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Proposée le 19/11/2010 par steveRogers
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Il y a quelque temps déjà de cela, j'ai fait une petite soirée romantique avec ma chérie. Le contenu de la soirée n'était pas très compliqué… Elle commençait vers 17h30, heure à laquelle Marie arrivait, ce jour-là. J'avais déposé une invitation coquine en haut des marches. Elle disait ceci :
Chère Mme Marie Dufour,
Vous êtes cordialement invitée à une soirée romantique,
en compagnie de votre hôte, Éric Grenon.
Donc, pour l'occasion, il vous est obligé de vous habiller
avec votre magnifique robe en satin noir.
Votre trouverez ci-joint le déroulement de la soirée.
Alors, dépêchez-vous de terminer de lire
car votre hôte vous attend impatiemment dans sa chambre.
En gros, c'est ce que l'invitation disait. Elle était accompagnée du déroulement de la soirée : changement de vêtements, souper aux chandelles, jeu érotique OU film (selon le choix de madame), douche aux chandelles et pour le reste de la soirée, elle se passerait comme cela viendrait. Pour rajouter un effet romantique, j'avais mis des chandelles le long du couloir qui allait jusqu'à ma chambre. Je l'attendais couché sur mon lit, habillé seulement de mon boxer blanc moulant. J'attendais avec impatience son arrivée. 17h30 arriva, et au même moment, sa voiture arriva dans l'entrée. J'entendis la porte de la maison s'ouvrir et se refermer doucement. Marie était dans la maison. J'attendis encore quelques minutes, avant de l'entendre monter les marches et s'approcher de ma chambre. Lorsqu'elle poussa la porte, je fis semblant de dormir. Elle déposa ses choses à côté du lit et s'approcha de moi. Elle mit sa main sur ma jambe et s'approcha plus de moi, en faisant glisser sa main doucement vers le haut de ma cuisse. Un frisson d'excitation me parcourut l'échine, lorsque Marie arrêta de glisser le bout de ses doigts, sur ma cuisse, juste à côté de mon sexe. Elle se pencha sur moi, et approcha ses lèvres de mon oreille. Elle me chuchota : « Mon amour…? Tu es trop sexy ! » Après m'avoir dit cela, elle sortit la langue et effleura mon oreille avec. Un autre frisson d'excitation parcourra mon échine et une bosse commença à se former dans mon boxer. Elle déposa ses lèvres sur les miennes et m'embrassa avec tendresse. Lorsqu'elle me vit ouvrir les yeux, elle me chassa de la chambre, pour pouvoir se changer et pour faire durer le plaisir. Je pris donc quelques vêtements et sortis de ma chambre. Après m'être rhabillé, je mis la table, mis le poulet dans nos assiettes, mis la Smirnoff dans nos verres et je mis de la musique douce et romantique. Je m'assis en attendant Marie. J'étais habillé avec ma chemise bleue et mes jeans propres. Je la vis arriver, elle était si belle et sexy dans sa robe. Une robe noire, décolletée et, en dessous des seins, des motifs en dentelle, qui arrêtaient un peu plus haut que son nombril. J'aimais bien le fait que sa robe soit ouverte à gauche, du bas de sa hanche, jusqu'en ses talons. En fait, c'était plus une nuisette sexy qu'une robe…
Lorsque Marie entra dans la salle à manger, je me suis levé, j'ai contourné la table et j'ai été l'embrasser passionnément. Pendant que je l'embrassais, ma main droite qui était sur sa taille descendit un peu, pour trouver l'ouverture de la nuisette. Lorsque ma main toucha sa peau, Marie me dit, tout en continuant à m'embrasser : « Chéri, j'ai faim… ». J'ai retiré ma main, malgré le fait que j'aurais voulu aller plus loin… Je me suis rassis à ma place et nous avons commencé à souper. Pendant le souper, on parla de comment s'était déroulé nos journées respectives.
Après le souper, j'ai demandé à Marie ce qu'elle voulait faire, entre le jeu érotique et le film. Elle me répondit : « Hum… Je ne sais pas… C'est quoi le jeu que tu me proposes ? ». Je lui ai répondu : « Bah… J'avais pensé au strip-poker… ». « C'est intéressant… On pourrait essayer. » me répondit-elle, avec un sourire malicieux. Alors, on a commencé à jouer au poker. Elle gagna les premières mains, ce qui eut pour effets que je dus enlever ma chemise. Après, par contre, ce fut moi qui gagnai. Donc, Marie dut enlever un morceau. Joueuse, elle n'enleva pas sa nuisette, au lieu de cela, elle se leva, me regarda dans les yeux et descendit son string. Elle le descendit avec une sensualité que je ne lui connaissais pas… Elle se pencha, pour que j'ai une vu imprenable sur son décolleté et sur ses très jolis seins. Lorsqu'elle l'eut descendit jusqu'en bas, elle le retira de son pied gauche et avec le droit, elle me le lança. Lorsqu'elle leva sa jambe, je pus entrapercevoir son sexe. Mon excitation monta d'un cran, lorsque je reçus sa culotte, elle était légèrement humide… J'en perdis ma concentration, ce qui fit en sorte que je perdis encore et je dus enlever mon jeans. Je me repris et là, ce fut moi qui gagnai. Marie dut donc enlever sa nuisette. Elle se leva, mais au lieu de me faire profiter du spectacle, elle se retourna et la détacha. Elle laissa glisser sa robe de nuit, jusqu'à ses chevilles.
N'en tenant plus, je me suis levé et je me suis approché dans son dos. Arrivé juste derrière elle, je lui mis ma main sur sa fesse et la ramena doucement sur sa hanche. Quant à mon autre main, je la glissai juste sous son aisselle. Je m'approchai encore un peu, pour que mon torse nu touche son dos nu. Alors, je l'embrassai doucement sur la nuque. Pendant que je l'embrassais, ma main, qui était sous son aisselle s'avança un peu pour aller sur le sein de Marie. Cette dernière avait les yeux fermés et se laissait faire. Même qu'elle prit doucement ma main qui était sur sa hanche et la mit sur son ventre. Moi, je n'arrêtais pas de l'embrasser doucement dans le cou, et je suis monté jusqu'à son oreille, pour l'embrasser. Pendant que j'embrassais et que je mordillais un peu l'oreille de Marie, mes mains la caressaient, une sur son sein et l'autre sur son ventre. Tout à coup, elle tourna la tête et m'embrassa fougueusement. Elle se tourna, pour que l'on soit face à face, et continua à m'embrasser fougueusement. Entre deux baisers fougueux, elle me dit : « Je crois que tu n'as pas compris le message, quand j'ai mis ta main sur mon bassin… ». Elle descendit sa main, vers mon bas ventre, tout en me disant : « Éric, j'ai vraiment trop envie de toi ! ». Arrivée à mon boxer, sa main toucha ma verge et commença à me branler. Je lui dis, dans un souffle : « Ça te dit une douche coquine ? ». Elle accepta et arrêta de me masturber d'un coup sec.
Elle se retourna et alla préparer la douche. Je n'étais pas arrivé à la salle de bain que j'entendais déjà couler la douche. Lorsque j'entrai dans la salle de bain, Marie était déjà sous la douche. Elle se mordait la lèvre inférieure. Me demandant pourquoi, j'ai regardé plus bas et j'ai vu que son bras bougeait. Sa main faisait des vas-et-viens au niveau de son bas ventre : Elle se masturbait ! Lorsqu'elle me vit, elle me fit un clin d'œil et me dit de venir la rejoindre. Je ne me le fis pas dire deux fois. J'ai tout de suite enlevé mon boxer et je suis entré sous la douche. Elle se masturbait toujours, je ne suis alors approché d'elle et je lui ai glissé à l'oreille : « Tu m'excites tellement…! ». J'ai mis ma main sur son sein et je l'ai caressé. Elle poussait des petits cris qui me faisaient bander comme un fou. J'ai glissé ma main de son sein à son vagin et j'ai commencé à lui caresser le clitoris. Elle me dit : « Oui… Continue… J'aime ça…! ». J'ai arrêté et je lui ai fait un clin d'œil, en lui disant : « Il faudrait se laver… ». Elle prit donc le savon et me savonna le torse, pour commencer, et descendis jusqu'à mon bas ventre. Elle savonna un petit peu mon sexe et me dit de me tourner. Ce que je fis. Elle me savonna le dos et passa un peu plus de temps sur mes fesses. Une fois tout lavé, je me suis rincé. Ensuite, c'était à mon tour de laver Marie. Elle me donna le savon et je commençai à lui savonner la poitrine, avec les deux mains. Je la savonnais, tout en lui caressant ses jolis seins. Après, je fis le ventre et le dos. Je me suis attardé un peu sur ses fesses, question de les caresser. Lorsqu'elle fut toute savonnée, Marie alla se rincer sous le jet de la douche. Une fois toute rincée, elle se tourna vers moi et je fis exprès d'échapper le savon, qui alla derrière elle. Je me suis penché pour aller le ramasser. En me penchant, je me suis retrouvé juste à la bonne hauteur, comme je l'espérais. Alors, je me suis approché un peu plus de Marie et je déposai mes lèvres sur son bas ventre. Je sortis la langue, dans le but de la titiller, ce qui marcha fort bien, puisqu'elle me demanda de continuer. Alors, laissant faire le savon, j'ai mis mes mains sur ses fesses et j'ai commencé à l'embrasser au niveau de son sexe. Allant de plus en plus proche de son clitoris, une fois de temps en temps, je sortais la langue pour la taquiner. Tout à coup, elle me fit me relever et me dis : « Est-ce qu'on sort de la douche… On pourrait aller dans ta chambre… Et faire l'amour, j'ai trop envie de toi, de te sentir en moi…! ». J'ai accepté, mais nous sommes restés encore un peu sous la douche, parce qu'elle avait commencé à me caresser le sexe. Alors, que j'allais aller lui caresser le sexe, à mon tour, elle arrêta et mit fin à la douche.
Nous nous sommes essuyés et nous nous sommes dirigés vers ma chambre. Nous étions déjà nus. Dès que nous sommes entrés dans ma chambre, Marie me fit retourner, pour que je sois face à elle et dos à mon lit. Elle s'approcha de moi, et commença à m'embrasser fougueusement, comme lorsque nous étions dans le salon. Je sentis tout à coup sa main sur mon ventre. Après deux baisers, sa main descendit vers mon pénis qui était déjà tendu. Elle commença à le branler doucement. Alors, ma main alla sur sa fesse… Sur sa cuisse… Sur son clito. Je commençai à la caresser. Soudainement, elle me poussa sur mon lit et elle vint sur moi. Elle me regarda en se mordant la lèvre inférieure et prit mon sexe dans sa main. Elle approcha son sexe du mien et me fit la pénétrer. C'était si bon ! Elle commença alors ses déhanchements, assise sur moi. Je m'assis, pour qu'elle ait plus de sensation. Elle m'embrassa tendrement et me dis : « Oui, c'est trop bon ! Je t'aime Éric ! ». Elle laissait échapper des petits cris…
Tout à coup, je changeai de position. Je la pris et nous sommes tournés dans mon lit, afin que je sois sur elle. Je commençai mes va-et-vient, au début doucement, et plus Marie criait, plus j'accélérais. J'avais ma main sur sa cuisse et je la glissais jusqu'à ses fesses, pour remonter sur sa cuisse. Elle me prit dans ses bras et m'approcha d'elle j'avais mon oreille juste à côté de sa bouche. J'entendais sa respiration saccadée et ses petits cris de jouissance. Ceux-ci faisaient en sorte que j'étais plus excité et que j'accélérais, et plus j'accélérai, plus Marie laissait aller ses cris. Elle me demanda alors de retourner sur moi. Je me suis retiré d'elle, mais avant de la laisser aller sur moi, je me suis approché de son vagin, et je l'ai embrassé. Lorsque je l'embrassai, j'en sentis l'odeur. C'est fou ce que son odeur m'excitait. Ne pouvant m'en empêcher, je sortis la langue et commença à lui lécher le sexe. Alors que je donnais des coups de langue, elle laissait échapper de cris de jouissances. Elle me dit alors, dans un souffle saccadé : « Arrête, s'il te plaît, je veux jouir sur toi ! ». Je me suis arrêté et je l'ai laissée venir sur moi. Pendant qu'elle se déhanchait sur moi, elle prit ma main et la dirigea sur son clitoris. Cette fois, je compris le message et je commençai à la masturber tout en lui faisant l'amour. Comme elle voulait jouir sur moi, je me suis assis pour lui donner plus de sensation. Elle commença alors a allez plus vite et tout d'un coup, elle eut des petits spasmes tout en cirant; « Oh oui, c'est bon ! Oui, oui, OUI ! ». Elle avait joui sur moi. Alors, comblée, elle me dit : « Tu peux prendre la position que tu veux, mon amour… ». Je lui demandai donc de se mettre à quatre pattes et je lui fis l'amour ainsi. Pendant que je faisais mes va-et-vient, ma main qui était sur la hanche de Marie, descendit, pour aller en dessous, et pour aller caresser son clitoris. Sentant que j'allais jouir, j'accélérai mes mouvements et comme j'accélérai, Marie poussa de petits cris, tout en disant qu'elle aimait cela. Alors, je me sentis exploser, puis plus calme : j'avais joui.
Je me suis retiré, dans un dernier spasme et nous nous sommes tous les deux couchés sur le lit et nous nous sommes endormis, collés l'un contre l'autre.