Délicieux orgasmes à la patisserie ( partie 1 )

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 16/01/2011 par Blondy16

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Aujourd'hui ne fut pas une journée de travail comme les autres, je risque de m'en souvenir pour le reste de ma vie ! Rien qu'a y repenser je m'exites, j'en ai des frissons, je ferme les yeux...

Après m'être douché et habillé comme chaque matin, je me suis rendu a mon travail, dans une patisserie renommée, je devais y confectionner un gâteau de mariage extrèmement cochon, avec des fruits, de la crème et du chocolat ; le genre de gateau que j'aime bien faire.
Je suis arrivée la première, vers midi. Il n'y avait que la nouvelle stagière qui viendrait un peu plus tard. Ah oui j'allais oublié, mon chef superviseur passerait peut-être voir l'avancement du gâteau s'il n'était pas trop occupé.

Je devais préparer le terrain pour que tout soit prêt quand la jeune apprentie arriverait. Je disposai sur les longs comptoirs diverses casseroles et ustensiles. Tout en continuant ce que je faisais, je me mis à penser à Katya, la stagière, il faut dire que je ne lui avais jamais vraiment parlé et j'avais hâte de la rencontrer personellement. Tout ce que je savais d'elle c'était qu'elle était très mignonne, avec ses cheveux noirs aux reflets violets et son teint bazané. Elle avait aussi de beaux grands yeux bleus percants que j'avais remarqué de loin.

Environ une demi-heure passa et Katya apparue dans la cuisine. Elle me fit son plus beau sourrire et je l'invitai à venir me rejoindre, tout était prêt et nous pourrions commencer nos besognes.
Après lui avoir expliqué le procédé à suivre, je lui donnai sa part de travail et me mis à la mienne. Je coupai donc les fraises et commencai à faire fondre du chocolat au bain-marie, ici tout est fait à la main et avec minutie.
Je ne pouvais par contre cessé de la regarder du coin de l'oeil, elle était légèrement vetu et je crus distinguer ses mamelons durs sous son chandail... Peut etre n'était-ce que mon imagination mais cette fille avait quelque chose d'obsédant.
Je tentai de me ressaisir et j'aggripai un chaudron de chocolat tiède mais bien fondu, quand je me retournai il se percutta sur Katya et du chocolat éclaboussa son décolleté.
Je fus extrèmement genée et m'excusai sur le champ, sa blouse était dégoulinante...
Elle me rassura que ce n'était rien, mais qu'elle devrait se changer.

Je lui tendis une autre blouse et lui dit qu'elle n'avait qu'à se changer ici, que l'on était seules. Elle retira donc celle qu'elle avait, ce qui me confirma qu'elle n'avait pas de soutient-gorge, ses seins magnifiques, assez gros et chocolatés me regardaient droit dans les yeux... Je m'y perdis.
Elle le remarqua tout de suite, j'étais loin d'être discrète, heureusement d'ailleurs !
Elle glissa son doigt sur le chocolat et deposa la trainée qu'elle avait essuyé sur son mamelon et le pinca. J'étais stupéfaite mais éxitée, je sentais ma chatte devenir chaude... Je m'approchai d'elle et elle mis son autre doigt couvert de délicieux chocolat sur mes lèvres.

Je craquai.
Je la plaquai sur le comptoir en l'embrassant fougeusement, langoureusement...
Chacuns de ses coups de langue contre la mienne embrasait ma chatte qui se réchauffait encore et encore... Elle s'humidifiait, se dilatait...

Sa poitrine se plaqua à la mienne et elle m'enleva ma chemise. J'enlevai presque aussitot mon soutient gorge et colla mes seins sontre les siens pour les glisser dans le chocolat. Mes mamelons étaient aussi durs que les siens et leur glissement soyeux me fit frémir.
Je descendit ma langue le long de son coup et de son buste. Je remontai, l'aggacai quelques instant puis portai ma bouche sur ses bouts de seins.
Je tournai ma langue autour d'eux, un sourire discret se dessina sur son visage... Je pressai ensuite mes lèvres tout autour et sucai assez fort, elle ferma les yeux... Je relechai puis mordillai et je la sentis frémir, se cambrer légerement. J'aggripai à deux mains ses seins et poursuivit mon manège de plus en plus vigoureusement. Sa respiration se fut plus intense, ses mains glissèrent dans mes cheveux et elle me releva pour m'embrasser sauvagement. Elle les descendit ensuite jusqu'a mes mamelons et les torda, les pinca et les tira doucement.
J'étais au comble de l'exitation, ma chatte brulait de désir et je doutai pas une seconde que la sienne aussi l'était.
Je fit donc descendre mes doigts le long de son corps et glissa mon majour sur ses lèvres...