui, c'est vrai que tu aurais pu mieux fermer ta porte. Oui je t'ai vu.
- Et? Et tu en penses quoi ?
- Ben, rien' Je veux dire que pour un garçon de ton age? C'est naturel' C'est normal quoi !
- Ah, bon, j'avais peur que tu sois fâchée?
- Non, tu sais bien que je ne serais jamais réellement fâchée contre toi, mon (elle faillit dire petit)? grand. Et je peux savoir ce que tu regardais, des photos ?
- Non, un film, un film porno.
- Ahh, un film porno. Tu sais que je n'en ai jamais vu. C'est comment ?
- Ben, c'est? C'est hot.. Enfin je veux dire chaud, excitant quoi !
Et Thomas lui expliqua qu'il préférait les vieux films français des années 70-80 surtout ceux avec la star du X de l'époque. Devant l'air étonné de Nicole, il lui dit que les films de cette époque avaient un semblant de scénario, contrairement aux films plus récents. Que l'intrigue, si minime, si basique soit elle, contribuait à l'exciter. Puis prit par ses explications, il lui avoua même que les actrices de cette époque ne s'épilait pas le pubis et qu'il appréciait énormément leur toison' Il s'arrêta net. Honteux de s'être laissé emporter par ses explications, il rougit devant le regard amusé de Nicole.
- He bien, dit donc, ça a l'air passionnant tout cela. Tu me montres ? Lui dit Nicole.
- Tu veux voir un film porno ? Maintenant ?
- Pourquoi pas ? Il n'est pas si tard.
- Bon, OK je vais chercher mon PC.
Thomas retourna dans sa chambre et revint immédiatement. Il brancha son ordinateur et le brancha sur l'écran plat de la télévision qui faisait face au lit et démarra la projection du film.
Dés que les premières images du générique apparurent sur l'écran, Thomas se dirigea vers la porte pour laisser sa Nanny Cole profiter seule du film mais il l'entendit lui dire :
- Tu ne veux pas rester pour regarder avec moi ? Tu n'as pas vu tout le film puisque?
- Tu crois ?
- Oui, allez, viens t'asseoir ici.
Elle tapota du plat de sa main le lit à coté d'elle.
Confortablement installés, le dos appuyé sur la tête de lit, calés par les oreillers, ils regardèrent le film en silence. Silence que les exclamations de Nicole venaient troubler au moment des scènes les plus hard.
Ce silence se prolongea quelques instants après la fin du film et que l'écran de la télé restait noir. Nicole coupa la télévision et mit fit au silence en soupirant :
- Tu avais raison, c'est chaud' Pour être chaud, c'est chaud.
Tout en exprimant ce commentaire, elle bougea et sa main frôla le bermuda de Thomas. Elle sentit contre le dos de sa main, le sexe de Thomas, dur et gonflé. Le jeune homme avait retrouvé son érection précédente. Bien que pendant la première partie du film, la présence de sa nounou à coté de lui avait un peu inhibé ses fantasmes, les brefs commentaires que les images avaient provoqués à Nicole, l'avaient excité. Sa nounou semblait apprécier autant que lui le film et il en avait un peu oublié sa présence. Ce contact sur son chibre, le ramena à la réalité et il voulut s'éloigner de Nicole quand il se rendit compte que celle-ci, au lieu de retirer son bras maintenait le contact du dos sa main avec son membre. Elle le caressait légèrement à travers la fine étoffe de coton de son bermuda du dos de sa main.

Thomas regarda Nicole et ce qu'il découvrit fit monter son excitation vers des sommets. Les joues de Nicole étaient rouges, ses yeux brillaient d'un éclat particulier. Ses tétons faisaient deux petites bosses qui pointaient à travers le tissu de sa chemise de nuit. Ce n'était plus sa chère nounou qui était allongée à coté de lui mais une femme, une femme qui exprimait par son regard, par ses lèvres roses entrouvertes, par les caresses qu'elle lui prodiguait tout le désir qui montait en elle.
Thomas approcha son visage de Nicole, celle-ci laissa échapper un « Non, non » de sa bouche mais ne détourna pas son visage et la pression de sa main s'accentua sur le bermuda. Thomas posa ses lèvres sur la bouche entrouverte de Nicole, enfonça doucement sa langue entre ses dents et trouva une langue agile, prête à le recevoir, qui s'enroula autour de la sienne. Nicole ferma les yeux et se laissa aller. Elle rendit son baiser à Thomas, elle prit à pleine main le chibre dur et tendu du jeune à travers le tissu, le sentit palpiter contre sa paume.

Thomas glissa un bras sous le drap, caressa la poitrine opulente de Nicole avant de descendre le long de son ventre, glissa jusqu'au bas de la chemise de nuit, jusqu'à mi-cuisse, posa sa main sur le genou de sa nounou, l'introduisit entre ses deux jambes qui s'écartèrent malgré elle et il remonta en lui caressant l'intérieur des cuisses, entraînant avec lui la chemise de nuit, provoquant l'écartement des jambes de Nicole au fil de sa progression. Le contact de sa main avec la toison de Nicole le rendit fou de désir, il fit voler le drap et s'agenouilla entre les jambes largement ouvertes de Nicole. De ses deux mains, il remonta la fine chemise de nuit qui ne recouvrait plus que la poitrine opulente de sa nounou et la lui fit passer par-dessus la tête.

Thomas avait devant lui le corps d'une femme, d'une vraie femme. Rien à voir avec sa copine Anaïs, fine comme une liane, musclée et le corps ferme avec ses petits seins ronds et sa chatte épilée. Non, rien à voir. Il découvrait avec Nicole, des seins lourds qui s'étalaient de chaque coté de son torse, une taille un peu empattée, des hanches larges, des cuisses un peu fortes et marquées d'un peu de cellulite et surtout, comble de l'excitation, une chatte pourvue d'une toison abondante, brune et bouclée qui faisait un large triangle isocèle barré verticalement par des lèvres gonflées, violacées, luisantes de mouille.

Nicole tira sur le bermuda, libérant le chibre de Thomas. Puis saisissant son bâton d'amour à pleine main, elle attira le jeune homme vers elle.

Thomas s'allongea sur elle. Nicole guida son pieu vers sa fente, fit glisser son gland entre ses petites lèvres avant de le diriger vers sa grotte. Elle l'attira en elle de ses deux jambes repliées sur les fesses fermes du jeune homme. Elle redécouvrit avec délice le plaisir de sentir ses chairs s'ouvrir, son con se dilater en présence d'un sexe d'homme. Thomas la pénétra doucement, surpris de la sentir si serrée, plus serrée encore qu'Anaïs qui avait trente ans de moins qu'elle. Le con de Nicole épousa complètement le volume de la queue de Thomas qui toucha le fond de la grotte inondée de Nicole. Il commença à la besogner doucement, lui arrachant des soupirs, des gémissements puis de petits cris à chaque fois qu'il la fourrait profondément. Il augmenta progressivement la cadence de ses coups de reins, Nicole l'encourageait de ses cris et de ses jambes, éperonnant ses fesses de coup de talons.

Nicole se sentit partir, le frottement de cette queue palpitante dans son vagin, le contact de son pubis avec celui de Thomas, ses coups de reins de plus en plus violents, sa main qui malaxait ses gros seins, la langue du jeune homme qui fouillait sa bouche, tout cela faisait monter en elle, un plaisir oublié depuis longtemps.

Quand les palpitations du membre qui la défonçait s'accentuèrent, quand les coups de reins de Thomas devinrent plus violents, Nicole se laissa envahir par la jouissance. Elle jouit silencieusement, son souffle s'accéléra et son con se contracta comme pour aspirer encore plus cette queue qui lui donnait tant de plaisir, qui explosait en elle en envoyant des jets de sperme qu'elle reçu au fond de sa grotte.

De longues minutes passèrent avant que les deux amants ne retrouvent leurs esprits. Thomas fit encore quelques allers et retours mais sa verge dégonflée sortit seule du vagin inondé de semence de Nicole. Il roula sur le coté et allongés cote à cote, ils s'endormirent sans vraiment s'en apercevoir.

Nicole se réveilla doucement dans la faible lueur que laissait passer les persiennes. Elle ouvrit les yeux pour découvrir Thomas parfaitement réveillé, qui la contemplait. Se rendant compte de sa nudité partielle, elle poussa un petit cri de surprise et tira le drap qui la recouvrait jusqu'à la taille pour cacher sa poitrine. Elle se cacha le visage dans les mains et sanglota :
- Mon dieu, qu'est-ce que j'ai fait, c'est horrible. Je suis une dépravée, une moins que rien. J'ai honte? J'ai tellement honte?
Thomas fut surpris de cette réaction. Il lui écarta les mains, dévoilant son visage ravagé par la honte, couvert de larmes. Il l'embrassa tendrement, Nicole se débattit, refusant ses lèvres. Thomas lui dit gentiment :
- Nicole. Je ne suis plus un gamin et ce que nous avons fait, nous l'avons fait ensemble. Nous sommes entre adultes et nous avons le droit de baiser ensemble si on en a envie. Et moi, j'ai encore envie de te baiser et de te faire jouir. D'après ce que j'ai vu hier soir, je pense que tu as pris du plaisir quand je t'ai sautée. Tu n'as pas à avoir honte de ça. Et de toute façon, ça restera entre nous.
Cette tirade laissa Nicole sans voix, Thomas n'avait pas utilisé le diminutif charmant du bambin qu'il n'était plus. Il lui avait parlé fermement, il avait utilisé des mots un peu crus, directs, comme un homme. Elle se rendait compte qu'il était un homme, un homme jeune et beau qui l'avait baisée, plutôt bien d'ailleurs, qui l'avait fait jouir alors que cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps. Sans vraiment réfléchir, un peu subjuguée par l'assurance de son jeune amant, elle se laissa aller et noua ses bras autour de son cou et l'attira dans un baiser passionné.

Les jours qui suivirent, Nicole découvrit en compagnie de Thomas un aspect nouveau du sexe. Elle avait été surprise des pratiques des actrices des films X et avec Thomas, elle découvrit la fellation, le cunnilingus et la sodomie.

Après cette semaine, Thomas rendit visite à Nicole chaque semaine, plusieurs fois par semaine, en fin d'après-midi dès que les enfants qu'elle gardait, avaient été récupérés par leur parents.