Métro Libertin

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Proposée le 21/11/2010 par MutineJustine

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Je suis étudiante, et comme beaucoup, je dois subir les transports en communs matin et soir.
J'étais comme d'habitude en retard, il faisait chaud et pour couronner le tout, le train était bondé.
Je me glisse donc parmi les passagers, un peu gênée par la transparence de ma robe qui attirait visiblement toutes les attentions.
Une secousse me malmène soudainement, puis j'atterris dans les bras d'un homme, placé juste derrière moi, qui me retient aussitôt par les hanches. Je balbutie un « Merci », extrêmement troublée par la lenteur et la volupté avec lesquelles il retire les mains de mes hanches, les faisant glisser sur le haut de mes cuisses.
La chaleur augmente immédiatement, je voudrais voir à quoi il ressemble, mais je ne peux pas me retourner. Je ne sens que sa présence oppressante, son regard sur moi, son souffle sur ma nuque.
Et le rouge aux joues, je me surprends à mouiller légèrement.
Cet homme que je ne vois pas mais que je sens derrière moi, m'excite au plus haut point
Sans trop savoir pourquoi, presse mes fesses contre lui. Je le devine grand et assez imposant. Je sens sa queue lentement durcir contre mes reins, et c'est tout mon corps qui l'appelle, mes tétons pointent et j'angoisse à l'idée que cela puisse se voir.
Ma respiration s'accélère de plus en plus; c'est maintenant une certitude, j'ai envie de lui. Sa queue se dresse dans le bas de mon dos et malgré la situation risquée et gênante, je veux absolument la toucher.
Alors tout doucement je passe ma main dans mon dos, oubliant le monde autour. Je suis à deux doigts de plaquer ma main contre sa queue lorsqu'il bloque fermement mon bras. Il doit sûrement craindre comme moi que l'on se fasse remarquer.
Mais, délicatement, sa main effleure mes fesses avant de les empoigner avec force. Toujours en tenant mon bras, il soulève ma jupe sans mouvements brusques qui pourraient le trahir. Je sens alors son doigt passer sous la ficelle de mon string et caresser délicatement mon petit trou en légères pressions. Il descend jusqu'à ma chatte déjà inondée. Il sait maintenant mon excitation, mes yeux se ferment, je pourrais jouir, là, tout de suite tant je suis excitée. Je me laisse complètement envoûter par les caresses de cet homme, bercée par les va-et-vient du métro.
Mais brusquement, il arrête. Je tourne légèrement ma tête et l'aperçois mettre ses doigts à la bouche et murmurer un gémissement de gourmandise.
Mon ventre chauffe. J'ai faim de sa queue. Je veux qu'il me prenne violemment, sans un mot. Je dégouline sur mes cuisses.
Puis tout le monde se bouscule, c'est déjà mon arrêt, je suis arrivée. Je me laisse emporter par la foule, décontenancée, il lâche mon bras. Je cherche du regard un visage qui répondrait au mien, mais je ne le trouve pas.
Les jambes tremblantes, je peine à marcher, complètement troublée par cet inconnu.
Mais soudain, la même main ferme agrippe mon bras et une voix d'homme me somme d'avancer.
Il m'entraîne alors dans une alcôve à l'abri des regards indiscrets sans que je vois son visage, et me plaque au mur en m'ordonnant de me cambrer.
J'obéis, muette et complètement hypnotisée. En maintenant mes deux bras dans mon dos d'une main, il soulève ma jupe et descend mon string trempé de l'autre. Je l'entends défaire sa ceinture. Je veux plus que tout que sa queue me transperce violemment. Je n'ai jamais été aussi excitée. Il s'enfonce sans ménagements au plus profond de ma chatte. Sa queue est si énorme que j'ai presque mal. Le visage plaqué contre le mur je gémis de plus belle lorsqu'il accélère ses coups de reins. Il me pénètre avec violence en gémissant dans ma nuque. Je la sens au plus profond aller et venir et je la réclame par des murmures insolents. Je la sens si dure. Son bassin frappe violemment contre mes fesses, mes jambes se dérobent presque. Je sens son plaisir et le mien venir. Un orgasme fulgurent me submerge. Alors il se retire et jouit sur mes fesses dans des râles sauvages. Je sens son sperme chaud couler le long de mes cuisses. Je voudrais tant le goûter. Je n'ai jamais joui aussi fort, je voudrais lui dire mais quand je me retourne il est déjà parti.