Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 5/01/2011 par evasion971
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Actuellement, je traverse une période noire depuis l'effondrement des marchés financiers en 2008. Je subis les affres de la crise économique qui a touché la France de plein fouet. Comme de nombreux ménages, j'ai perdu mon emploi. J'occupais un poste d'assistante juridique dans un cabinet d'avocat. Parallèlement mon ami m'a quittée. En voie de paupérisation, j'ai dû apprendre à vivre avec 1200 ? d'allocations de chômage. Malgré cette infortune, je n'envisage nullement de partir du quartier où je vis actuellement. J'habite un charmant deux pièces de la rue Beaurepaire situé en plein c'ur du quartier Canal St Martin dans le Xème arrondissement de Paris. Je me sens vraiment bien dans ce quartier bobo, chic avec ses boutiques branchés : déco, mode vintage, coiffeur bio, librairies spécialisés, petits resto sympathiques, boulangerie à l'ancienne.
Pour ne pas me laisser envahir par de sombres pensées ni être gagné par la déprime ! J'occupe mes journées à fabriquer des bijoux. C'est ma passion, mon évasion, mon exutoire. La créativité est un moyen d'exister. Alors, je m'amuse avec cette activité ludique, plaisante et valorisante. J'utilise plusieurs variétés de perles pour faire des bracelets, des pendentifs et des boucles d'oreilles. J'aime particulièrement utiliser des perles de verre et des perles en métal. J'aime créer d'un bout à l'autre, réaliser et façonner des bijoux sensuels aux couleurs uniques et lumineuses. Je vais au gré de mon inspiration.
En cas de privation d'emploi, si l'on ne mène pas une activité manuelle, artistique ou sportive, c'est la dépression assuré au détour d'un carrefour. Stress, renfermement sur soi, perte de confiance en soi, dévalorisation de soi, c'est le début de la fin, la voie royale vers l'autodestruction, la déchéance, la descente aux enfers. Cela, je ne le souhaite pas. D'être piégée par la tentation en passant par l'acte volontaire. Le suicide est un acte condamné par les doctrines religieuses. Ca serait damner mon âme, pactiser avec le diable, m'associer aux créatures des ténèbres. Or, j'ai choisi de marcher dans la lumière, l'amour, le partage, de communier avec Dieu.
Pour garder un peu de dignité, je reste toujours pimpante. L'allure est très élégante et casual avec mon look BCBG. J'accessoirise mes tenues vestimentaires en portant mes créations. Cela m'apporte une grande fierté et une grande satisfaction. J'attire de nombreux regards de la gente masculine. Après tout, je n'ai que 30 ans et j'ai encore bon espoir de trouver mon idéal masculin.
Ce matin, c'est le rush ! J'ai sollicité le service d'un plombier afin de réparer une fuite d'eau dans la salle de bain. En attendant sa venue, je savoure une délicieuse tasse de café avec sa fine couche de mousse obtenue par la machine à café Senseo. Son arôme intense et raffiné se diffuse dans toute la pièce de cuisine. On sonne à l'interphone.
- Oui
- C'est le plombier.
- Ok, montez au 4ème étage porte gauche à la sortie de l'ascenseur
- Bien Madame
La porte d'entrée de l'immeuble s'ouvre sur un déclic. Le plombier s'engouffre à l'intérieur. Le hall est spacieux, lumineux, carrelé au sol et fraîchement nettoyé avec du produit odorant.
Je lui ouvre la porte d'entrée et le dirige rapidement vers la salle de bain. Je lui montre les dégâts causés par la fuite. En un coup d'oeil, il repère les travaux à réaliser.
- J'ai détecté une tuyauterie poreuse d'où la fuite. Je vais faire une soudure.
- Ok, faites le nécessaire ! Tant que vous pouvez stopper cette maudite fuite !
L'intervention du plombier dure deux heures. Une fois terminé, il m'annonce le tarif : un montant de 500 ?. J'écarquille, les yeux ! Aucun son ne sort de ma bouche tant la surprise est grande. Propriétaire de l'appartement, je peine à rembourser l'emprunt. Je n'ai pas les moyens de débourser une telle somme. Je plante mon regard dans le sien. Il est grand, brun, musclé, le visage triangulaire, les yeux bleu marine. Bleu intense. Bleu profond. Bleu infini comme la mer Baltique. Je sens que je ne laisse pas indifférent.
Je m'approche de lui. D'une voix douce, je lui propose un câlin buccal en guise de paiement. J'utilise le système D afin de régler cette facture trop lourde sous forme d'arrangement. Alors, j'ouvre mon corsage, mes seins jaillissent offert aux yeux du plombier. Je laisse glisser le long de mes cuisses fuselés ma jupe zippé ainsi que ma culotte immaculée. Je déboutonne le pantalon de mon beau tentateur qui s'empresse de s'en débarrasser. Son sexe est déjà dur. J'ai glissé mes deux mains en même temps dans le slip, avide de lui, de sentir, de toucher, de mesurer, de palper le désir que j'ai fait jaillir en lui. Rapidement, je fais décupler l'envie de cet homme de mes mains habiles. Je sais varier le rythme et l'allure avec des caresses légères sur la peau des testicules et autour de l'anus pendant que l'autre main coulisse sur le sexe. Je crée de l'art artisanal avec l'envie de mon partenaire. Je me mets à genoux devant lui. Je pose d'abord son gland sur mes lèvres. Je le frotte contre mes lèvres rosées et humidifiées y déposant au passage une partie de mon rouge à lèvres. Je titille le gland avec l'extrémité de ma langue. Puis, j'absorbe la verge d'un coup, le plus loin possible, à la limite de l'étouffement. Ma gorge est envahie, comblée, remplie. J'entoure cette chair gorgée de vie de ma langue chaude et humide, de mon palais, de mes joues. Je sens qu'il aime bien ma caverne douce qui l'absorbe avec brutalité. Il pousse un cri étouffé comme un râle. Il a posé ses mains sur mes cheveux. J'aspire avec force en même temps que je ressors de ma bouche le bâton de chair. Puis, je l'engloutie à nouveau. Une fois. Deux fois. Trois fois. Six fois. Dix fois. Avec une débauche d'énergie d'une amazone conquérante. Ma main gauche fait rouler sans cesse ses testicules. Il ne peut résister plus longtemps à cette douce torture. Il est au bord de l'explosion. Il libère toute la pression accumulée, sa sève jaillit tel un volcan en éruption et souille mon visage, mes seins. Je me relève et vais me rincer le visage. Tout en se rhabillant, il me raconte que de plus en plus de clientes en galère le payent en nature car elles n'arrivent plus à faire face à leurs difficultés financières.