Coup de chaleur la suite

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Proposée le 25/11/2010 par Paul P

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Vendredi fin de journée, cela fait trois jours depuis mon escapade Lyonnaise, je sens ma vulve gonfler et la température monter dans mon bas-ventre, j'espérai être calmée plus longtemps. Ma fille prépare son sac, son grand-père paternel vient la chercher, les joies du divorce. Samedi soir, j'irai dans la campagne Bressoise, je ne connais pas l'endroit, c'est un correspondant virtuel qui m'a vanté ses mérites. Vingt-quatre heures à attendre, la sonnerie de l'entrée retentit.
Ma puce se précipite à la porte, salutations polies, quelques consignes pour les devoirs, je voudrais lui interdire de faire du prosélytisme avec ma fille mais cela ne le conforterai que davantage contre la femme pécheresse que je suis à ses yeux. Maintenant en le voyant agir avec ma fille, je comprends pourquoi mon mariage était voué à l'échec, et finalement je trouve bien des excuses à mon ex, lui qui éteignait la lumière pour faire son devoir conjugal au début du mariage. J'étais trop jeune, je n'ai pas réussi à faire sauter ses tabous, encore si j'avais fait psycho mais ce n'est pas le cas.
Dans ma famille, pourtant assez bourgeoise, le corps n'était pas tabou, enfant j'ai même vu mes arrières grands-parents paternels nus, ils n'étaient pas exhibitionnistes mais ne se cachaient pas si quelqu'un entrait dans la salle de bain ou dans leur chambre. Par contre des deux côtés presque tous étaient athées. J'ai pris du côté maternelle un tempérament certain pour les choses du sexe. Il faut que je me soulage, je ne tiendrais pas jusqu'à demain soir.
Je regrette d'avoir jeté mon vibro après que ma fille l'ait trouvé à quatre ans, elle ne voulait pas me le rendre pensant que je ne voulais pas le lui prêter, elle ne croyait pas si bien dire. Je cherche ce que je vais bien pouvoir introduire dans mon vagin en fusion, le jet de la douche ne me suffit plus depuis longtemps. Je pense à la double de mardi, qu'est-ce que c'était bon. Je sors diverses bouteilles qui pourraient remplir mes orifices mais je ne trouve pas le moyen de les faire tenir suffisamment pour que je puisse coulisser dessus à loisir et avoir les mains libres. Je suis très excitée, je trouve dans un tiroir la lampe torche que j'ai pas mal utilisée à une époque, les picots antidérapant me donnait de bonnes sensations.
J'ai une idée, je démonte la lampe et la met au bout d'un manche à balai que je le coince avec un autre balai entre le lit et le mur, je m'empale la chatte et le cul en levrette, quand j'avance la lampe vient avec. J'en rage, mais le manche dans mon cul n'était pas assez gros. Je fixe la lampe par une petite vis sur le manche en bois, je cherche comment augmenter le diamètre de l'autre. Je tombe sur un rouleau de scotch gaufré censé protéger les vitres quand on peint. Je commence à enrouler la bande autour du bois, je fais augmenter le diamètre progressivement, une idée me vient, je coupe la bande dans la largeur et je créé des anneaux plus épais le dernier est gros et large. J'enfile une capote dessus et lie les deux balais avec une ceinture en tissus.
J'attache mon montage à la barre horizontale de mon lit, je me mets à quatre pattes, bien que je sois déjà trempée je me caresse un peu mais mon bras n'est pas assez long pour que cela soit confortable. Je vais me lever quand je vois dans mon champ de vision un bougeoir, je prends la bougie, fais un essai, son diamètre s'insère parfaitement entre mes lèvres intimes. J'ai peur que mon bourgeon fasse fondre la cire tant il est brûlant. Je lâche ma bougie et attrape les deux manches. Ils sont contre mes orifices prêts à l'emploi, je me cambre au maximum la tête et les épaules appuyées sur le lit. Je reprends la bougie, j'alterne les mouvements tournants et les coulissements le long de ma fente, je m'empale lentement, dieu que c'est bon.
Il ne faut pas longtemps pour que ma vulve bute sur le renflement de la lampe, toute la poignée est en moi, une bonne quinzaine de centimètre sur quatre de diamètre. Mon cul est dilaté par le plus gros des anneaux, ça tire mais c'est divin. J'avance, lentement les objets ressortent de mes orifices, les anneaux dans mon fondement me font un terrible effet. J'active mon bourgeon, je m'ouvre et m'empale à fond, je gémis de plaisir. Je profite des sensations avant de coulisser de plus en plus vite sans oublier le gardien des portes du plaisir. Je jouis longtemps, je suis hyper sensible mais je maintiens le contact avec la bougie, mon ventre se contracte encore une fois quand je fais sortir mes jouets, les anneaux me font crier. Je m'effondre pantelante sur mon lit. C'était bon, moins que mardi cependant, il manquait la chaleur des peaux, la douceur des mains et surtout les hommes qui s'occupaient si bien de mon plaisir.
Robe rouge pour ce soir, dessous assortis. Je suis les indications du GPS, j'arrive devant une grande bâtisse, le parking est bien rempli. J'entre, je donne le code de la soirée, le portier est tout sourire en me détaillant de la tête au pied, les femmes seules, ce genre de maison adore. Ici, ni masque ni foulard, j'approche du bar, des hommes me détaillent. Je suis vite abordée, je bois un peu et vais danser, des mains me palpent, j'ondule et fais gonfler quelques verges. Je vais traîner dans les recoins, admirent de belles actions, et reviens jouer les allumeuses, j'ai le temps mes petits jeux d'hier me le permettent.
Au bout de deux heures, j'ai fait mon choix, j'entraîne trois hommes sur le podium, je sors leurs sexes les suce et les branle, dès qu'ils sont bons pour l'emploi, j'écarte les cuisses et les invite à me remplir, ils se relayent, d'autres hommes nous entourent en se préparant. Je jouis avec le huitième, le suivant me retourne, il préfère la petite porte. Les hommes continuent à se succéder, je suis couverte de stupre et de sueur, je jouis encore deux fois, une fois en cul, une fois en con. Je rends les armes au seizième partenaire sous les applaudissements du public.
Je me réveille à dix heure, mon corps me fait mal, mon ventre me semble encore plus vide qu'hier, maudites hormones, les larmes débordent. Je ne fais rien pour les retenir, j'ai appris qu'elles m'étaient utiles, au même titre que mes escapades sexuelles, pour pouvoir conserver une image de femme équilibrée dans la vie quotidienne. Je sanglote, en position f?tale sous les draps, pendant un bon moment. Je lève avec une horrible migraine, d'habitude je pleure le soir avant de dormir, cela évite non seulement la migraine mais aussi les yeux rouges ou gonflés difficile à expliquer quand on refuse d'étaler ses états d'âme.
Je passe l'après-midi de mardi à me demander si je vais à Lyon ou non. J'ai encore pleuré une heure lundi soir avant de m'endormir. Je résiste à mon envie et reste chez moi. Il faut que je reprenne des forces surtout psychiquement, je ne veux pas prendre d'habitude, surtout avec un homme. Heureusement que j'ai beaucoup de travail, sinon je deviendrais folle à lier. Mon cul réclame son dû, j'utilise mes balais améliorés une fois dans la semaine mais le c'ur n'y est pas.
Je case ma progéniture pour la nuit du mardi suivant et me fais consommable, direction Lyon, j'ai le c'ur qui bat, j'espère que l'homme d'il y a quinze jours sera là. Je suis en avance, personne. L'église est ouverte, j'entre écouter une chorale en répétition. Je reste en haut du la nef, la fraicheur m'engourdit, je me laisse porter par la musique, j'en oublierai la raison de ma présence. La chaleur extérieure me fait frissonner quand je me retrouve sur le parvis. J'avance vers la porte, je ne vois pas mon partenaire d'il y a deux semaines, tant pis.
Je sonne, je sens une présence dans mon dos, il me demande si je me suis bien confessée, je le regarde interrogative il m'embrasse sur la joue en me poussant à l'intérieur. Il me place le masque sur le visage, les jeux sont ouverts, je commence à mouiller. Un verre et il m'exhibe sur la piste de danse, finalement j'aime assez passer pour sa compagne. Des hommes me frôlent, soupèsent mes seins, palpent mes fesses, mon partenaire me demande de quoi j'ai envie. Un couple nous reluque depuis un moment, ils nous proposent un échange en privé, nous acceptons, ils sont appétissants.
La femme vient m'embrasser en me déshabillant, je ne suis guère attirée par les femmes, je la caresse car cela excite les deux hommes. Nous allons ensuite nous occuper de ces messieurs, les verges durcissent, les glands sont rubiconds, nous léchons et aspirons avec application. L'homme du couple a un sexe médiocre une douzaine de centimètres pour un tout petit trois de diamètres, j'espère qu'il sait s'en servir. La femme vient me lécher, je dois reconnaitre qu'elle connait son affaire, mon partenaire du mardi est aux anges en me voyant gémir, la femme fait approcher son mari, il s'allonge contre moi, mon partenaire me met sur le côté et me lève la jambe, la femme guide l'introduction de son mari en massant mon bourgeon, pendant que lui, pince mes tétons durcis. L'homme me pilonne très vite puis ralentit, sa femme recommence à titiller mon bouton, je sens ma mouille couler de long de ma cuisse.
Mon partenaire me caresse la joue avant de prendre la femme en levrette, je le regarde haletante sous les rapides coups de boutoir de mon amant du moment. La femme jouit très vite dès que la longue tige explore les endroits jamais visités par la bite de son mari. Lequel sort de moi, arrache sa capote et vient se vider dans la bouche de sa femme, ils sortent sans se soucier de nous. Nous nous regardons interloqués et éclatons de rire. Ce mauvais choix n'est pas grave, mon partenaire vient s'occuper de moi, avec nos jeux, je ne l'ai jamais eu dans la chatte. Il se fait désirer, reprend dans l'ordre, les seins, le cunni et enfin la pénétration. Je sens sa verge se courber quand elle pousse contre le fond, c'est trop bon. Nous essayons plusieurs positions, je suis souple, il en profite. Nous finissons ensemble dans l'union de la pieuvre. C'est vraiment un bon amant. Nous allons sous la douche, il est toujours aussi attentionné, si c'est à cause de sa mère elle mérite une médaille d'or.
Nous sirotons des boissons au bar en regardant les danseurs. Il me fait remarquer que je suis moins chaude qu'à notre précédente rencontre, je lui raconte mes exploits de la nuit de samedi dans la Bresse profond, ses yeux pétillent. Il regrette de ne pas avoir assisté à ça, je vois qu'il est excité, je me prépare à le satisfaire bien que ma libido soit basse. Il me laisse le caresser et me glisse à l'oreille qu'il ne veut pas que je participe mais précise qu'il serait ravi que je l'assiste.
Un jeune couple vient vers le bar, ils reviennent des profondeurs de la boite, c'est tendu entre eux, la fille boude, le garçon tente la calmer. En un coup d'oeil, nous sommes d'accord, je me tourne pour pouvoir engager la conversation avec la jeune femme. En fait si lui rêvait de libertinage, elle pas du tout, elle ne l'a suivi que pour lui faire plaisir. Il manque d'expérience et n'a pas bien choisi leurs partenaires de jeux, elle n'a été qu'un morceau de viande, d'où son ressentiment. Mon partenaire invite la jeune femme à danser. Je reste à discuter avec le garçon et lui vante les mérites de mon ami, il est intéressé. J'apprends que son fantasme serait que sa compagne accepte une double, mais elle n'apprécie pas la sodomie. Je lui propose que nous remédiions à leur problème s'il nous laisse les commandes, il accepte.
J'admire le travail de mon partenaire, il fait barrage contre les grossiers, la fille se sent belle et en sécurité. Nous allons les rejoindre, je chauffe un peu le garçon puis je reprends mon partenaire le temps de lui expliquer mon arrangement avec le garçon, il m'attire contre lui et me dit que je suis merveilleuse, je me sens invincible, mon cerveau réveille ma libido. Nous récupérons les jeunes et leur proposons de nous isoler. Nous fermons la porte pour que personne ne vienne perturber nos jeux.
Je m'occupe du garçon, mon partenaire incite la fille m'imiter, j'adore sa façon d'agir à la fois dominatrice et respectueuse. Il n'y a que les libertins pour réussir cette prouesse. La situation m'excite de plus en plus, il n'y a pas beaucoup de différence entre les attributs des deux hommes, le jeune est juste un peu plus court. Mon partenaire déshabille la fille en douceur, le garçon l'imite avec moi, il commence à me caresser, mes tétons pointent et durcissent, il me mordille je couine, mon partenaire me tend la main, je l'attire je veux les deux.
Mon partenaire fait asseoir le garçon en face de nous, il place la fille et moi assises de chaque côté de lui, il nous fait remonter les genoux et écarter les pieds, ses mains descendent sur nos ventres, suivent le pli de l'aine et vont faire rouler nos bourgeons sous ses pouces, je m'appuie contre son épaule en lui caressant le bras, mes lèvres s'ouvrent la liqueur perle au bas de ma vulve. Le garçon devient écarlate quand il voit sa compagne mouiller à son tour. Quand la fille augmente ses gémissements, mon partenaire nous fait mettre à quatre pattes, le garçon a une vue imprenable sur nos intimités trempées. Les caresses reprennent sur nos fesses, les doigts suivent les raies jusqu'à nos fentes, ils y pénètrent et cherchent les points sensibles de nos parois intimes. Mon partenaire fait venir le garçon, il lui fait remplacer ses doigts et les positionne sur nos points G. Je vois la fille haleter les yeux fermés, je suis sûre qu'elle ondule des hanches. Les doigts de mon partenaire viennent tourner autour de nos rosettes. Le garçon est si pris par la leçon qu'il nous en oublie. Une phalange force nos sphincters, je prends la fille par la main, elle est me regarde avec angoisse, je lui caresse le dos de la main en gémissant de bonheur.
Mon partenaire la redresse et la fait asseoir de façon à ce qu'elle soit aux premières loges pour la suite, il écarte le jeune homme en vient placer son gland chapeauté et lubrifié sur ma rondelle. Il exerce une légère pression, je m'ouvre et lentement l'absorbe, une pause à mi longueur quelques caresses sur mon bouton et il glisse d'un seul coup jusqu'aux couilles. Il va et vient en me tenant par les hanches, que du bonheur. Il laisse la place au jeune, le guide par des gestes précis tout en changeant de capote. Il vient se glisser sous moi, le jeune reste immobile le temps qu'il me fasse descendre sur son membre, me voilà remplie. Les mouvements reprennent, le jeune est trop pressé, mon partenaire lui demande de se retenir, je décolle rapidement.
Le jeune place la fille en position, je viens à sa tête et lui prends les mains, mon partenaire la prépare patiemment avec du lubrifiant. Le garçon a changé de capote, il vient sous la fille, mon partenaire fait jouer le gland du garçon sur le bourgeon de la fille quand la vulve baille il la fait s'empaler lentement. Il lui soulève les fesses et la tient quand le garçon augmente ses coups de reins, il en profite pour introduire tout son pouce dans le fondement. La fille ne résiste pas, elle a confiance, le garçon s'immobilise sur la consigne de mon partenaire qui se présente à la petite porte, je caresse la tête de la fille, sa main se crispe sur la mienne. Contre son gré sa rondelle s'ouvre et avale le gland, elle se mord les lèvres. Les centimètres remplacent les millimètres, je fais glisser la main du garçon entre son ventre et celui de la fille, il comprend la man'uvre et va titiller le gardien des vannes. La fille se met à gémir et s'empale d'elle-même sur la queue qui lui transperce les entrailles. J'incite le garçon à reprendre des mouvements lents et amples, la fille se couvre de sueur, mon partenaire se retire lentement, il coulisse sans rencontrer trop de résistance, il règle sa pénétration sur celle du jeune, la fille répète en boucle « Oh mon dieu », les hommes accélèrent, elle s'accroche au tissu, je lui tiens la tête à deux mains, elle tremble de partout, crie et s'effondre alors que son compagnon la remplit. Mon partenaire sort en douceur, arrache la capote, j'ai bougé pour recevoir ses honneurs dans ma bouche.
Le garçon caresse le dos de sa compagne avec beaucoup de tendresse, une caresse sur le bras et nous les laissons en tête à tête. Nous nous quittons devant ma voiture, rendez-vous pris pour dans quinze jours. Nous ne savons ni nos noms, ni nos prénoms encore moins nos téléphones ou mails, j'adore.

Suite ou non ? A vous de choisir.