Une soirée et une machine à laver

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Proposée le 3/01/2011 par soed18

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Nous voilà, toi et moi, à un anniversaire costumé. Tu portes une longue robe d'impératrice, ton visage est clair et tu sembles rayonnante. Voilà quelques heures déjà que la fête bat son plein, nous nous amusons comme des fous. Nous restons ensemble, l'un contre l'autre, unis par nos bras qui nous étreignent mutuellement. Nous discutons avec des personnes de la fête que nous ne connaissions pas, ils sont drôles, ils ont bu. C'est sans doute pour cela qu'ils n'ont pas froid alors que nous sommes contraints de rester collés l'un contre l'autre. J'aime sentir ta main sur ma hanche, et j'aime caresser ta hanche malgré la frontière créée par le doux tissu de ta robe. Comme souvent, ce contact me donne envie d'obtenir plus de ton être. Alors je t'embrasse dans le cou en te saisissant un peu plus fermement, laissant un peu de ma chaleur sur toi. Tu me souris, tes yeux pétillent. Je pense que tu m'as compris, je veux ton corps ici et maintenant. Bien sûr il y a trop de monde pour que cela soit possible mais je te veux. L'idée ne semble pas te déplaire car tes mains se font à la fois plus douces, fermes et aventureuses. Alors que tu te contentais de me saisir par la hanche, tu me caresses des fesses aux cotes à présent. Je passe alors dans tout dos tout en entretenant la discussion avec nos interlocuteurs. Je me sers encore un peu plus à toi, mes mains prennent tes hanches, tu acquiesces en appuyant ta tête contre mon torse. Ma main droite quitte ta hanche pour venir caresser tes cheveux, tu te retournes et me voles un furtif baiser. En soi ce baiser n'est en rien indécent mais le regard que nous partageons au même moment me laisse rêver de bons moments. Tu te retournes pour reprendre la discussion, je t'embrasse chaudement dans le cou, tu es douce. Je me redresse alors que ma main descend caresser ton dos. J'aimerais être plus entreprenant mais j'ai peur de t'emmener là où tu ne veux aller. Alors j'attends un signal de ta part, me résignant à ces simples caresses. Heureusement tu réponds à mon impatience en glissant tes mains sur mes fesses. A ma surprise tu les saisis pleinement, te doigts se referment puissamment sur mon fessier. Dès lors je n'en peux plus, je ne peux résister plus longtemps, ma mains quitte ton dos pour jouer avec ta chute de reins'
Je t'embrasse de nouveau dans le cou, mais cette fois ci j'oublie l'assemblée, je n'hésite plus à glisser ma langue sur la douceur de ta peau. Mes lèvres te susurrent tout mon désir. Je dévore ton épaule en faisant légèrement glisser le haut de ton épaule. Tu te retournes et m'embrasses fougueusement, sans gêne aucune. Comme j'aime ce regard brulant que tu as lorsque tu me veux.
Je ne peux attendre plus longtemps, je te saisis par la main et m'excuse auprès de nos interlocuteurs prétextant une chose à faire. Je te tire à moi, nous sortons de la pièce pour aller dans le couloir, tu te colles à moi, tu es brulante, je pourrais sentir tout ton désir si je le voulais. J'ouvre une porte, je découvre un petit escalier qui mène certainement à la cave. Sans réfléchir je descends, tu me suis accrochée à mon bras. Une fois en bas, j'ouvre une nouvelle porte, il s'agit certainement de la buanderie, de nombreux draps pendent, une machine à laver est en marche, elle fait du bruit. Le chauffage central est aussi ici, une grosse machine qui semble gérer l'ensemble du chauffage. L'endroit est humide mais il fait chaud. Je me retourne et sans hésiter t'embrasse, nous sommes unis, tu es douce, tu es brulante, tu es désir.
Ma bouche part découvrir ton cou, ta nuque, le haut de ta poitrine, tu es si douce. Tu n'en peux plus, tu me repousses jusque dans les draps qui pendent. Puis tu me plaques contre la machine, tu me déboutonne, mon corps est tout à toi, je suis disposé à tes plaisirs. Je saisis tes hanches et retourne la situation, te voilà plaquée contre la machine à laver. Sans quitter ta bouche, je soulève les nombreux tissus de ta robe, je ne m'en dépêtre pas, ta robe est si longue. Après quelques instants de lutte avec les nombreux plis de ta robe je sens enfin tes cuisses, ou plutôt les bas qui mettent en valeur tes cuisses. Je me fais encore plus entreprenant et remonte mes mains directement à ton sexe. Ma surprise est double lorsque je découvre l'absence de culotte ainsi que la présence d'une humidité certaine, preuve de ton désir. Alors sans hésiter je saisis mon sexe pour te prendre. L'instant est magique, j'étais en toi, en ton corps brulant et trempé. Je ne pense à rien sinon à t'embrasser de temps à autre à chaque fois un peu plus passionnément. L'insouciance, la bestialité, ce désir instantané et réciproque, la peur d'être surpris, l'amour que j'ai pour toi sont la source de notre plaisir. C'est fou et si fort, cela ne dure que quelques minutes mais je nous sens jouir. J'hurle tout mon plaisir lorsque je jouis. Tu me suis dans cet orgasme salvateur puis tu t'écroules sur la machine qui vibre encore. J'embrasse ton cou que tu m'offres, je me retire doucement en restant coller à ton corps qui tremble encore.
Nous partageons un sourire d'amant et de complice. Nous remontons main dans la main, contents et satisfaits de notre amour. Nous reprenons le cours de la soirée comme si le temps s'était arrêté pour nous laisser le temps de vivre notre passion.