Le loft de la luxure

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Proposée le 26/11/2010 par alibaba

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Chapitre 1 Rencontre avec la voisine

Je me présente
Mon nom est Alexandre.
26 ans, je suis entrepreneurs programmeur en informatique et ingénieur en domotique.
Je suis aussi, contractuel dans une firme en infographie.

Je viens d'arriver avec les déménageurs à mon nouveau loft sur le plateau Mont Royal. Durant que les déménageurs s'affairent à entrer mes boites et placer mes meubles on conge au cadrage de la porte qui était entre ouverte. Une belle et jolie femme légèrement rondelette a la peau basanée de couleur miel, début cinquantaine cheveux noirs aux yeux noisettes, fort séduisante et sexy se présente vêtue d'une robe en coton d'inde quasi transparente laissant place à l'imagination de percevoir les formes de son corps et tout particulièrement, le brun de ces mamelons contrastant sur le blanc de sa robe.

- Bonjour je suis Hélène. Je suis votre voisine de gauche. Je viens vous souhaiter la bienvenue en ces lieux. Me dit-elle avec un petit accent des pays d'orient.

- Entrez. Puis-je vous inviter à partager avec moi un verre de vin malgré ce désordre et ce tintamarre de va-et-vient.

- Je n'ose vous dire oui, j'ai crainte de vous déranger.

- Non entrez. Vous ne me dérangez pas au contraire cela va me permettre de relaxer quelque peu' Et surtout en bonne et belle compagnie


- Bon d'accord' J'accepte votre invitation avec plaisir.

Elle se dirige en prenant une chaise et prend place assise à la table au travers l'encombrement des boites. Elle se place face à la fenêtre, laissant le soleil l'éblouir et la caresser de sa chaleur. Debout devant elle, lui versant le vin, je ne peux m'empêcher de jeter un regard plongeant et indiscret sur le sillon de ces seins qui, caressés par les rayons de soleil, font apparaître à travers le coton les belles et douces courbes et formes rondes de cette poitrine de femme mure. En parlant de tout et de rien pendant quelque minutes elle me convie à me joindre à elle pour ma première réunion du syndicat des proprios de l'immeuble, qui aura lieu, se soir à 18h00 à la salle de réunion porte 101 au rez-de?chaussé. Je lui confirme ma présence avec empressement.

- Bien oui pourquoi pas, J'accepte cette invitation si bien gentiment formulée de votre part.

Le temps passe et nous maintenons une bonne relation qui je souhaite, sera des plus amicale. Les déménageurs ont terminé, ramassent leurs équipements et quittent le loft. Nous sommes enfin seuls, tous les deux devant nos verres de vin. Elle m'invite à la suivre sur le toit avec nos verres et la bouteille de vin, voir l'aménagement qu'elle a elle-même supervisé du jardin de ville, qui a été créé là-haut, sur le toit de l'édifice il y a peine quelque mois. Nous quittons mon loft. Me guidant dans les méandres des corridors nous menant à l'ascenseur, elle m'indique les portes et numéros et les noms de nos voisisn et voisines en ajoutant quelques commentaires quelques fois saugrenus et cocasses. Rendus sur le toit, les portes de l'ascenseur s'ouvrent. Je la suis de quelques pieds et ne peux m'empêcher de lui reluquer son derrière aux formes rondes et fermes. Je remarque à travers sa robe de coton blanc, éclairée par le soleil, qu'elle ne porte pas de petite culotte ou si oui, peut-être un très fin et léger string. Quel ne fut mon étonnement en voyant sur le toit toute cette verdure et toutes ces fleurs aménagées de façon ordonnée et un peu plus loin, des meubles disposés stratégiquement. Il y a même une petite cascade qui se trouve juste à coté d'une petite aire de repos à laquelle je prends place, assis jambe écartées sur le banc de granit noir chauffé par le soleil. Je dépose nos verres et la bouteille de vin. Elle enjambe elle aussi pour prendre place assise en face de moi et au moment que ces fesses touche a peine le granit chaud elle sursaute.

- Oh c'est chaud. En me souriant

Elle relève ces fesses en se penchant vers moi me laissant percevoir ces mamelons qui pointent à travers le tissu de sa robe qui colle à sa peau rendue humide par la chaleur et de ces deux mains, relève légèrement les ourlets sa robe. L'intensité du soleil éclaire son entre jambe me laissant entrevoir comme je l'avais anticipé, son string engouffré dans les rebords des lèvres de son vagin. Puis elle s'assoit lentement et délicatement de nouveau laissant sa peau prendre graduellement la chaleur du granit. Je ne peux m'empêcher de regarder et de contempler ce corps de femme qui s'offre a moi. Elle me regarde sachant bien évidemment que je la reluque subtilement tel un voyeur. Elle joue un petit rôle coquin d'exhibitionniste en se contorsionnant langoureusement pour finalement prendre place. Je ne peux m'empêcher de fantasmer sur la chaleur que ce banc doit transmettre à ces fesses et à sa vulve.

Nous avons parlé longuement. Après avoir terminé la bouteille de vin, nous avons quitté ce lieu précurseur à de nombreuses frasques à venir. On se dirige à l'ascenseur. Je ne peux pas détourner mon regard. Mes yeux sont fixés sur ces fesses qui sont humides et collées au tissu de sa robe. Arrivés à notre étage, nous nous sommes quittés chacun dans notre loft respectif. Je profite de l'occasion pour défaire quelques boites et de placer les meubles et décoration et accroche toutes les photos et peintures. Je regarde ma montre et constate qu'il est 17H50.

Je me dirige avec empressement vers la salle 101 et sonne à la porte. Un homme ouvre et m'invite à prendre place à la table de concertation. Hélène était très enjouée de me voir. Elle me fit signe de la main de m'asseoir à coté d'elle. Ce que je fis sans hésiter. Elle me présenta fièrement à tous les membres du conseil. Durant toute la réunion, j'avais l'impression que plusieurs femmes et en particulier Hélène ne cessaient de me regarder du coin de l'oeil, me déshabillant presque du regard. Je ne pouvais m'empêcher penser et de fantasmer sur certains des commentaires que Hélène m'avait divulgués en direction du toit, sur des scénarios impudiques dans lesquels ces femmes qui me courtisaient de l'oeil, me faisaient l'amour.

Je percevais doucement mon pénis se gonfler de plaisir et essayas de l'empêcher de sortir de mon bermuda en serrant et collant mes cuisses ensemble pour retenir celui-ci entre mes jambes. Le temps passe. Nous commentons et discutons à tours de rôle sur l'ordre du jour. La réunion terminée, Hélène me représenta un à un les membres de cette assemblée et me remercia d'être venu et de m'être impliqué en participant aux discussions. Nous quittons tous la salle chacun se dirigeant vers son loft respectif. Tout en me dirigeant vers mon nouveau chez moi, je ne disais que j'aurais bien pu inviter Hélène à venir prendre un café ou un verre de vin. À entrant dans mon loft, je termine de m'installer et de vider tous les boites.

Apres cette corvée, je me dirige à la salle de bain pour y prendre une douche bien méritée. L'eau tiède me masse le corps et me fait du bien. Les pulsions refoulées précédemment devant ces femme m'envahissent soudainement l'entre-jambes. Je ne peux m'empêcher de me masturber tout en imaginant prendre ces femmes qui gémissent sous ma bouche collée à leurs sexe et les va-et-vient de mes reins dans des positions, disons le assez torrides, ayant une imagination fertile et étant vicieux. Après avoir éjaculé, je termine de me laver, je me sèche et me dirige à la cuisine pour me servir un bon verre de vin, n'ayant comme seul vêtement un peignoir autour de ma taille. Je me dirige au salon. Je regarde mes collections de livres et revues que je venais de placer et de classer. Je prends un livre et vais le lire tranquillement blotti dans mon lazy-boy préféré en écoutant de la musique douce de relaxation. Un peu plus tard dans la soirée, les pensées perdues dans l'univers fantastique de mon livre, je suis interrompu par la sonnette de la porte que je distingue à peine à travers la musique. Me demandant qui pouvait bien sonner à cette heure, j'ouvris la porte et aperçus Hélène vêtue simplement d'un petit boléro en soie blanche et un petit boxer en coton blanc avec un grand sourire tenant une bouteille de vin à la main, me demandant si elle pouvait entrer pour faire plus ample connaissance.

Je l'invitais à entrer volontiers avec joie et anticipation, puis elle enleva aussitôt ses souliers en me complimentant en regardant l'aménagement et sur les façons dont j'avais disposé mon intérieur et profita de l'occasion pour me féliciter encore une fois d'avoir participer et interagir en prenant la parole à quelques occasions pour faire valoir certain point à cette réunion. Elle m'expliqua aussi que plusieurs de ces voisines avaient apprécié ma présence et qu'éventuellement elles viendront se présenter d'elles-même. Ensuite elle me demanda si elle me dérangeait en regardant mon peignoir, je lui souris et allai mettre un jeans. Revenant de la chambre, elle était là debout devant le mur, regardant une des photos et me dit.

- Vous avez de bien belle photos et peinture de femmes nues accrochées a votre mur.
En se dirigeant ver la table

- Merci? Je prends des cours en photographie et me perfectionne aux beaux arts avec une nouvelle technique d'aquarelle.

- Félicitation pour le choix de vos modèles féminins' Elles sont vraiment belles.

Dès qu'elle fut assise à table, je lui offris de déboucher la bouteille qu'elle avait apportée et nous servit un verre de vin puis nous commençons à parler de ces photos de nu. Plus le temps passe et plus notre conversation s'alimente de sexe. Nous amplifions nos pulsions verbales, les mots et les pensées s'enflamment. Elle me regarde et sait que je la déshabille du regard avec mes yeux de jeune pervers. Elle se leva doucement et s'accota un sein sur mon épaule pour m'embrasser.

Elle bécota les lèvres de ma bouche et de sa langue fouineuse lécha les rebords de ceux-ci pour que je lui donne ma langue et profitant du moment, elle glissa sa main le long de mon entre-cuisses et palpa vicieusement mon membre qui commença à gonfler de plaisir à l'intérieur de mon peignoir. Très doucement elle suce ma langue et la mordille légèrement. Apres cet échange bref de nos salives, elle m'entraîna dans ma chambre par le rebord de mon peignoir, dans celui-ci était collé à ma cuisse mon pénis bien bandé.

Elle s'agenouille devant moi et enleva mon peignoir pour prendre possession avec délicatesse de mon membre dur, le diriger dans sa bouche et commença à me le sucer avec passion en me masturbant doucement, essayant à quelques reprises de la prendre au complet jusqu'au fond de sa gorge, s'étouffant presque à chaque fois. Devant cet enthousiasme, je la pris dans mes bras et la déposai sur mon lit en lui enlevant doucement tous son linge et commençai à lui téter ses mamelons qui devenaient durs sous le contact de ma langue chaude et avide de son corps de femme. Je laisse à ma main fébrile le soin de glisser doucement en suivant les contours de son bassin et de son ventre qui suavement se soulève pour aller finalement rejoindre et coller mes doigts à son entre-jambes.

Je la pénètre timidement de mon majeur. Je sens la moiteur de son vagin gagner de plus en plus de fluidité au fur et à mesure que l'insertion de mon doigt lui procure du plaisir. Elle soulève son bassin encore plus haut et de ses mains me prend la tête et la dirige vivement entre ces cuisses en collant mes lèvres contre son vagin. De ces deux mains, elle prend chacune de ces lèvres et les écartèle exposant sans gène le rose de sa vulve et son clitoris caché sous son petit capuchon de chair, sachant bien que l'amant qui est là, a genoux entre ses jambes, rage de plaisir à la vue de cette partie de son corps.

Je ne peux résister à ce moment qui appelle une contribution à la luxure, pour la couvrir de doux et chauds baisers et de caresser ce petit bouton d'amour du bout de ma langue tournoyante à laquelle, avec désinvolture, j'applique de légères pressions tel un piston et que de mes lèvres chaudes et humides lui bécote les lèvres de sa vulve qui impatiente espère que ces doux et charnels supplices ne cessent jamais.

Elle écarta largement ses jambes et me demanda de cesser le va-et-vient de mes doigts et de doucement la pénétrer avec mon membre qui était en pleine érection. Je me place à genoux entre ces jambes et place ma verge enflée d'appréhension et de luxure aux rebords de sa vulve. Au contact de mon gland gonflé de sang sur sa vulve humide, elle soulève doucement son bassin et commence à la faire pénétrer doucement à l'intérieur de son intimité humectée par ma salive. A peine quelques minutes et quelques coups de hanche de sa part, qu'elle s'agrippe à mon cou et à grands coups de reins commença à me pistonner le pénis avec vigueur pour que celui-ci s'enfonce au plus profond de son vagin. Elle ne cessait d'augmenter la cadence et de resserrer son étreinte vaginale autour de ma verge.

Apres une vingtaine de coups de son bassin je constate et la sens se crisper laissant échapper de sa bouche quelques légers cris de jouissance. Je décide de prendre possession du moment pour que moi-même à mon tour, la pénètre farouchement et vivement à grand coup de reins. De mes dix pouces je la mitraille à grands coups de reins. Elle relève les jambes et les écartèle largement en relevant encore plus haut son bassin pour recevoir mes hanches et mon membre afin qu'il touche le fond de son corps.

Elle me prend en ciseaux, entourant de ces jambes mon corps et de ces talons, plantée à mes reins elle m'indique la cadence à laquelle elle veut que je la fasse jouir. Elle me chevauche comme une amazone endiablée jusqu'au moment où elle explose en éjaculant sur moi. D'une poussée d'adrénaline, elle prit les commandes et me demanda de me coucher sur le dos. Elle écartela mes jambes et prit place entre celles-ci face à mon membre fébrile qui sautillait de joie et d'appréhension d'éjaculer. Étant déjà satisfaite, et voulant absolument me faire jouir, elle se mit à me sucer avec témérité, en massant mes couilles, les léchant, me suppliant de lui décharger en plein visage mon sperme chaud.

Elle commença à me masturber avec force et vigueur à grands coups de poignet. Le plaisir fut si intense que je jouis immédiatement sur son visage et avec voracité elle suça le sperme qui s'en échappait. Elle était très heureuse de recevoir ce liquide chaud, de m'avoir comblé comme je l'avais fait. Nous sommes sortis de la chambre, nus et en sueur, on se dirigea à la salle de bain pour nous nettoyer les partie génitales. Nous somme sortis et nous rendîmes à la cuisine pour boire un peu de vin. Apres nous être désaltérés, je l'invitai à passer au salon pour nous asseoir et nous relaxer. Apres cette petite escapade charnelle je lui demandai :

- Cela te plairait-il de faire une séance photo dans le salon, devant la fenêtre, car l'éclairage est parfait à cette heure ?

- Oui? Et j'aimerais moi aussi, prendre quelques photos de toi en tenue d'Adam pour mon site web et je crois même que c'est moi qui vais commencer à prendre les photos.

Le temps que je sorte et installe mes équipements elle me dit.

- Je vais aller chez moi me doucher et pour mettre du linges plus confortable et revenir aussitôt.