Les vacances d'Adeline - 1

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Proposée le 20/12/2010 par Jul75

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Ca y est, ils y ont cru et c'est l'essentiel. Adeline se répétait cette phrase depuis le début de la semaine, et, enfin, dès demain tout sera parfait. Oui, demain. Adeline en était toute excitée et le jet d'eau s'écrasant sur son visage, coulant sur ses seins et son entre-jambe, l'enivre d'avantage.

Tant d'émotion et de sensations intenses que reflètent ses mains qui accompagnent cette eau coulant le long de son corps. Eau et mains ne font plus qu'un, ensemble elles frôlent ses mamelons et effleurent son intimité.
Et comme si ça ne la satisfaisait pas assez, elle apporte à son esprit une pensée nouvelle : Elle pense à demain, allongée sur le ventre, seins nus, sous un soleil de plomb et son Rémy à califourchon sur elle, entrain de lui masser le dos. Elle gémirait, elle lui dirait qu'elle en a envie et qu'il lui a promis.
En attendant ce moment grandiose, elle se caresse l'entre-jambe et ouvre grand la bouche pour se la remplir de cette eau délicieuse qui lui lèche la peau jusque dans les moindres recoins. Elle aimerait la remercier de tant de plaisir et de douceur, et pour ce faire elle s'écarte les petites lèvres de son index et de son majeur. Doucement, l'intérieur apparait, l'eau s'y engouffre et s'y installe avant d'être rejoint par le doigt le plus long d'Adeline. De sa paume et de ses autres doigts elle empêche l'eau d'y sortir, elle veut la récompenser du plaisir qu'elle lui procure au quotidien. Elle commence à remuer son doigt, celui qui à l'intérieur embrasse l'eau et les parois.

Son corps entier, en harmonie avec cette masturbation prodigieuse, est parcouru de soubresaut.
La bouche d'Adeline s'est refermée pour éviter de lâcher un cri mais sa main entre ses jambes n'arrête pas son jeu, et c'est au tour de l'autre main de rejoindre le sein droit, la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Sur ses jambes un liquide nouveau coule et dans la salle de bains ses gémissements sourds se font entendre. Elle aimerait crier son plaisir, car l'étouffer le rend moins intense, alors Adeline continue en espérant que même sans râler de plaisir elle puisse se satisfaire.
Elle s'écroule enfin, une main toujours entre les jambes, et l'eau qui continue de lui tomber dessus.

En dépliant une jambe pour se relever, l'eau, comme toujours, s'aventure entre ses jambes et atteint son petit trou. La sensation est agréable et Adeline y passe une main avant d'y enfoncer un doigt, c'est étroit et c'est ce qui l'excite. Elle pense à Rémy et au cadeau qu'il lui a fait et qu'il lui a promis. Tout en pensant à cela, elle retire son doigt et se le glisse dans la bouche pour le sucer langoureusement... Il lui faudra quelques secondes avant de s'en rendre compte, le goût, avoue-t-elle, n'est pas terrible mais le goût importe peu car c'est l'action, le geste, qui l'excite. Elle s'imagine les doigts de Rémy la pénétrant et qu'elle doit ensuite sucer...
- Adeline chérie, tu vas bien ? Demanda la voix d'une femme derrière la porte.
C'était la mère d'Adeline. "Vivement demain." pensa cette dernière.
- Il est tard et tu dois te réveiller tôt, aller sors de là !
Adeline sortit de la douche, malgré les caresses que réclamait encore son corps, elle y mit un terme en s'essuyant et en chassant ces pensées érotiques, pour l'instant, de son esprit.
Elle fit face au miroir et regardait son corps. Une belle poitrine, ni très gosse ni grosse, la poitrine qui excite les hommes et elle le sait bien car ceux qui l'entourent y plonge les yeux et surtout parce que sa mère le lui rappelle quand elle la voit en décolleté, parfois elle lui interdit d'en porter.
Pas un poil au-dessus de son sexe, nul part d'ailleurs.
Elle enfile une longue chemise qui la recouvre jusqu'au dessus des genoux, ne laissant ainsi paraitre que la forme de ses seins et il est rare que le tissu de la chemise se retrouve entre ses fesses ou ses jambes. Ainsi Adeline voit dans le miroir une femme droite à la poitrine galbée, le corps parfait, avec au-dessus sa tête. Les yeux marron clairs et les cheveux châtains qui virent au blond, sur un visage soigneux et fins, le charme c'est ça.
Un dernier coup d'oeil sur elle-même et elle se retrouve aussitôt dans son lit. "Demain, enfin, le voyage".