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Proposée le 18/11/2010 par Marc Paul
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Quatre semaines avaient passé depuis le soir ou pour la première fois Simon avait sauté Bénédicte. Quatre semaines pendant lesquelles, tous les soirs sauf le week-end Simon frappait à la porte de sa chambre et qu'il la baisait pendant une heure ou deux avant de rejoindre le lit conjugal à l'étage au dessous.
Ils avaient pris la précaution de surveiller le sommeil d'Astrid à l'aide de la caméra WiFi. Cela excitait Simon de sauter Bénédicte en regardant sa femme dormir mais cela excitait aussi Bénédicte de se faire baiser en regardant celle qui affolait ses sens.
Quatre semaines, c'était aussi la moitié du délai que Simon avait donné à Bénédicte pour séduire sa femme. Les jours qui passaient inquiétaient la jeune fille car, pour l'instant, elle n'avait obtenu aucun résultat. Elle avait bien tenté quelques man'uvres discrètes, trop discrètes peut-être, rien. Même si, à ces occasions, il lui avait semblé voir une rougeur sur les joues de sa patronne, un trouble dans ses yeux, une intonation inhabituelle dans sa voix, tout cela n'était pas très probant et elle pensait qu'elle se faisait des idées. Même si, depuis qu'elle s'appliquait à séduire Astrid, celle-ci se livrait plus souvent à ses petits plaisirs solitaires de l'après-midi, elle n'attribuait cela qu'au hasard.
Bénédicte avait envisagé de pénétrer dans la chambre d'Astrid pendant que celle-ci se masturbait mais Astrid risquait de se braquer et de la jeter dehors pour cacher sa gêne.
Elle garda cette possibilité comme une ultime solution, comme un va-tout juste avant l'échéance des deux mois.
Dans le courant de la cinquième semaine, Astrid et Bénédicte prenaient le café dans le salon. Depuis le début, quand elles avaient fini de déjeuner, que Bénédicte avait rangé et nettoyé la cuisine, elle préparait deux tasses de café que les deux jeunes femmes dégustaient dans le salon en papotant. Depuis quelques temps, Astrid lui avait proposé le tutoiement. Bénédicte avait accepté avec soulagement et Simon aussi car comme ils se tutoyaient le soir pendant qu'ils baisaient, ils devaient, l'un et l'autre, faire des efforts de concentration pour ne pas se trahir.
Bénédicte posa les deux tasses sur la table basse et s'assit dans le canapé. Astrid qui avait mis un cd de musique douce s'approcha pour s'asseoir à coté de Bénédicte. Les deux femmes s'asseyaient toujours ainsi, comme dans un rituel. Astrid s'assit donc les jambes repliés sur le coté.
Bénédicte prit le bas de la robe d'Astrid en disant :
- Astrid, je crois bien que l'ourlet de ta robe est décousu.
Elle s'arrangea pour que, dans son geste, le dos de sa main frôle les cuisses d'Astrid, et elle la garda dans cette position prolongeant le contact. Astrid ne se déroba pas, mais une légère rougeur lui monta aux joues.
- Tu es sûre ?
- Oui, je l'ai vu quand tu étais debout. Tiens regardes, il est décousu sur une bonne dizaine de centimètres.
En disant cela, Bénédicte souleva le bas de la robe pour le montrer à Astrid.
- Tu as raison. Une robe toute neuve que je n'ai portée que deux fois. Il va falloir que je la ramène au magasin pour faire refaire cet ourlet. Il vont m'entendre car pour le prix?
- Si tu veux je peux te faire cela. Il suffit que j'aille chercher ma trousse de couture et j'en ai pour quelques minutes. Pas besoin de retourner au magasin pour si peu.
- Tu es gentille. Moi, je suis nulle en couture. Tu sais coudre, toi ?
- Oui, j'ai travaillé comme retoucheuse dans une boutique il y a un an.
- D'accord, mais d'abord on va boire notre café avant qu'il ne refroidisse.
Pendant tout cet échange, Bénédicte garda sa main sur la cuisse d'Astrid sans que celle-ci ne se manifeste. Elle avait laissé retomber la robe et les jambes d'Astrid étaient découvertes à mi-cuisses. Les deux jeunes femmes bavardèrent pendant une bonne demi-heure avant que Bénédicte se lève pour ranger les tasses dans le lave-vaisselle et monter ensuite dans sa chambre.
Elle revint avec sa trousse de couture et retrouva Astrid assise au même endroit. Elle fouilla parmi ses bobines de fil, en sélectionna trois qu'elle posa sur la robe d'Astrid pour trouver la couleur la plus proche. Elles tombèrent d'accord sur une couleur de fil. Bénédicte rangea les bobines inutiles et enfila une aiguille.
- Il faudrait que tu poses ta robe. Sinon ça ne va pas être pratique. Demanda Bénédicte.
- Oui, bien sur. Répondit Astrid en se levant et elle fit passer sa robe par-dessus sa tête.
Pendant que Bénédicte cousait, Astrid déambula dans le salon, splendide dans sa quasi-nudité.
Elle changea le cd, prit un magasine et le parcourut debout près de la chaîne Hi-Fi.
Bénédicte avait fini depuis quelques minutes et regardait Astrid comme hypnotisée. Astrid sentit peser sur elle ce regard et elle leva les yeux.
- Tu as fini ? Pourquoi tu me regardes comme cela.
- Oui, oui, j'ai fini. Excuses-moi mais' Mais' Je te trouve super belle.
- C'est gentil, ça. Tu vas ne faire rougir. Mais toi aussi tu es très jolie. Aussi jolie que moi.
- Nooon, ce n'est pas possible. J'ai plein de truc qui ne vont pas.
Astrid éclata de rire.
- Ecoutes viens dans ma chambre, on va se mettre devant la glace et on va comparer.
Et en disant cela, elle prit Bénédicte par la main et l'entraîna devant l'armoire ancienne de sa chambre.
Astrid demanda à Bénédicte de poser sa robe pour pouvoir mieux se comparer. Comme Bénédicte refusa. Astrid la fit pivoter, et fit descendre le zip de la robe qui tomba sur le parquet.
- Allez, pas de chichis entre nous. On est entre filles' Tiens tu ne portes pas de culotte.
- Non, quand il fait chaud et que je suis en robe ou en jupe, il m'arrive de ne pas en mettre.
- Hummm, pourquoi pas. Ça doit être agréable? Mais j'aurais trop peur que l'on voit mon minou. Puisque on va se comparer autant enlever tout.
Et elle dégrafa le soutien-gorge de Bénédicte. Elle quitta ensuite elle-même sa culotte et demanda à la jeune fille.
- Tiens, tu veux bien dégrafer mon soutif.
Les deux jeunes femmes étaient alors debout devant la glace, épaule contre épaule.
Astrid vantait les charmes physiques de Bénédicte qui se prenait au jeu et répliquait sur le même ton :
- Bénédicte, tu vois bien que tu es très jolie.
- Oui, mais tu es plus grande que moi.
- Boff, parfois j'ai l'air d'un grand haricot. Toi, au moins, tu as des formes.
- Des formes, de la cellulite, tu veux dire.
- De la cellulite, ne me fais pas rire, tes jambes sont parfaites, moi les miennes sont trop maigres, ça c'est le jogging, faudrait que j'en fasse moins. Et tes seins, hein, ils sont magnifiques.
- Oui, c'est vrai qu'ils sont un peu plus gros que les tiens. Mais les tiens ont l'air très fermes.
En disant cela Bénédicte passa derrière Astrid et tentant sa chance, glissa ses deux mains sous ses aisselles et lui palpa les seins en se collant contre elle. Astrid laissa se prolonger ce contact délicieux, troublée. Bénédicte continua sa palpation qui n'était plus destinée à mesurer la fermeté de la poitrine d'Astrid. Elle sentit sous ses doigts les tétons érigés, durs et elle les fit rouler entre le pouce et l'index. Astrid pencha sa tête en arrière sur l'épaule de Bénédicte et lançant ses bras en arrière, elle posa ses mains sur les fesses de Bénédicte et la serra contre son dos.
Les deux femmes restèrent ainsi collées l'une à l'autre prolongeant ce moment délicieux en silence. Leur c'ur battait à cent à l'heure dans leur poitrine, et l'une et l'autre devinaient le gonflement de leurs lèvres intimes. Astrid fut la première à rompre la magie. Elle se retourna et prenant à deux mains le visage de Bénédicte, elle posa ses lèvres sur les siennes. Leurs bouches s'ouvrirent, leurs langues se rencontrèrent et commencèrent un ballet sensuel. Puis Astrid poussa Bénédicte vers le lit et les deux jeunes femmes se retrouvèrent couchées l'une sur l'autre. Elles continuèrent à s'embrasser, avant que les lèvres d'Astrid ne quittent celles de Bénédicte pour arriver sur ses seins. Astrid tenait un globe dans chaque main, les pressaient l'un contre l'autre, sa bouche allait d'un téton à l'autre qu'elle suçait et tétait alternativement.
Bénédicte adressa un petit signe de la main à la caméra, invisible pour celui qui en ignorait l'emplacement. Simon, en expert, l'avait programmée pour que l'enregistrement des images démarre dès qu'elle détectait le moindre mouvement.
Bénédicte fit rouler Astrid pour se retrouver sur elle. Elle lui caressa un peu les seins, les mordilla pendant que sa main poursuivait sa course plus bas. Ses doigts prirent possession de la chatte inondée d'Astrid, lui tirant un gémissement. Elle continua de la branler doucement alternant des pénétrations profondes avec des caresses circulaires de son petit bouton proéminent. Le plaisir d'Astrid arriva très vite, trop vite à son goût, mais elle était tellement excitée, elle avait tellement attendu ce moment depuis le jour où elle avait rencontré Bénédicte pour la première fois. Elle se cambra brutalement faisant craquer le lit ancien, ses mains se crispèrent sur le couvre-lit, ses yeux se révulsèrent et pendant de longues secondes, elle jouit en silence le corps tendu comme un arc, la bouche entrouverte comme semblant manquer d'air avant de se détendre d'un seul coup dans un râle de bête fauve et de laisser son corps exprimer son plaisir.
Astrid émergea doucement de son plaisir, elle sourit à Bénédicte, roula sur elle en l'embrassant. Sa tête glissa rapidement vers le pubis épilé de la jeune fille, ses lèvres malaxant les lèvres intimes de son employée, buvant le nectar qui s'en échappait, cherchant de sa langue son clitoris dardé. D'une main, elle se saisit de son vibromasseur dans le tiroir et l'enfonça doucement dans la grotte brûlante de Bénédicte. Astrid branlait Bénédicte de son vibromasseur ronronnant, et lui suçait le clitoris en même temps. Bénédicte ne résista que quelques petites minutes à cet assaut, elle se cambra, offrant son pubis à la bouche de sa patronne et jouit en criant.
Les deux femmes se câlinèrent ensuite, roulant l'une sur l'autre, s'embrassant à pleine bouche et caressant leurs corps. Astrid soupira :
- C'était merveilleux, pourquoi as-tu mis si longtemps à te décider ? J'en avais tellement envie.
- Moi aussi, j'en avais très envie, depuis le premier jour. Mais je ne savais pas que tu aimais aussi les filles.
- Moi non plus, je ne savais pas que j'aimais les filles. Répondit Astrid en souriant. Et toi, tu avais déjà baisé avec une fille avant ?
- Oui, quelque fois. Mais' Ce qui m'a fait franchir le pas, c'est?
Bénédicte faillit tout avouer à Astrid, la caméra, le marché que Simon lui avait imposé mais elle y renonça. Elle craignait que cela ne provoque des choses qu'elle regretterait ensuite. Simon avait une idée derrière la tête en lui demandant de séduire Astrid, elle avait remplit son contrat et elle attendrait de voir ce qui se passerait. Simon ignorait sans doute que sa femme avait envie d'elle et elle décida de le laisser dans cette ignorance. Elle poursuivit :
- Quand on a été nues toutes les deux, te voir si belle, si offerte, je n'ai pas pus résister? Même si j'ai pensé que je risquais ma place, je n'en pouvais plus d'attendre.
- Tu ne risques pas de te faire virer maintenant, je te garde, ma chérie. Tu m'as donné un plaisir immense. Un peu rapide pourtant, tu ne trouves pas ?
Les deux filles recommencèrent de se caresser de plus belle. Abandonnant les caresses trop directes, délaissant le vibromasseur, elles mirent leurs jambes en ciseaux et se tenant par la main, se frottaient l'une à l'autre, chatte contre chatte, mêlant leur mouille jusqu'à ce qu'un deuxième orgasme les fassent crier à nouveau simultanément et les laissent inertes, assouvies.
Le soir même, Bénédicte alla frapper à la porte du bureau de Simon dès qu'il s'y installa après que son épouse fut endormie. Elle lui apprit la nouvelle. Simon visionna la vidéo en sodomisant Bénédicte sur son bureau. Ce soir là, l'excitation de voir sa belle Astrid et la toute aussi belle Bénédicte se livrer à leur plaisir, plus que le glissement de sa queue dure dans le petit cul serré de la jeune fille, l'amena rapidement au plaisir. Il se vida rapidement dans les entrailles de Bénédicte sans prendre le temps de la caresser suffisamment pour qu'elle en jouisse. Un peu contrit, honteux, Simon lui souffla :
- Désolé, de ne pas avoir pris le temps de baiser correctement. Mais cette vidéo est vraiment très excitante. Tu n'as pas eu trop de mal à la convaincre ?
- Non, enfin si, un peu, j'y travaille depuis quatre semaines. Astrid n'était pas vraiment emballée mais à force de caresses, j'ai réussi à l'exciter suffisamment pour qu'elle se laisse faire. Mentit Bénédicte.
- Pourtant elle avait l'air plutôt active et pas très réticente.
- Dans la chambre, oui, mais tu n'as pas vu tout ce qui c'est passé avant dans le salon et depuis un mois. Ça n'a pas été aussi facile que cela.
- Bon, d'accord. L'essentiel est que tu ais rempli ton contrat.
- Et maintenant, on fait quoi ?
- On continue comme cela. Tu baises autant que tu veux avec Astrid et je te baise quand j'en ai envie. La première partie du contrat tient toujours.
Bénédicte accepta. Elle avait encore moins envie de perdre son boulot depuis qu'elle avait réussi à séduire Astrid. Elle demanda à Simon ce qu'il avait comme projet pour la suite mais il ne voulut rien lui dévoiler.
Le trio s'installa alors dans un rituel bien huilé. Astrid et Bénédicte baisaient ensemble l'après-midi, deux à trois fois par semaine. Simon sautait Bénédicte presque tout les soirs en regardant les vidéos des deux jeunes femmes se faisant force léchouilles. Et Astrid et Simon avaient gardé l'habitude de leur partie de jambes en l'air dominicale, que Bénédicte suivait en direct sur l'écran de son ordinateur. Pourtant au fil des mois, Astrid dérogeait de plus en plus souvent à refuser son corps magnifique à son mari. Elle prit elle-même l'initiative de faire l'amour en semaine avec lui, d'abord une fois de temps en temps puis deux à trois fois chaque semaine. Simon remarqua que cela se passait quand Bénédicte sortait l'après-midi et ne donnait pas à sa patronne sa dose de jouissance. Astrid devenait de plus en plus accro au sexe et quand elle n'avait pas son orgasme quotidien, elle était en manque.
Cela dura quelques mois, Simon sentait sa femme devenir de plus en plus accro. Non seulement, elle et Bénédicte faisaient l'amour tous les jours, mais elle s'offrait à son mari presque tous les soirs. Simon en était réduit à baiser Bénédicte les samedi matin quand Astrid les laissait seuls à la maison pour aller faire du shopping, ou bien chez son coiffeur.
Un mardi, Simon quitta son travail vers trois heures. Il le signala à sa secrétaire, prétextant un rendez-vous à l'extérieur et rentra chez lui. Simon monta directement à son bureau sous les combles et put admirer Bénédicte et Astrid qui se caressaient mutuellement sur le lit conjugal. En 69, la tête de chacune des filles disparaissait entre les cuisses de l'autre. Simon, privé du son, put voir les corps des deux filles s'ébrouer sous l'effet du plaisir qu'elles se donnaient l'une à l'autre. Cette agitation fut suivit ensuite d'une période de récupération pendant lesquelles elles prolongèrent un peu leurs caresses mutuelles.
Astrid se leva et se dirigea vers la salle de bains. Elle revint aussitôt en tenant quelque chose à la main. Elle brandit l'objet en disant à Bénédicte :
- Regarde, ma chérie, j'ai fait quelques achats sur Internet et je l'ai reçu ce matin.
- Alors, c'était ça, le colis de ce matin. Il est super ce gode ceinture.
Assises en tailleur sur le lit, les deux filles examinèrent l'objet sous toutes les coutures. Elles s'amusaient de sa couleur rose tendre, s'extasiaient de sa consistance à la fois souple mais aussi suffisamment rigide. Bénédicte s'inquiéta des dimensions de l'objet :
- Dis, tu ne crois pas que tu as vu un peu grand ? Il est vachement gros.
- Sur le site, ils disaient 25 cm de long et 5 de diamètre. Ça doit être ça. Ça te fait peur ?
- Ben, franchement j'ai jamais vu un mec avec un pareil engin et toi ?
- Moi, non plus. Même si Simon est plutôt bien monté, j'avoue que sa queue n'a pas cette taille. Je n'avais pas réalisé que ça faisait ça quand je l'ai commandé. Tu m'inquiètes, tu crois que j'ai vu trop grand ?
- Péché de gourmandise ! Pour la chatte, ça devrait aller mais pour la sodo, ce sera plus difficile, j'espère que tu as pensé au lubrifiant.
- Ouiiii, j'y ai pensé. Mais je suis un peu déçue, j'aurai bien aimé fourrer ta petite porte, ma chérie.
- Attends, j'ai pas dit que c'était impossible, je te promets qu'on va essayer et puis, ça sera sûrement terriblement jouissif.
- Tu es mignonne. Mais viens ici, que je t'équipe. Si tu veux bien, je vais essayer de prendre ce gros pieu dans ma chatte.
Simon, en l'absence de son, n'avait pas pu suivre le dialogue mais il vit Bénédicte se lever pour qu'Astrid puisse lui passer le gode et l'ajuster à sa taille. Bénédicte soupesa le gros cylindre de silicone, le fin sauter dans sa menotte. Astrid, accroupie devant elle, s'en saisit et simula une fellation sur cette queue factice. Les deux filles éclatèrent de rire.
Astrid se mit à quatre pattes au bord du lit et Bénédicte resta debout derrière elle. Elle tournait le dos à la porte. Bénédicte dirigea le chibre de plastique vers la chatte d'Astrid. En deux ou trois allers et retours dans sa fente, elle en lubrifia l'extrémité, puis une main sur la hanche d'Astrid, elle poussa pour enfoncer le gode dans son con inondé de mouille. Astrid, les deux mains crispées sur le drap, souffla :
- Ahhhh, la vache, qu'est-ce que c'est gros !
- Ça va, tu as mal ?
- Non, non, continues, mais j'ai l'impression de me faire dépuceler. Encore, va plus loin.
Bénédicte se retira un peu et s'enfonça à nouveau un peu plus profond. Le gode disparaissait entièrement dans la chatte dilatée d'Astrid qui encourageait sa partenaire.
- Ouiii, baises-moi encore. Putain, c'est bon, cette grosse bite dans mon con. Fourres-moi encore, explose moi la chatte.
Pendant ce temps, Simon était descendu sans bruit par l'escalier intérieur. En se déshabillant à la porte de la chambre, il avait entendu distinctement sa femme proférer ces paroles crues qu'il n'avait jamais entendues de sa bouche, elle, d'habitude si distinguée.
Il pénétra sans bruit dans la chambre, nu comme un ver, la queue dressée. Astrid avait le visage enfoui dans les draps qu'elle mordait. Il vit Bénédicte debout qui besognait sa femme à lents coup de reins, les sangles en cuir noir du gode ceinture soulignaient sa taille, et la sangle centrale se perdait entre les deux globes de ses fesses.
Bénédicte remarqua sa présence mais alors qu'elle ouvrait la bouche, il lui intima l'ordre de se taire de son doigt sur ses lèvres.
Simon contourna le lit et empoigna sa femme par les cheveux. Il lui releva la tête et avant qu'elle ne puisse dire un mot, il la bâillonna avec sa queue. Il lui fit faire deux ou trois allers-retours sur son chibre tendu avant de la libérer pour qu'elle reprenne son souffle :
- Simon,? Mais qu'est ce?.
Elle n'eut pas le temps d'en dire plus car elle se retrouva avec la queue de Simon au fond de la gorge. Bénédicte continuait de la labourer, comme un métronome. Le gros gode s'enfonçait sans effort dans la chatte dilatée d'Astrid. Chacun des coups de reins de Bénédicte obligeait Astrid à avaler Simon un peu plus.
Simon lui malaxait les seins, et Bénédicte qui la maintenait d'une main par la hanche lui titillait le clitoris de l'autre. Astrid n'en pouvait plus, son con dilaté comme jamais envoyait des ondes de plaisir dans son ventre, son clitoris agacé par les caresses lui semblait énorme, hypersensible, ses seins malaxés par les mains puissantes de Simon était tendus, douloureux, comme prêts à exploser, sa bouche ressentait les spasmes de la queue de son mari. Une explosion se produit dans son ventre, un vague de chaleur monta le long de sa colonne vertébrale pendant qu'une autre partait de ses seins. Elles se rencontrèrent et Astrid hurla silencieusement, ses cris étouffés par le chibre de Simon. Son corps fut pris de tremblements intenses, Enfilée par la bouche et par le con, elle jouit intensément, son con se contractant autour du gros pieu et sa bouche suçant avidement la queue qui l'empêchait d'exprimer son plaisir. Son orgasme fut si intense qu'elle ne se rendit même pas compte que Simon s'était vidé dans sa gorge. Ce n'est qu'en reprenant ses esprits qu'elle trouva dans sa bouche la saveur grasse et salée du sperme.
Bénédicte et Simon se retirèrent ensemble. Privée de ses deux points d'appui, à moitié inconsciente, Astrid s'effondra sur le lit et resta ainsi de longues minutes, gémissant encore des derniers sursauts de son con dilaté qui se refermait doucement. Elle reprit ses esprits sous les caresses conjuguées de Simon et de Bénédicte :
- Simon, mon chéri, qu'est-ce que tu fais ici ?
- J'avais un rendez-vous pas très loin en début d'après-midi. Je voulais travailler un peu ici. Et je vous ai trouvées' Mentit Simon.
- Mais tu n'es pas fâché que je? Enfin que nous' Bénédicte?
- Non pas du tout et je suis tout prêt à te partager avec elle? Ou avec d'autres. Si tu es d'accord bien sûr. Mais j'ai l'impression que tu as pris un joli plaisir à te faire baiser comme ça.
- Oufff, oui. Ça tu peux le dire. Bien sur que je suis d'accord. On pourrait commencer tout de suite d'ailleurs' Bénédicte, ma chérie, et si on remettait en forme mon Simon, je pense que tu as envie de sa belle queue.
Allongée au coté de Simon, Astrid l'embrassait tendrement, ne délaissant sa bouche que pour laisser le champ libre à Bénédicte ou bien pour embrasser à son tour la jeune fille. Elle branlait doucement sa queue qui peu à peu retrouvait sa rigidité. Bénédicte suça ce chibre tendu puis chevaucha Simon. Astrid guida la queue de son mari vers la chatte inondée de la jeune fille qui se laissa glisser sur le dard de Simon jusqu'à ce que ses fesses ne reposent sur ses cuisses. Astrid, derrière elle, l'aidait à monter et descendre, les mains sous ses gros seins, les malaxant à pleines paumes.
Bénédicte se pencha en avant pour embrasser son amant. Astrid en profita pour la caresser, glissant son doigt dans la profonde vallée de son petit cul tout rond. Quand son doigt enduit de mouille frôla la rosette de Bénédicte, un gémissement s'échappa de sa gorge. Astrid insista, força de son doigt la petite porte qui s'entrouvrit. Elle laissa les deux amants quelques secondes, le temps d'aller chercher le flacon de gel lubrifiant. Elle en déposa une bonne dose dans la raie culière de Bénédicte, que la fraîcheur du gel fit frémir. Astrid passa le gros gode ceinture et l'enduit de gel lubrifiant.
Bénédicte savait ce qui allait se passer, elle le comprit quand Astrid lui badigeonna le cul et elle en eut la confirmation quand elle sentit le froid du gode sur sa rosette. Une véritable hystérie s'empara d'elle. Ses mouvements de bassin devinrent plus amples et elle s'empala elle-même sur le monstrueux objet en encourageant Astrid de la voix :
- Oui, Astrid, exploses-moi le cul, baises moi. Rahhhh? C'est bon' Je le sens' Il est gros' il est énorme, encore? Encore, encules moi encore?
Simon sentait sur sa queue la pénétration de l'énorme tige dans les entrailles de Bénédicte. Chaque coup de reins lui procurait un massage intense. Encouragée par les cris de Bénédicte, Astrid et Simon besognaient violemment, autant les coups de reins d'Astrid étaient lents autant les allers-retours de Simon étaient rapides.
Bénédicte gémissait en permanence, le corps recouvert de sueur, elle tremblait de tous ses membres, elle accueillit, d'un long cri de gorge, l'orgasme libérateur qui la fit s'évanouir.