Coup de chaleur

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Proposée le 22/11/2010 par Paul P

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Voilà ça recommence, je n'arrive pas à me concentrer, les lignes se mélangent devant mes yeux. Le téléphone sonne, je reviens dans le trivial, je dois me rendre au bureau d'étude. Ça ne prend pas longtemps, je réintègre mon bureau, j'y trouve un collègue qui a besoin de documents, je lui signe sa commande. La porte se ferme, j'essaye de reprendre mon travail mais le sang revient gonfler mes lèvres intimes et la cavité au plaisir. Elle a besoin d'être remplie, mais ici pas question de baiser. Il y a une centaine d'homme sur ce site et je ne peux pas profiter d'un seul d'entre eux.
Notre société moderne n'a pas des m'urs si légères qu'elle veut bien le faire croire. Une femme perd sa crédibilité si les hommes de son entourage professionnel sont confrontés à sa sexualité, je l'ai vu adolescente avec ma mère à la cuisse légère et je me suis promis de ne pas commettre la même erreur.
En attendant mon bas-ventre réclame son dû. Je me rends aux toilettes avec un crayon de menuisier dans ma manche. Le papier toilette a absorbé le liquide translucide, épais et odorant que mes muqueuses produisent. Je sais qu'il est inutile de résister sinon je ne ferai rien de bon, je sors le crayon de ma manche, je le fais coulisser sur le siège entre mes jambes. J'appuie un peu sur l'extrémité que je tiens, l'autre remonte et s'introduit entre mes lèvres du bas. Le doux contact du bois laqué sur mon petit bouton me ferait gémir si le lieu ne me l'interdisait.
Je sens des contractions dans mon ventre en deux petits allers-retours du crayon, le conduit devient brûlant, il gonfle et dégouline. Je pousse le crayon jusqu'à l'entrée, j'agite le crayon frénétiquement, ça ne compense pas le vide mais au moins cela fera taire mes hormones en folie. Je suis interrompue par l'arrivée de quelqu'un, je tâche de respirer discrètement, j'étais sur le point de jouir, je sens le crayon à quelques millimètres de mes chairs affamées. La frustration me fait éjecter un long jet de mouille dans la cuvette. L'intrus ne s'éternise pas. Je me penche en avant et j'enfonce trois doigts dans ma grotte en fusion. Le bruit de la chasse d'eau me permet de respirer moins discrètement quand le crayon retouche mon clito turgescent, je me fais décoller en quelques secondes.
Je ressors les joues roses, le c'ur battant encore trop vite, apaisée mais pas pleinement satisfaite. Je me réfugie dans mon bureau et décroche mon téléphone. J'ai bien fait quelqu'un frappe à ma porte, je dis "Entrez" en farfouillant dans un tiroir, je fais semblant de prendre congé de mon correspondant imaginaire. J'arrive à travailler pendant le reste de la matinée, mais l'après-midi dès que je suis seule, mon ventre se rappelle à mon bon souvenir.
J'appelle la mère de la meilleure copine de ma fille, elle peut la garder pour la nuit. Sauvée. A six heures et demi, je referme la porte de mon bureau, à sept heures je sors de ma douche propre et parfaitement rasée. Je reste dubitative devant plusieurs lingeries possibles. Je choisis une tenue jaune et orangée qui met en valeur teint de brune et mon bronzage intégral. Je vérifie dans le miroir que le bustier est parfaitement en place, que les bas sont bien attachés et j'enfile une petite robe jaune très courte.
Le temps que j'arrive à Lyon mon bas-ventre est surchauffé, je suis sûre que mon string est déjà humide. Je m'essuie avec un mouchoir avant de descendre de voiture. J'ai bien du mal à traverser le parvis de l'église tant je suis excitée. Je vois la porte de ma délivrance juste de l'autre la place. J'aperçois un homme qui attend discrètement, pas beau, pas grand mais il dégage de la sensualité, j'approche et passe devant lui en tortillant un peu du croupion. Arrivée à dix mètres de la porte je me retourne et fait signe à l'homme de me rejoindre.
Je sonne, le judas s'ouvre puis la porte, sac et robe contre un masque, j'aime m'exhiber dès le départ. Dans la grande salle, il y a déjà du spectacle, une fille est dans un état d'extrême excitation, les deux hommes qui dansent avec elle la font languir, elle frotte ses fesses contre la queue de l'un, sa main glisse contre celle de l'autre. J'ai hâte d'être à sa place, j'ai besoin d'être remplie. Je sens une main glisser sur mes reins, l'homme qui est rentré avec moi se tient à mon côté. Il me fait une proposition à l'oreille.
Je le suis dans l'arène, il caresse bien, sa queue est déjà bandée, nous restons peu de temps à danser, j'ai trop d'envie. Je l'entraîne vers une alcôve, je me mets à genou et le déboutonne, jolie queue bien moulée, diamètre honnête, mais plus de vingt centimètres c'est sûr. Pour l'anal il va être parfait, pourvu qu'il aime.
Je le prends en main et le branle lentement avec un mouvement tournant, le gland sort, une perle apparait au bout, je la récupère du bout de la langue. Il espérait que je le prenne en bouche, il devra attendre, je pose un doigt en haut de la tige et forme un anneau entre mon pouce et mon index. La tige vibre et se remplit, il gémit. Je fais rouler ses boules entre mes doigts tout en continuant à le branler, puis je suis la ligne du scrotum et caresse ses fesses en comprimant la tige. Je souffle sur le gland, il a les yeux fermés, j'attrape un glaçon, je sens que le feu et la glace vont lui faire un sacré effet. Je prends son gland en bouche, le glaçon bien au fond, je prends ses couilles dans le creux de la main avant de faire remonter le glaçon au contact du gland, il sursaute en sentant le froid, ma main presse ses balloches. Je lève les yeux et le vois chercher de l'air, il me regarde et ne cherche pas à échapper à ma bouche. Je le suce avec délice, je sens que cela va être un partenaire plaisant.
Je me caresse de ma main libre à travers le tissu de mon string, une main quitte ma tête et me retire la main qui me faisait du bien. Il la retient prisonnière contre son torse, je me concentre sur ma sucette, il a bon goût, son odeur est terriblement excitante, je passe mes mains derrière lui je lui caresse le dos, les cuisses et les fesses, je l'enfonce au fond de ma gorge, je lui arrache des grognements de plus en plus forts. Il éloigne ma tête et me relève, un homme jeune appuyé à l'entrée de l'alcôve se branle, mon partenaire le regarde et me sourit. J'acquiesce nous invitons le jeune homme à nous rejoindre.
Mon partenaire prend les commandes, il m'installe sur une banquette la tête sur l'assise, le dos contre le dossier les fesses en l'air, le jeune s'agenouille devant ma tête et me présente sa bite épaisse surmontée d'un large gland, ma bouche peine à la recevoir, mon partenaire ôte le petit triangle qui masquait mon intimité et écarte mes jambes que le jeune homme réceptionne. Je suis à la merci de mon partenaire de soirée, il vient me déguster, agace mon bourgeon, aspire mes sucs, les lape au fond de moi. C'est un artiste avec sa langue, mon corps se tend, vibre, échappe à mon contrôle mais pas au sien, il joue au chat et la souris. Je voudrais crier mon bonheur et ma frustration mais le jeune remplit ma bouche et me tient fermement. Mon partenaire se redresse et admire le résultat de son travail, je déborde, ma liqueur coule entre mes fesses, mon partenaire la bloque du doigt la fait pénétrer doucement dans ma petite porte. Je voudrais qu'il y enfonce au moins un doigt, il reste à la porte, je mouille encore plus, je me tends, ma rosette essaye d'aspirer ce doigt qui se défile.
Je veux être remplie, tout mon corps tremble, soudain un glaçon creux vient chapoter mon bourgeon, je rue, mes mains battent l'air, mon partenaire me les bloque, sa bouche maintient le glaçon en place. Je ne sais pas si mon feu intérieur ou le froid qui me brûle, le temps s'étire, j'accepte mon sort. Mon partenaire introduit un glaçon dans ma chatte il l'enfonce avec deux doigts, un autre est à la petite porte, je serre les fesses en vain le glaçon glisse dans mes entrailles. Tous les doigts se retirent de mon corps, à force de contractions j'expulse les restes de glaçon, les deux hommes sont au spectacle, ils me soulèvent et m'étendent sur le ventre au centre d'un podium recouvert de matelas, ils m'attachent les poignets à de longues lanières détendues. Je suis dans un tel état que je me laisse faire. Deux couples et un homme viennent voir le spectacle qui se prépare.
Le jeune homme s'allonge à côté de moi, il glisse une jambe sous les miennes, mon partenaire me soulève pour aider le jeune à venir sous moi, sa queue est raide entre mes cuisses, je peux prendre appui sur mes coudes, j'ondule du bassin la queue frotte contre mon bourgeon, mon partenaire vient me caresser le dos puis me soulève les fesses, il guide le pieu du jeune homme à l'entrée de ma mouillure, il m'enfonce dessus. Même si je suis trempée et brûlante, son épaisseur force mes chairs, ses doigts malaxent mes seins et mes tétons. Mon partenaire donne le rythme en me tenant les fesses, je couine de bonheur, j'aimerai que le mouvement accélère et enfin jouir de tout mon saoul, mais rien à faire ces messieurs veulent jouer. Ils vont rendre folle, ils ralentissent encore, je les supplie, je suis en manque.
Un homme fait une réflexion salace, me traitant de salope, mon partenaire n'apprécie pas ni une des femmes, l'homme se fait sortir.
Mon partenaire se déplace et vient entre mes jambes, mon ventre se contracte contre la verge immobile en moi. Le jeune homme m'écarte les fesses, l'autre présente son gland, il crache dessus et appuie sur ma rondelle. Je m'ouvre, il s'enfonce lentement, l'autre verge bouge sous la pression. Le jeune homme gémit sous la remontée du gland le long de sa tige, le passage au-dessus du gros gland nous arrache des gémissements à tous les trois. Mes orifices sont brûlants, dilatés, hyper sensibles, moi qui voulait être remplie, je suis servie. Le jeune reprend ses va-et-vient lentement, des larmes envahissent mes yeux, il ralentit et me claque les fesses avant chaque enfoncement. Il écarte mes fesse et attend, mon partenaire commence à ressortir, il passe le gland du plus jeune, je tremble en criant, ma rondelle arrête son bout, il rentre de nouveau, il s'enfonce en me caressant le dos, l'autre caresse mes flancs et mes seins.
Il faut dix minutes pour que mon corps accepte toutes ces grosseurs et que mon partenaire soit entièrement en moi. Les deux commencent à coulisser chacun à leur rythme, je gémis de bonheur, je suis épuisée, je tremble, je n'arrive plus à me soutenir sur mes bras, le jeune homme me tient les épaules. Mon partenaire soutient mes hanches, ils accélèrent tranquillement, je me cambre au maximum. Le jeune homme passe une main entre nos ventres et glisse un doigt sur mon bourgeon, je sens les vagues de plaisir monter, les halètements sont remplacés par des cris, ils tapent forts à fond, j'hurle et me liquéfie, je ne tiens plus que sur les queues qui vibrent et remplissent les capotes. Je les sens se retirer lentement, mais quand les glands sortent en même temps je perds toute notion du temps et m'effondre.
Quand je finis par rouvrir les yeux mon partenaire me caresse gentiment, je me lève, mes jambes tremblent et se dérobent sous moi, il me rattrape et m'aide à aller sous la douche. Nous restons longtemps sous l'eau, je récupère un peu, il m'aide à me sécher et va chercher ma robe. Je le remercie pour cette superbe soirée, il m'accompagne jusqu'à ma voiture, j'ai du mal à marcher. Il m'invite à passer la nuit chez lui, il ne trouve pas prudent que je conduise. Je ne veux rien connaitre de mes partenaires d'un soir, c'est la première fois que je suis tentée de déroger à mes principes, il est prévenant que ce soit comme amant ou comme homme. Je le quitte à regret. Il me propose de le retrouver pour une nouvelle soirée la semaine prochaine ou celle d'après, même heure même endroit.

Si vous avez aimé, il pourrait y avoir une suite. A votre disposition.