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Proposée le 17/12/2010 par JoeLami
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23, 24, 25,? Je compte les secondes qui défilent sur ma montre, attendant la fin de l'heure avec impatience. Comme tous les jours, les dernières heures de la journée sont difficiles. Je détache mon regard de la montre et parcours l'assemblée d'élèves. Le professeur d'anglais parle à l'assemblée d'élèves sans grande conviction « 'to be' veut dire ? Etre? ». Là, je croise son regard, Belle, c'est son nom, pour l'histoire je m'appellerais Pierre mais, ce n'est pas mon vrai nom. Son regard me fixe, pris de panique, je regarde furtivement les autres personnes pour éviter à tout pris son regard qui m'absorberait.
C'est cette fille qui hante mes pensées depuis la rentrée il y a de ça un mois environ. Nous sommes à la fin du mois de septembre et je suis en classe de seconde. Je crois bien que je n'ai jamais osé lui parler, elle m'intimide, Belle est trop bien pour moi. Pourtant, apparemment je ne suis pas vilain, je suis même courtisé à cette époque, je suis simplement trop timide et je ne m'imaginais pas une seule seconde d'avoir mes chances avec elle. En fait, elle m'attire surtout physiquement, je suis sûr qu'on pourrait s'entendre mais, je n'oserais jamais l'aborder. Belle est magnifique, en fait Belle porte bien son nom, elle est en fin de puberté et a maintenant le corps d'une vraie femme. Un corps magnifiquement équilibré, des cheveux châtains aux reflets auburn qui prennent parfois une couleur chocolat très douce, lisses, avec une mèche, un visage ovale avec pour moi quelque chose d'envoûtant avec ses yeux constamment pétillants cachant une certaine malice, des yeux noisette très expressifs. Si on se plonge dans son regard, on sait immédiatement si elle est triste, heureuse ou ennuyée. Je descends, atteins son nez, droit et mignon, cette bouche aux lèvres très légèrement pulpeuses. Ses lèvres ont l'air si douces, je les croquerais bien, je me demande quel effet me ferais de sentir les siennes contres les miennes, de sentir sa respiration, de rester enlacée, si nos langues s'apprivoisaient, s'exploraient' J'admire ensuite son cou, lisse, qui me guide vers ses épaules féminines à peines recouvertes par les bretelles de son top qui laissaient ses épaules dévoilées. Elle a de beaux bras, voluptueux et fermes, j'ai eu l'occasion de les effleurer une fois, sa peau est douce comme du satin, son teint légèrement est légèrement halé et lui correspond parfaitement. Belle m'envoûte et je m'enorgueillis de cette vue parfaite que j'ai d'elle. Son attention est maintenant dirigée vers le professeur qui continue sa leçon mais elle ne s'en occupe guère, moi non plus d'ailleurs, bien trop occupé à me délecter de sa vue. Après avoir repassé un coup d'oeil furtif sur son visage affable, je scrute avec attention sa poitrine, je distingue nettement deux formes rondes à travers le top, comme j'aimerais les toucher, palper leurs courbes, les caresser, les prendre en bouche même. Ils me donnent envie. Je m'arrache difficilement à ce spectacle afin de noter mes devoirs, je dois faire vite, le cours est presque fini et je n'ai pas fini de l'explorer? Son ventre est plat et elle a une taille de sablier. Elle se lève pour mettre sa veste et sortir. Le moment parfait pour admirer son bassin de femme qui précède ses fesses galbées qui doivent être fermes, rondes, aux courbes parfaites, suivant la courbure de son dos, légèrement remontées.
La fin du cours sonne enfin, les élèves veulent tous sortir en même temps, ce qui a pour effet de créer un embouteillage à l'entrée de la salle de classe, je me retrouve coincé auprès d'elle dans la cohue.
Et si j'osais, elle est si proche? Je fais alors en sorte de me rapprocher un peu d'elle. Je la vois à ma droite, Belle est un peu plus petite que moi, je respire à plein nez la douce odeur de shampoing qui émane de sa chevelure, elle est douce et mon odorat essaye d'analyser les parfums qui la composent, des odeurs fruitées, de la pêche peut-être mais, il y en a tellement. Je baisse alors mon regard, ce qui m'offre une vue plongeante dans son décolleter, je vois ses deux fruits, ils doivent être délicieux, ils sont tellement tentants' Je tente alors un petit mouvement de la main qui vient effleurer son postérieur. Elle n'a rien sentie, je relance alors une caresse douce mais plus appuyée sur son arrière-train trop parfait. Trop appuyée peut-être, elle se retourne et me regarde d'un air interrogateur.
- Excuse-moi, on m'a poussé.
- C'est pas grave.
Elle esquisse alors un sourire qui me rend pantois l'espace de quelques secondes. Je me colle alors très légèrement à elle et j'ose regarder une seconde fois dans son décolleter. Je rêve ? Elle esquisse un sourire en coin et écarte un peu son décolleter, me laissant entr'apercevoir un bout de dentelle blanche et un peu plus de sa peau bronzée. Elle n'a sûrement pas fait exprès mais je sens une soudaine montée en flèche de mon rythme cardiaque et une légère érection, la soudaineté de ce mouvement m'a surpris et troublé.
Une fois sorti de la classe je rejoins mon meilleur ami avec qui j'entame une discussion banale sur le dernier contrôle. Après l'inter-cours, je rejoins la salle de classe en retard après être allé prendre mes affaires dans mon casier, dans le couloir, je la croise alors qu'elle discute avec une de ses amies. Le couloir étant exigu, je suis obligé de me frotter à elle pour passer. Je me demande pourquoi elle n'est pas rentrée comme tout le monde, mais bon' Belle a l'habitude de rentrer avec quelques minutes de retard à pratiquement tous les cours. Lorsque je passe, je frémis à son contact. Il m'a fallu un temps avant de comprendre que sa main impose une pression au niveau de mon pénis, le temps semble ce figer l'espace d'un instant' Je ne sais pas trop comment réagir, elle n'a pas trop l'air de porter attention à sa main baladeuse étant donné qu'elle ne s'est pas arrêté de parler avec son amie mais j'ai l'impression qu'elle me masse avec ses doigts. Je me défais de cette pression avec maladresse, gêné mais elle n'a rien remarqué, par contre je sens ma verge se gonfler. Je m'empresse de rejoindre la salle et m'assoie au fond à la seule place disponible de la salle. Une fois assis, mes affaires sur la table je lève les yeux et elle est là? Debout devant moi, plus belle que jamais.
- Je peux m'asseoir ?
J'acquiesce et elle s'assoie à ma droite, j'avais oublié qu'il ne restait plus aucune place de libre, en temps normal ça ne m'aurait pas gêné mais étant donné l'état de trouble dans lequel je me trouvais je me sentais terriblement embarrassé. Une fois qu'elle fut assise, le professeur pris la parole :
- Aujourd'hui, travaux pratiques sur les spectres lumineux en binômes, pour cela vous avez le matériel à disposition sur votre table. Jeune fille lumière ! la lumière s'éteint. Nous avons besoin de travailler dans le plus sombre environnement possible et pour cela, je vous remercierais de bien vouloir rester à votre place afin d'éviter de trébuchet en vous déplaçant. Merci, tout est expliqué sur votre feuille. Je veux un compte rendu pour la fin de l'heure noté sur dix.
Bien décidé à être sérieux cette année, j'étais trop occupé à écouter le professeur parler pour me rendre compte qu'une main glissait sur ma cuisse, du haut de l'entrejambe jusqu'au-dessus de genou de ma jambe droite par lents et doux va et viens. Mais d'où venait cette main ? Puis je fis le rapprochement avec un calcul simple, le noir + la main = Belle, c'est elle. Je n'avais donc pas rêvé, elle m'avait allumé et elle profitait de l'emprise qu'elle avait sur moi. Je sursautais d'abord puis me raidit.
- Touche moi aussi, ou tu préfères que j'arrête ?
Je n'eus d'abord aucune réaction et ce fut elle qui me prit la main et la posa contre sa jambe. « Personne ne peut se douter de rien, pensais-je. Il fait noir, les gens travaillent, ils sont absorbés dans leur travail' » Je me mis alors à la caresser, timidement d'abord, puis je pris de l'assurance. Je touchais ensuite son ventre plat et elle me passa la main sous son top, pendant ce temps-là, elle n'avait cessé de me caresser, restant de plus en plus près de mon entrejambe, jusqu'à ne caresser que cet endroit là? Je sentais une boule chaude dans mon ventre, le désir je pense. J'avais remonté ma main sous son haut et constata que son soutien-gorge ne s'y trouvais. Laissant la place à une paire de seins épanouis. Je me mis alors à lui malaxer la poitrine d'une main, je sentais ce globe doux et ferme, réchauffant ma paume. Je prenais du plaisir à toucher, caresser, palper cette forme nouvelle au toucher, je la sentit vibrer de plaisir tandis que ses tétons pointaient, se durcissaient, formant deux petits volcans logés sur deux collines rondes et fermes dont la chaleur si douce m'enivrait. C'était la première fois que je touchais des seins, j'étais frustré de ne pas pouvoir les admirer. Je ne pouvais plus rien faire pour cacher la bosse dure qui semblait vouloir exploser mon pantalon, se libérer, pouvoir s'épanouir sous les soins de ses doigts qui tournaient, tournaient sur le jean, seul mince rempart entre ses mains si fines et douces et ma lance roide et gonflée. Mon rythme cardiaque s'emballait ainsi que le sien que je sentais fort a travers sa poitrine « poum-poum'poum-poum' ». J'avais le souffle court' Elle me regardait, les yeux pleins de fougue. Elle se mit à accentuer la pression qu'elle exerçait, me mettant à rude épreuve.
Elle avança alors lentement son visage du mien, je sentais son souffle rapide chatouiller mon menton de mon visage tandis qu'elle me prenait les lèvres, elle m'embrassait à pleine bouche, me mordillant les lèvres, léchant celles-ci, je buvais son baiser. Belle resta pendue à mes lèvres un moment, nous savourions cette intimité dans le noir de la salle de classe. Elle se décrocha de moi pour venir me susurrer à l'oreille « Continue? C'est parfait' ». Elle me reprit alors les lèvres une seconde fois, je sentis ensuite la pression de sa main décroître puis ses mains s'affairées à ouvrir ma braguette. Non' quand même pas' ça? Non, pas en plein cours' Si ? Elle sortit ma verge de sa prison, non sans mal' Mon gland était sur le point d'exploser, mon pénis avait une taille que ne lui connaissait pas lors de mes courtes sessions d'autosatisfaction le soir sous la couette, tant mieux. Mais que voulait-elle faire avec au juste ? En plein cours, comme ça. Et si quelqu'un allumait la lumière ? Je n'eu pas à chercher la réponse bien longtemps lorsque, l'empoignant, elle se mit à effectuer de délicats va et viens, avec attention. Elle allait lentement, sentant que j'aurais des difficultés à retenir mon plaisir accumulé sinon. Doucement, elle m'embrassait, avec autant de délicatesse. Elle me dit « Tu m'excites, touche moi? ». Je ne pouvais pas faire grand-chose, mais je continuais de la caresser, avec autant d'attention que celle qu'elle me donnait. Je l'embrassais dans le cou, caressait sa poitrine des deux mains, je faisais passer mes mains sur tout son corps sous son haut, malgré tout, j'ouvris la braguette de son jean, j'y glissais ma main, sa culotte était trempée? Son vagin gonflé. Malgré mon manque d'expérience, je savais que pour donner du plaisir à une femme, il fallait trouver son clitoris, son « bouton de plaisir ». Après quelques tâtonnements, je compris que je l'avais trouvé lorsqu'elle se crispa, émettant un doux gémissement. Je commençais alors quelques caresses, mes doigts exploraient la surface douce de sa vulve humide. Elle était imberbe, il ne restait plus qu'un petit triangle touffu au-dessus de son abricot. Je tentais alors l'introduction d'un doigt dans son jardin secret. Elle gémit. Mon pénis était en extase, mon gland épanoui se trouvait au bord de l'explosion, sentant la fin proche, je saisis ma copie de devoir de ma main libre et format un cône autour de mon Irréductible. Je pus ainsi me libérer de mon plaisir accumulé et le laissa jaillir à sa guise dans son réceptacle improvisé. Ma Dure ne tarda pas à redevenir molle et à rapetisser, je la rangeai sagement dans mon caleçon et Belle referma mes boutons de braguette.
Je n'en avais pour autant pas fini avec elle. Ma main glissée dans son intimité s'affairait à rattraper son retard. Je la pénétraie d'une phalange pour commencer, puis au fur et à mesure qu'elle s'ouvrait à moi, je m'enfonçais plus profondément dans cette chaude grotte. Elle gémissait, me chuchotant de continuer, répétant sans cesse de continuer? Cet étroit et humide fourreau se rétractait par à-coups, semblant vouloir emprisonner mon doigt en lui et ne jamais me laisser arrêter. Elle haletait, me regardait vaguement, la bouche entrouverte semblant vouloir me dire quelques mots sans y parvenir. Ses mains avaient empoigné mon poignet et me guidaient vers le paroxysme de son plaisir. Elle se courbait, frottant sa poitrine à mon bras, les bras tendus vers son entrejambe, tentant de faire augmenter son plaisir, comme si en poussant ma main contre celui-ci, son vagin m'accepterai encore plus profond que l'était déjà les deux doigts que j'y avais glissés. Son souffle si proche était rapide, elle se saisit alors de mon bras et se crispa, ses jambes furent prisent de soubresauts et elle se recroquevilla sur elle-même. Haletante, elle colla son visage au mien et m'embrassa. Je dégageais alors doucement ma main de sa culotte et referma sa braguette de ma main sèche. Elle prit alors mon autre main et mis mes doigts dans sa bouche, léchant ce liquide provenant de sa propre source intime.
A ce moment-là, le professeur me posa une main sur l'épaule. Nous sursautâmes, il nous fit alors remarquer que nous n'avions rien fait depuis le début de l'heure.
Nous ne fîmes même pas attention à ce qu'il avait dit, j'avais à peine eu le temps de cacher la copie pleine de ma semence derrière le radiateur et elle de retirer mes doigts de sa bouche sans qu'il ne s'en rende compte. Alors, nerveusement, nous nous mîmes à rigoler. De la situation et du fait que le professeur avait assisté à la scène sans se rendre compte de ce qui se passait. Il ralluma alors la lumière et après avoir ramassé les copies et constaté qu'il n'aurait pas la nôtre, nous nous vîmes promis « une bulle » comme il dit. Un ami me regarda interloqué après l'annonce du professeur étant donné mes résolutions de travail.
A la sortie du cours, elle se sépara de moi et nous convînmes qu'il ne fallait pas en parler à qui que ce soit. Une fois sur le parvis, je me dirigeais seul vers mon arrêt de bus situé à environ deux cents mètre. Je marchais énergiquement mais troublé par les évènements, quand j'entendis des pas très rapides derrière moi. En me retournant, je constatai qu'il s'agissait de Belle. Elle me sauta au cou en riant, nous nous embrassâmes fougueusement à l'abri des regards indiscrets. Elle me regarda ensuite dans les yeux et me dit « Merci ». Sur ce, elle tourna le dos et s'en alla. J'ouvris alors ma main pour lire le papier qu'elle y avait glissé lors de notre enlaçade. « Mon numéro de téléphone et mon adresse, passe chez moi samedi? » avec un petit c'ur dessiné à la main. Vivement samedi?