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Proposée le 19/11/2010 par fred
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Lire le premier chapitre.
Après nous être apaisés de longues minutes nous passons rapidement sous la douche et repartons vers la piste et le bar, maintenant seulement vêtus d'un paréo pour Sandrine, et d'une serviette autour de la taille en ce qui me concerne.
Il y a du monde accoudé au comptoir, surtout des hommes, et ils discutent et sirotent en regardant le podium et la belle nana qui y danse en se jouant de la barre de façon carrément érotique, avec à ses pieds plusieurs danseurs bien excités.
Déjà en grande partie nue, seulement couverte d'un joli string noir orné de petits brillants, elle a de superbes seins bien ronds, bien fermes, qui rebondissent quand elle bouge subitement. La sensualité qui se dégage de son corps et de ses attitudes est vraiment incroyable, l'envie de la caresser et de l'embrasser est irrésistible.
Mais Sandrine ne laisse pas indifférents non plus ses voisins de bar, elle reçoit leurs éloges, et des mains effleurent discrètement son dos, ses hanches, guettant un assentiment. Sandrine ne laisse rien paraître et n'encourage donc pas ses prétendants.
La danseuse achève maintenant de se déshabiller, retire son string tout doucement ; maintenant nue, elle introduit un doigt dans sa bouche, avant de le porter sur les lèvres de sa chatte, se donnant déjà du plaisir. Alors qu'elle poursuit ce petit jeu égoïste, glissant maintenant clairement son doigt en petits mouvements de va-et-vient dans son sexe, je me remets à bander tellement le spectacle est beau. Les hommes qui dansent juste à côté ont pour elle le respect que sa beauté impose, mais ne peuvent maintenant s'empêcher de s'approcher de plus près pour la toucher. Elle laisse faire, mais sait maintenir le contrôle et ne pas se laisser posséder tant qu'elle en décide ainsi.
La regarder me met vraiment en émoi, et j'ai du coup envie de caresser ma chérie, ce que j'entreprends avec sa plus grande complicité. De sa nuque à ses épaules, puis à ses cuisses, mes mains glissent sur son corps et son voile sans délaisser les seins, le ventre.
Nous nous embrassons langoureusement, nos langues chaudes se croisant et se décroisant avec ardeur. Sa langue me donne l'impression que ma bouche est pénétrée, violée, avant que je le lui rende la réciproque. Notre tendresse semble dissuader les voisins entreprenants, ils deviennent simple spectateurs et nous lancent des gentillesses avec un grand fairplay.
J'ai maintenant trop envie de ma femme pour qu'on en reste là, et nous décidons d'aller dans une grande alcôve aménagée avec un petit canapé et un grand lit rond. Au mur est projeté un film qui a lui seul assure déjà une certaine ambiance. Nous nous installons dans le canapé, côte à côte, et regardons sur l'écran une jeune actrice se faire pénétrer par un apollon bien membré. La scène est filmée avec soin et esthétisme. C'est irrésistible, je suis maintenant vautré contre Sandrine, je l'embrasse à pleine bouche en caressant ses seins à travers son fin paréo. Ma main défait néanmoins le voile, et je peux toucher, apprécier le galbe d'un sein, faire rouler un téton entre mes doigts, puis l'absorber entre mes lèvres, le lécher, le mettre dans un véritable état d'érection. Tout en prodiguant ces attentions, je perçois que des silhouettes s'approchent de nous, mais la pénombre de la pièce, la violente lumière réfléchie par l'écran, ne me permettent pas de vraiment distinguer d'autant que mes paupières s'entreferment sous l'effet du plaisir des caresses que Sandrine prodigue maintenant à mon sexe, sa main s'étant insinuée sous ma serviette. J'embrasse aussi tour à tour les deux seins, la bouche, le cou de Sandrine. Elle se met à haleter, et je comprends que la cause en est qu'un homme s'est mis à genoux devant elle, a légèrement écarté ses cuisses, et glissé une main vers la fente de ma douce ; cela ne fait aucun doute maintenant qu'il entreprend des attouchements sensuels prononcés. Il introduit même sa tête entre les cuisses, et je ne peux que comprendre qu'il glisse sans doute sa langue dans la chatte en chaleur. Je suis tellement accaparé par mon envie de donner du plaisir à Sandrine avec mes baisers que je suis à peine spectateur de ce que l'homme qui nous a rejoint est en train de faire. En fait, je ne sais même pas quelle tête il a... Et comme Sandrine ne peut pas ne pas comprendre ce qui lui arrive, et qu'elle laisse faire, je ne peux et ne veux rien empêcher.
En tout cas, avec tout cela, Sandrine est déjà au bord de l'extase, sous l'effet de tous les assauts dont elle est l'objet. Elle a les yeux clos, et halète de plus en plus fortement, au bord de l'orgasme, perdant tout contrôle de son corps. D'habitude si retenue, elle murmure maintenant des mots d'encouragement, "Vas-y", "Encore". Nous poursuivons de plus belle, jusqu'à ce que j'entrevoie l'homme se redresser, remonter contre le ventre de Sandrine, son visage atteignant maintenant les seins qu'il embrasse et lèche à son tour. Je m'occupe de la bouche, de la langue de Sandrine, mes mains descendant le long de son flanc jusqu'à sa hanche et le coté d'une de ses fesses. Elle a les cuisses grande écartées, et je peux deviner que compte-tenu de la petite taille du mec qui l'assaille, leurs sexes sont pratiquement en contact. Je vois alors une main de Sandrine descendre sur une fesse de cet inconnu, et sans aucun doute l'inciter à la pénétrer. Je suis à côté de Sandrine, nos corps ont un peu glissé et nous sommes presque allongés blottis l'un contre l'autre. Soudain, je sens le corps de Sandrine se raidir, et le mec démarre des va-et-vient qui ne laissent aucun doute sur le fait qu'il est carrément en train de baiser ma femme, sans qu'elle ait même aperçu son visage, ni même peut-être son corps, sans un échange de parole? Et moi je laisse faire, et je ressens un immense frisson de cotoyer le corps de Sandrine bousculé, saisi de vagues de plaisir, pénétré par un sexe arrivé en elle sans avoir été décidé et choisi. Je ne peux m'empêcher de la trouver un peu salope de se livrer ainsi au premier venu. Mais les vagues de plaisir qui la bouleversent sont tellement fortes que je suis en communion avec elle, tout juste si je n'ai pas envie de jouir contre elle. Cela ne dure plus longtemps car l'inconnu finit d'accélérer le rythme, et se tend pour jouir en elle dans un grand râle tandis que Sandrine est complètement emportée par un orgasme qui la fait hurler et se raidir pendant de longs instants.
L'homme se retire en lui prodiguant des compliments sur la douceur et la beauté de son corps, et je n'en reviens encore pas de ce qui s'est passé. Mais Sandrine ne me laisse pas de répit et me demande de la prendre à mon tour, me tirant par la queue ! Je me dis que j'ai tout intérêt à obéir, car il ya plusieurs hommes derrière nous, ils ont assisté aux précédents ébats, et je les aperçois tenir leur sexe bien raide, prêts à approcher.
J'ai alors une furieuse envie sodomiser Sandrine, en quelque sorte pour la punir de ce qui vient d'arriver. Et je n'ai pas l'intention de montrer une faiblesse devant tous ces males en rut, histoire de les faire gicler d'envie et de jalousie.
Je commence par prendre exactement la place de mon prédécesseur, devant Sandrine, entre ses cuisses. Mais la position est devenue inconfortable sur ce canapé, et Sandrine me demande d'aller sur le grand lit circulaire.
Nous nous déplaçons, et du coup je me mets à genoux sur le matelas, incitant Sandrine à me faire une fellation ; elle se positionne à quatre pattes devant moi, adoptant une position provocatrice et risquée, présentant sa croupe aux quelques hommes qui sont là (cinq ou six ?). Alors qu'elle introduit mon sexe dans ses lèvres, aspirant mon gland, le léchant et le suçant, des mains approchent son corps et commencent à toucher qui le dos, qui une fesse, ou un sein. Sandrine laisse faire, je me penche vers son oreille pour lui demander si elle désire que je fasse la police, mais elle ne répond rien, suçant ma queue avec redoublement.
Je ne sais que faire, à la fois effrayé de la situation qui s'amorce, dont je ne peux plus contrôler l'évolution sans signal de Sandrine, et en même temps terriblement excité de voir le désir provoqué par ma femme chez ces hommes. Sandrine est littéralement englobée par plusieurs paires de mains, son corps est exploré de plus en plus complètement, je vois qu'une main s'est posée sur ses fesses, elle descend vers la chatte sans doute gonflée d'excitation. Et maintenant, il est clair qu'un ou plusieurs doigts pénètrent le sexe de ma femme, en parfaite harmonie avec les mouvements de corps que provoque la fellation hystérique qu'elle me prodigue. Je suis super excité de voir ce corps quitter mon contrôle, et être ainsi possédé par plusieurs hommes. J'aperçois que l'un des mecs enfile un préservatif, il s'approche du cul de Sandrine, se positionne bien derrière elle, pousse la main qui occupait le sexe de Sandrine, et entreprend de la pénétrer. Il fait cela tout en douceur, gagnant l'admiration des autres et de moi-même, il s'enfonce tout tranquillement, et c'est incroyable finalement, de voir que c'est Sandrine qui vient s'empaler sur lui plutôt que lui qui la force. Elle laisse mon sexe sortir de sa bouche, pour mieux absorber le sexe de son autre partenaire avec sa chatte. Elle bouge le cul d'avant en arrière, absorbant le sexe masculin, le provoquant tellement que l'homme commence maintenant à donner le rythme, à la baiser véritablement. Sandrine reprend sa fellation, s'aidant d'une main. C'est dingue, elle se déchaîne, et n'a aucune attention à mon égard pour tester mon approbation. Elle a largement franchi cette limite, et n'est manifestement plus possédée que par le besoin de pur sexe, le plus total possible.
Je suis maintenant entraîné dans son propre délire, et je la trouve magnifique, ainsi entourée d'hommes qui veulent la posséder. Je ne l'ai pas encore baisée ce soir alors qu'elle en est à son troisième mec de la soirée ! Mais Sandrine n'est plus en état de réfléchir ainsi, et sa main libre saisit un des sexes qui côtoie son visage. Elle le branle au même rythme qu'elle me suce, puis soudainement elle engloutit ce sexe nouveau, et me masturbe en même temps. Bien que les orifices de ma femme m'échappent, je suis de plus en plus excité, d'autant que les partenaires actifs semblent approcher le nirvana. Celui qui la baise accélère le mouvement de façon incroyable, et il la saisit de toute ses forces par les fesses, pour la plaquer brutalement alors qu'il se met à jouir en lui arrachant des cris de contentement. Sandrine reprend rapidement conscience, et je lui indique, avant que la situation ne nous échappe, que je veux me placer sous elle. Je m'allonge et me glisse sous le corps déjà humide de sueur de Sandrine, et mon sexe surchauffé n'a aucune difficulté à remplacer celui qui vient de quitter la chatte trempée. Sandrine bouche ses reins pour s'accaparer mon sexe, ne lui laisser aucune marge de man'uvre, que c'est bandant ! En même temps, elle poursuit la fellation à demi partagée, et a saisi un nouveau sexe avec sa main devenue libre. Rien ne peut plus l'arrêter, je ne la reconnais plus mais la trouve incroyablement belle dans cet état de transe sexuelle. Je reste lucide néanmoins, car il m'incombe de vaguement surveiller l'évolution de la situation. Or je vois qu'un mec approche son sexe des fesses de Sandrine, et il n'a pas de préservatif ; il fait glisser son sexe entre les fesses, descend vers la chatte. Je sens son sexe frôler le mien, et cela me donne une sensation nouvelle. Alors que bien d'autre hommes auraient chassé l'importun, je me surprends à simplement lui demander de mettre une capote. C'est ce qu'il fait alors, et il entreprend de pénétrer Sandrine par son petit orifice, déversant une pochette de gel entre les fesses. Dès lors, et compte-tenu de l'état de Sandrine, il n'a aucun mal à réussir à la pénétrer. J'ai moi-même cessé mes mouvements pour laisser cette double pénétration s'amorcer.
Sandrine réalise bien ce qui se passe, et elle-même calme ses mouvements le temps que l'autre sexe s'introduise. Je l'entends gémir légèrement, car le sexe de l'homme est épais, je sens moi-même sa présence rejoindre la mienne. Il avance doucement, je le sens de plus en plus, et alors qu'il entreprend un premier mouvement alternatif, Sandrine reprend ses mouvements de reins. Moi-même je peux reprendre mes va-et-vient. Les sensations sont incroyables, la double pénétration amplifie à l'extrême mon plaisir. Ma femme se trouve maintenant pénétrée simultanément par trois beaux sexes, et en branle un quatrième, bouge de plus en plus vite et de plus en plus fort. Nous n'avons plus prise sur elle, c'est elle qui nous domine, impose le rythme. Je suis le premier à jouir, depuis le temps que je suis acteur de cette montée vers le plaisir. Je jouis en Sandrine, et mon sexe glisse sans aucune résistance dans la chatte dégoulinante. Maintenant, c'est au tour de ce sexe qui a côtoyé le mien d'exploser, je ressens ses vibrations et celles du corps de Sandrine qui se met à partir en vrille, tendue, contractée, arc boutée par le plaisir, dans des cris de jouissance semblant venus d'ailleurs. En même temps, elle provoque l'éjaculation du sexe qu'elle suçait, et des jets de sperme heurtent sa bouche et son menton. Pour la première fois, je vois Sandrine lécher le sexe dégoulinant de sperme, elle s'en pourlèche, semblant ne vouloir en rien perdre, cela l'excite, elle veut en jouir jusqu'au bout, profitant jusqu'à la dernière goutte de cette situation inouïe qu'elle-même ne pouvait avoir envisagée. Je ne peux me maintenir dans sa chatte, et Sandrine est maintenant délaissée par les trois sexes qui l'occupaient. Repue elle s'affale à mon côté, reprend conscience, m'embrasse à pleine bouche et m'adresse des mots d'amour avec une sincérité totale.
Du coup l'homme qu'elle masturbait et qui, lui, n'est pas arrivé au bout de son plaisir, s'allonge derrière elle, et avec une grande douceur, il entreprend de la pénétrer. Elle se laisse faire, et continue à m'embrasser, mais elle s'amuse maintenant de cette situation où elle bécote son chéri comme une amoureuse, tout en se faisant baiser par un inconnu dont elle n'attend pas de plaisir. Nous rigolons ensemble, elle me dit que son sexe est vraiment gros, mais dans cette insouciance, je sens les mouvements du mec se renforcer, et Sandrine est de moins en moins détendue, elle serre mes poignets avec ses mains, le plaisir la regagne, l'homme sait la prendre. Sandrine se remet à haleter, ferme les yeux, délaisse ma bouche et ma langue, serre les dents, susurre des petits "Oui", "C'est bon", et "Baise moi". Je n'en reviens pas, elle est repartie pour un orgasme, je ne peux même plus savoir combien de fois cela lui arrive ce soir. Le rythme s'accélère encore, jusqu'à ce que le corps de Sandrine se détache complètement du mien, totalement soumis à cet homme qui fait d'elle son objet de plaisir. Lui-même lance des "Tu es bonne", "Petite salope", "Allez tu vas jouir", et approche progressivement de l'orgasme. Soudain, son corps se tend de toutes ses cordes, et expédie Sandrine dans un nouvel orgasme, qui lui arrache des véritables cris. Je suis devenu simple spectateur de ma femme, mais mon désir est maintenant émoussé, et le spectacle de Sandrine m'est un peu indifférent. Je la laisse donc revenir doucement, en caressant son visage, son cou, je l'aime.
Le dernier partenaire se confond en remerciements, que Sandrine entend à peine. Les derniers spectateurs, hommes, couples, qui se branlaient ou se caressaient en nous observant quittent l'alcôve, et nous restons seuls quelques minutes. Sandrine et moi-même sommes trempés de sueur, la nôtre et celle de ces hommes dont nous oublions déjà le peu de traits de visage que nous avons aperçu.
Nous trouvons la force de nous lever, de prendre un bonne douche chaude. Nous repartons à la maison avec déjà une hâte, celle de finir la nuit entre nous et en nous, mais aussi déjà l'envie de vivre des instants aussi imprévus et aussi forts que ceux que nous vécus dans cette soirée. Je savais que Sandrine aimait le sexe, mon sexe, mais je ne pouvais penser qu'elle pouvait se laisser emporter à ce point par le plaisir, avec n'importe qui, pour mon plus grand contentement. Je me suis remémoré cette soirée très souvent, et encore maintenant, faisant renaître l'excitation et la jouissance parfois plusieurs fois de suite.