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Proposée le 16/11/2010 par Marc Paul
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Astrid attendait sur le trottoir que Simon ait payé le taxi qui venait de les déposer devant chez eux. La soirée qu'ils venaient de passer ensemble avait été un vrai bonheur.
Quelques heures plus tôt, Simon était rentré radieux de son travail. Il venait d'apprendre la nouvelle que Astrid et lui attendaient depuis bientôt dix ans. Simon était nommé responsable du service « Grand Comptes » dans le cabinet d'expertise comptable où il travaillait depuis douze ans. Finies les déclarations d'impôts des petits commerçants ou artisans, terminé ce chef exécrable et incompétent qui l'agaçait au plus haut point, il allait pouvoir enfin donner toute la mesure de ses compétences en aidant des grands cabinets d'avocats ou de médecins, des PME à faire leur déclaration au fisc et surtout les conseiller dans le but de réduire leurs impôts. Il avait du un peu jouer des coudes pour arriver là, se montrer sous son meilleur jour, mais il n'avait pas rougir de cela.
En rentrant chez eux, Simon n'avait pas annoncé la nouvelle à son épouse tout de suite. Il l'avait simplement invitée au restaurant et avait attendu le milieu du repas pour lui faire la surprise. Astrid avait accueillis la nouvelle en poussant un cri de joie qui avait fait se retourner les convives du restaurant à moitié vide ce soir. Astrid l'avait ensuite harcelé de questions, elle voulait tout savoir et chaque réponse que Simon lui donnait en souriant provoquait son rire cristallin et faisait battre ses mains parfaitement manucurées.
Simon était heureux de voir son Astrid si joyeuse. Il savait qu'elle était une enfant gâtée et se comportait comme telle. Elle ne voulait pas d'enfant et Simon, en l'épousant avait accepté ce contrat. Autre clause à leur accord tacite, elle ne voulait pas travailler. Simon gagnait bien sa vie, il avait hérité la maison qu'ils habitaient d'un vieil oncle, son salaire suffisait à les faire vivre confortablement.
Mais Astrid, son Astrid était si belle qu'il ne pouvait rien lui refuser. A trente-cinq ans passés, elle en paraissait dix de moins. Grande et mince, elle passait beaucoup de temps dans son club de gym, faisait du jogging deux fois par semaine. Son corps était parfait, une taille fine qui accentuait les courbes de ses hanches, de longues jambes bien modelées avec des chevilles fines et de mignons petits pieds. Ses seins étaient ni trop gros, ni trop petits mais surtout très fermes et plantés haut. Ses longs cheveux auburn qui tombaient sur ses épaules dans une cascade de bouclettes, encadraient un visage à l'ovale parfait, un nez sans défaut et une bouche de taille moyenne qui s'ouvrait sur un sourire éclatant. Des yeux verts, légèrement en amande, complétaient ce tableau idyllique. De plus, Astrid avait beaucoup de goût pour choisir ses vêtements et savait toujours se mettre en valeur.
La beauté de son épouse flattait la vanité de Simon. Il adorait marcher dans les rues avec Astrid à son bras et s'amusait de voir les passants mâles se retourner sur son passage. Il s'était gonflé comme un coq quand il avait surpris une conversation entre ses collègues pendant la réception de nouvel an organisé par son patron. Ses deux collègues discutaient près de la porte de la salle de réception, alors que Simon passait un coup de téléphone tout à coté. Caché derrière une grosse plante verte, ils ne l'avaient pas vu et faisait des commentaires sur Astrid :
- Tu as vu la femme de Simon ? Demanda l'un.
- Non, je ne sais pas qui c'est. Elle est ici ? répondit l'autre.
- Oui, une grande rousse, mince, superbe.
- Celle qui est près du buffet avec la femme du boss ?
- Ouiiiii, moi je la trouve canon.
- Une vraie bombe atomique, tu veux dire.
- C'est vrai. Il n'y a rien à jeter. Moi je prends tout.
- Il a de la chance, Simon, d'avoir un si joli petit cul à se mettre sous la main.
- C'est vrai que j'aurai une nana comme ça dans mon lit, je ne coucherais pas sur la moquette. Je te le garantis.
- ?
Les deux hommes changèrent de conversation en s'éloignant et Simon put sortir de sa cachette. Malgré la fierté que lui procura cette conversation, Simon était un peu amer. Tout n'était pas si rose dans ce tableau. En effet, il ne pouvait pas profiter du corps magnifique et excitant de sa belle autant qu'il le souhaitait. Astrid soucieuse de ne pas gâter son teint de pêche refusait de se coucher tard et comme Simon rentrait tard du travail, il n'était pas question de baiser les soirs de la semaine. Pas question non plus de baiser le matin, Astrid se prétextait horrible tant qu'elle n'avait pas passé plus d'une heure dans la salle de bains. Comme ils sortaient fréquemment le samedi, il ne pouvait profiter du corps de sa femme que le dimanche en début de soirée. De plus Astrid étant particulièrement pudique, pas moyen de se faire une petite baise impromptue dans la voiture après une balade dominicale.
Pourtant, Astrid ne rechignait pas à l'ouvrage quand elle se décidait à laisser Simon l'honorer de ses ardeurs. Elle se donnait à lui totalement et sans aucune retenue. Simon adorait sentir sa queue s'enfoncer dans sa petite chatte soigneusement épilée, Astrid ouvrait grand ses longues jambes et les nouait sur son dos pour éperonner son étalon. Elle ne lui refusait ni sa bouche, elle faisait des pipes divines bien qu'elle se refuse à le laisser jouir dans sa bouche. Elle ne lui refusait pas plus sa « petite porte » comme elle disait et Simon se régalait de voir sa queue dure s'enfoncer entre les jolies fesses rondes de Astrid qui appréciait de se faire labourer de la sorte. Astrid prenait aussi beaucoup de plaisir parfois à exciter son mari, le dimanche en fin d'après-midi généralement, elle s'exhibait devant lui en lingerie, se caressait, utilisant parfois le vibromasseur qu'il lui avait offert, assise dans un fauteuil en face de lui et cela se terminait invariablement sur le tapis du salon.
Simon avait aussi un autre motif de frustration. Comme pas mal d'hommes, il aurait aimé partager sa belle avec d'autres hommes ou bien des femmes. Mais, si il avait fait plusieurs fois allusion à son fantasme, Astrid n'avait pas relevé, se réfugiant dans une incompréhension feinte alors que le rose de ses joues et ses yeux brillants d'un éclat particulier indiquaient qu'elle avait parfaitement compris l'allusion.
Pourtant ce soir-là, Astrid dérogea à son habitude de se coucher tôt. A peine rentrée dans leur appartement, elle se pendit au cou de son mari pour un baiser fougueux et son bassin se colla au ventre de Simon, provoquant son érection qu'elle sentait se déployer au contact de son ventre.
Astrid avait une idée derrière la tête.
Maintenant que Simon avait obtenu ce poste et l'augmentation de salaire qui allait avec, elle pouvait avoir ce qu'elle rêvait depuis longtemps : une BONNE. Elle en avait marre des tâches ménagères qui lui prenaient tout son temps, qui cassaient ses ongles et lui brisaient le dos. Elle pensait que Simon se laisserait convaincre plus facilement ainsi.
Mais, en fine mouche, elle le laissa prendre l'initiative, se contentant de l'embrasser, d'agacer son cou de la pointe de sa langue, de se coller à lui. Simon, sans réel enthousiasme, posa sa main sur la croupe de Astrid, la laissa glisser sur ses hanches et la remonta entraînant la jupe avec elle, découvrant ses belles jambes et commença à glisser le bout de ses doigts sous son boxer en dentelle. Alors qu'il s'attendait au classique « Non, mon chéri, tu sais bien que je dois me coucher tôt pour rester belle comme tu aimes » qui le frustrait et qui parfois l'obligeait à se soulager tout seul, Astrid fit glisser une main entre leurs ventres collés et le caressa à travers son pantalon.
Une bonne dizaine de minutes passèrent ainsi. Astrid et Simon se caressaient mutuellement debout au milieu de l'entrée, Astrid n'avait plus sa jupe et son chemisier était largement ouvert sur sa magnifique poitrine. La chemise de Simon était ouverte et Astrid glissait ses bras dessous, caressant son mari à même la peau.
Astrid s'accroupit devant son mari en le regardant droit dans les yeux d'un air canaille. Toujours en le regardant, elle ouvrit son pantalon, en sortit son chibre bien dur et bien gonflé et le prit en bouche. Astrid mit toute son ardeur et son imagination pour sucer le membre de son mari. Sa langue agaçait le gland décalotté, sa bouche parcourait la hampe qu'elle branlait doucement avant de le prendre dans sa bouche et de le serrer contre son palais. Simon la releva au bout de quelques minutes car il se sentait au bord de l'explosion. Il l'entraîna vers leur chambre, semant dans le couloir le reste de leurs vêtements. Simon la jeta sur le lit et s'allongea sur elle. Il l'embrassa puis se laissa glisser jusqu'à ses seins magnifiques. Il en mordit les tétons dressés, la téta, malaxa les globes de chair avant de se laisser encore glisser plus bas. Sa tête se trouva alors entre les cuisses largement ouvertes de Astrid qu'il prit de ses deux mains et remonta en les écartant. La chatte offerte de sa femme se trouvait à portée de sa bouche. Les petites lèvres gonflées, violacées laissaient filtrer une rosée de mouille et le clitoris gonflé pointait à leur commissure. Un coup de langue de bas en haut les écarta et arracha à Astrid un long gémissement. Simon suça le petit bouton rose de coups de langue circulaires, provoquant ainsi de nouveaux gémissements. Puis redescendant vers l'entrée de cette grotte inondée, il y introduisit sa langue aussi loin que possible. Il recommença son manège jusqu'à ce que Astrid crie de jouissance. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, Simon s'allongea sur sa femme et son chibre trouva seul, sans avoir besoin de le guider, l'entrée du fourreau humide et chaud. Simon s'y enfonça lentement avec délice. Il voyait dans les yeux verts de Astrid, ces petits éclairs qui lui disaient tout le plaisir qu'elle prenait à se faire pénétrer par son dard conquérant, qu'elle avait à se sentir remplie, dilatée par son pieu rigide. Simon baisait Astrid à longs coups de reins, heurtant de sa queue le fond de son con serré de plaisir. Il prenait son temps, savourant les gémissements que chacun de ses allers-retours lui arrachait. Les gémissements se firent bientôt plus forts, plus rapprochés, se transformèrent en râles de plaisir. Astrid noua ses jambes sur les reins de son mari, se cambra pour le recevoir au plus profond d'elle-même. Ses jambes lui donnait la cadence, de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle explose une nouvelle fois en criant son plaisir.
Simon la rejoignit immédiatement, le plaisir d'Astrid attisait le sien. Il libera d'un coup son orgasme qu'il contenait depuis qu'elle l'avait sucé dans l'entrée. De longs jets de semence brûlante montèrent dans sa tige et jaillirent au fond du con inondé d'Astrid. L'un et l'autre appréciaient ces orgasmes simultanés qui les laissaient exsangues, assouvis, soudés pendant de longues minutes.
Ce soir là, Astrid ne semblait pas pressée de dormir. Elle ramena doucement la conversation sur le sujet de la promotion de Simon. Elle caressait doucement ce chibre qui venait de lui donner tant de plaisir et qui perdait peu à peu sa rigidité. Alors qu'elle voulait aborder le sujet qui lui tenait à c'ur, Simon la devança :
- Au fait, ma chérie, j'ai oublié de t'en parler. Je pense que nous pourrions maintenant avoir une employée à plein temps pour le ménage, la cuisine, le linge. Qu'en penses-tu ?
- Une bonne. Ça serait super. Oh oui, j'en rêve depuis si longtemps. Répondit Astrid avec un cri de joie.
Ils parlèrent ensuite de tout ce qu'il y avait à faire pour cela. Ils convinrent qu'Astrid s'occuperait de tout organiser. Elle était radieuse. Sans vraiment y prêter attention, elle avait continué de caresser la queue de Simon. Elle avait dû accentuer ses caresses pendant leur conversation car le chibre de Simon avait retrouvé toute sa rigidité. Astrid s'en rendit compte et faisant fi de son temps de sommeil, de son teint de pêche et de tout ce qui la conduisait à dormir dès neuf heures du soir, elle reprit en bouche le pieu qu'elle branlait. Elle aimait le goût de sa propre mouille qui lui remplissait la bouche. Elle chevaucha Simon, guida son dard vers son con dégoulinant de sperme dilué par sa propre lubrification, elle lui fit faire rapidement, plusieurs fois des allers-retours entre sa fente inondée et son petit trou et s'empala dessus brutalement. Simon fut surpris de la violence de la sodomie que s'imposait sa belle Astrid. D'habitude, il la prenait en levrette et l'enculait avec une grande douceur. Astrid rugit de plaisir et commença à bouger son bassin frénétiquement. Elle se caressait les seins et agaçait son clitoris pendant que Simon la faisait monter et descendre sur sa bite en la soulevant par ses jolies fesses. Astrid jouit deux fois avant que Simon n'explose dans son petit cul serré.
Le lendemain, Astrid s'éveilla tard et elle se dépêcha car elle avait prévu mille choses à faire ; passer l'annonce pour trouver sa future employée, trouver un artisan pour aménager une chambre dans le grenier. A la fin de la journée, elle avait tout fait quand Simon rentra. Elle lui raconta tout et lui expliqua ce qu'elle avait prévu. Leur appartement occupait tout le dernier étage d'un immeuble et ils possédaient aussi la moitié des combles mansardés. Simon s'y était fait aménager un bureau que l'on pouvait atteindre par un escalier en colimaçon depuis le salon. Astrid avait prévu de faire aménager une chambre et une salle de bain à coté du bureau de son mari. Ainsi leur employée aurait un accès direct à sa chambre mais pourrait aussi accéder à leur appartement sans être obligée de prendre l'escalier commun qui servait deux autres chambres louées à des étudiants.
Simon était ravi que sa petite femme chérie trouve là une occupation plus sérieuse. Quelques semaines plus tard, les travaux étaient commencés et Astrid lui apprit qu'elle avait sélectionné une personne parmi les candidatures qu'elle avait reçues et la petite dizaine de personnes qu'elle avait rencontré. Elle lui proposa de rencontrer la candidate avant de donner une réponse définitive. Le rendez-vous était fixé ce vendredi en fin d'après-midi.
Simon arriva avec une bonne demi-heure de retard. Il trouva Astrid et une jeune femme en train de prendre un thé dans le salon. Astrid fit les présentations. La jeune femme s'appelait Bénédicte et Simon fut très surpris en la voyant. Il avait imaginé que la personne choisie par son épouse serait, sinon moche et mal fichue, au moins d'un physique banal et d'un âge canonique. Au contraire, Bénédicte était ravissante, jeune, elle avait vingt-six ans lui dit-elle, mince, une taille fine et une belle poitrine qui se tenait bien et qui tendait son tee-shirt. Un joli visage fin encadré de cheveux blonds, lisses, coupés en carré plongeant. Une peau claire au grain très fin. Bref une très jolie jeune fille ! Il ne pouvait se faire une idée de la beauté de ses jambes car elle portait un jean ample mais il se dit que ses jambes devaient être à l'avenant du reste de son anatomie. De plus, aussi bien dans ses vêtements, comme dans son maquillage, il ne nota aucune faute de goût.
Bénédicte fut engagée et commença dès que les travaux d'aménagement de sa chambre furent terminés. Elle se montra, tout de suite, efficace et très sérieuse dans son travail.
La vie du couple suivait son cours habituel. Simon, dès sa femme couchée, se réfugiait dans son bureau, pour lire parfois, pour se masturber quelques fois mais surtout pour se donner à son principal passe-temps : l'informatique. Il avait d'ailleurs atteint au fil des années un bon niveau d'expertise dans le domaine. C'est lui seul qui avait mis en place et protégé le réseau sans fil de son logement, il avait configuré le PC portable de Bénédicte pour qu'elle puisse se connecter à Internet sans problème quand elle était dans la chambre.
Ce soir là, Simon se rendit compte qu'il captait un nouveau périphérique WiFi. Il connaissait bien les réseaux sans fils de ses voisins pour la plupart aussi bien sécurisés que le sien. Par jeu, il chercha et trouva quel type de périphérique ce pouvait bien être. Une caméra de surveillance sans fil ! Il pensa que le magasin du rez-de-chaussée avait installé ce système de sécurité. Il poussa plus loin et réussit à se connecter sur la caméra et à voir sur son écran ce qui était filmé. Alors qu'il s'attendait à observer la rue en bas, ou bien l'intérieur du magasin ou les réserves, il faillit tomber de son fauteuil de surprise quand il vit l'image de sa propre chambre ou Astrid dormait, nue comme à son habitude, sur le lit découvert à cause de la chaleur de l'été. Malgré la faible lumière, il voyait parfaitement son épouse qui dormait profondément, ses cheveux étalés sur l'oreiller et sa main posée sur son ventre.
Il remit un peu d'ordre dans son esprit, troublé par cette découverte, et se mit à réfléchir avec méthode. Il ne se rendit pas compte qu'il marmonnait à voix basse :
- D'abord, la caméra doit être sur l'armoire ancienne qui a un chapiteau très ouvragé avec des creux dans le bois. Cela correspond à l'angle de prise de vue et c'est le seul endroit pour cacher ce genre de truc.
- Qui a bien pu la mettre là. Astrid ? elle est incapable de se servir d'une clé USB. Elle ne saurait pas connecter et configurer une caméra WiFi. Et puis pourquoi faire ?
- Les ouvriers qui ont fait les travaux. Non, ils ne sont quasiment pas rentrés dans l'appartement et jamais seuls. Et qui aurait intérêt à espionner notre chambre à coucher ?
Simon se trouva à court d'hypothèses, refusant pendant de longues minutes l'évidence qui s'imposait.
- Bénédicte? Murmura-t'il.
Sans réfléchir plus que cela, sans prendre le temps de peser le pour et le contre, en quelques clics il était en train d'explorer le disque dur de l'ordinateur de son employée. Il ne lui fallut que quelques secondes pour trouver ce qu'il cherchait. Des fichiers vidéo !
Il se vit en train de baiser Astrid. Il s'attendait à cela et ne fut pas étonné. Ce qui le surprit beaucoup plus, c'est des vidéos sur lesquelles il découvrit Astrid seule sur leur lit en train de se caresser. Cela durait à chaque fois jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme. L'indication de date et d'heure lui apprit qu'Astrid faisait cela deux à trois fois par semaine et en fin d'après-midi.
Simon ne comprenait pas pourquoi leur employée se livrait à cet espionnage. Il craignit qu'elle ne vende ou diffuse ces vidéos. Pendant près de deux heures, il rechercha dans l'ordinateur de Bénédicte, dans sa boite mail ce qui pourrait confirmer ses craintes mais ne trouva rien.
Il était très dubitatif et ne savait pas qu'elle attitude prendre. Avant de décider quoi faire, il voulait connaître les motivations de Bénédicte. Renonçant pour l'instant, il préféra aller se coucher. Mais avant, il visionna à nouveau une vidéo d'Astrid en train de se faire du bien avec son vibro-masseur et se branla frénétiquement devant les images de sa belle qui se masturbait.
Simon eut la réponse à ses questions le samedi suivant. Astrid était chez son coiffeur pour la matinée et Bénédicte faisait le ménage dans l'appartement. Simon était dans son bureau devant son ordinateur. Il trouva une vidéo supplémentaire qui datait de la veille et qui montrait Astrid dans leur chambre. Elle était nue devant l'armoire à glace et observait son corps magnifique en faisant courir ses mains sur ses courbes parfaites, puis apparemment satisfaite de sa plastique, elle choisit ses vêtements et se vêtit. Le film s'arrêtait là.
Machinalement, il se connecta sur la caméra vidéo qui lui montra la chambre vide. Il regarda d'un oeil distrait l'image fixe et allait couper la visionneuse quand il vit Bénédicte entrer dans la pièce, traînant l'aspirateur d'une main, l'autre tenant des chiffons. Simon l'observa.
Bénédicte se dirigea immédiatement vers le lit du coté où dormait Astrid habituellement. Elle savait ce qu'elle allait y trouver. Elle se baissa et ramassa la petite culotte que sa patronne laissait toujours là. Simon sourit de cette manie que sa femme avait de garder sa culotte jusqu'au moment de se coucher plutôt que de la poser dans la salle de bains attenante à la chambre. Son sourire se figea.
Bénédicte porta la culotte en fine dentelle à son visage et huma avec délectation l'odeur musquée qui s'en dégageait. Elle fit cela plusieurs fois, tournant et retournant le boxer, enfouissant son visage dedans comme pour mieux s'en imprégner. Elle s'approcha de la porte, tendit l'oreille, puis rassurée par le silence de la maison, elle alla s'étendre sur le lit.
Elle releva sa jupe jusqu'à la taille, découvrant ses jambes et son pubis épilé. Simon marmonna :
- Cette petite garce n'a pas de culotte.
Bénédicte se caressait tout en gardant le nez dans la culotte d'Astrid. Au bout d'un moment, elle se tourna et ouvrit le tiroir de la table de nuit et en sortit le vibromasseur d'Astrid. Elle le fit glisser sous son nez comme un amateur de cigare qui hume son havane. Elle le suça avant de l'enfoncer dans sa chatte gonflée. Bénédicte se masturba avec le sextoy, son autre main se caressant le clitoris tandis que son visage était à moitié recouvert par la culotte d'Astrid. Elle mordit la dentelle pour étouffer ses râles quand l'orgasme la submergea et secoua tout son corps. Elle se leva ensuite lentement, alla laver le vibromasseur dans la salle de bains avant de le ranger où elle l'avait pris. Puis elle commença à faire le ménage.
Simon avait compris les motivations de Bénédicte. Leur femme de ménage était lesbienne et follement attirée par sa patronne. Simon était satisfait car il savait maintenant quoi faire. Il descendit dans l'appartement et décida d'aller faire un tour dans le parc voisin pour réfléchir tranquillement. En ouvrant la porte, il cria :
- Bénédicte? Je sors. Je pense revenir dans une heure.
- Bien, Simon. A tout à l'heure. Lui répondit Bénédicte depuis leur salle de bains.
Le lendemain, il s'appliqua à rendre leur partie de jambes en l'air dominicale la plus torride possible. Il caressa longtemps Astrid, la baisa en levrette sur le lit. Il calcula la meilleure position pour que sa chatte soit bien visible par la caméra. Il espérait que Bénédicte était derrière son écran et voyait son chibre s'enfoncer dans le con d'Astrid. Il variait souvent les positions et fini par sodomiser sa belle bien en face de l'armoire afin que Bénédicte ne manque pas une miette du plaisir intense qu'ils se donnaient l'un à l'autre.
Avant de s'endormir, Simon se dit que cette vidéo ferait un excellent porno et s'amusa à la pensée que sa belle Astrid, si pudique, était matée à son insu par une voyeuse lesbienne.
Le lendemain, dès qu'Astrid était partie se coucher, Simon se précipita dans son bureau. Il constata que Bénédicte avait bien enregistré leur petite séance de la veille. Elle avait fait des gros plans cadrés sur le visage d'Astrid qui jouissait de se faire enculer.
- C'est décidément un super porno. Pensa Simon.
Il alla frapper à la porte de la chambre de Bénédicte.
- Bénédicte, pouvez-vous passer dans mon bureau.
- Maintenant ??
- Oui, s'il vous plait !
- Bien' J'arrive dans une petite minute.
Simon retourna s'asseoir dans derrière son bureau et tourna son écran. Bénédicte entra. Elle portait un long peignoir.
- Fermes la porte et assieds-toi !
Bénédicte frémit. Ce ton dur, ce tutoiement brutal ne lui dit rien qui vaille.
Simon démarra la projection de la vidéo qu'il avait enregistrée le samedi. Bénédicte se découvrit sur l'écran. Elle ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose mais aucun son ne sortit. Son visage vira au rouge pivoine et elle baissa la tête, regardant malgré tout par en dessous l'écran ou elle se voyait en train de se faire plaisir.
Simon interrompit la vidéo.
- Je continue avec les vidéos que j'ai trouvées sur ton PC ? Mais tu les as sûrement déjà vues' N'est-ce pas.
- ?
- Qu'est ce que ça veut dire ?
- ?
- Je veux des explications ?
Bénédicte restait silencieuse, de rouge son visage était devenu livide, les yeux pleins de larmes, la tête baissée.
Simon continua sur un ton moins inquisiteur, plus compréhensif, presque amical.
- Tu es lesbienne ? Tu es attirée par Astrid, c'est cela ?
- C'est vrai, je suis attirée par Astrid, elle est si belle, si sensuelle, elle me rend folle? Mais'
- Mais ?
- Je ne suis pas lesbienne ! Enfin' Pas totalement?
- D'accord, je comprends et qu'est ce que tu comptais faire de ces films.
- Ben, rien, c'était juste pour moi.
Bénédicte se doutait que Simon ou bien la virait sans autre forme de procès, ou bien lui donnerait le choix entre rester et baiser avec lui ? elle savait tout de sa vie sexuelle très peu remplie - ou partir. C'est pour cela qu'elle avait tenu à préciser qu'elle n'était pas une pure lesbienne.
- Bénédicte, j'ai une proposition à te faire. Ou bien tu démissionnes. Ou bien tu restes mais sous deux conditions.
- Nous y voilà. Pensa t'elle. Puis elle demanda crânement. C'est quoi les conditions ?
- La première, c'est que tu couches avec moi?.
Bénédicte fit semblant de réfléchir quelques secondes mais sa décision était prise depuis quelques minutes. Elle se doutait également de la deuxième conditions ; Simon lui demanderait d'arrêter de les mater lui et surtout Astrid.
- D'accord, je veux bien coucher avec vous. Et je vous promets que dès demain, j'enlèverai la caméra. Devançant ainsi ce qu'elle croyait être la deuxième condition de Simon.
- Non, surtout pas. Je veux que tu la laisses.
- Bien, mais qu'elle est alors la deuxième condition ?
- La deuxième condition est que je te donne deux mois pour séduire ma femme.
- Comment ?
- Oui, tu as bien entendu. Je veux que tu baises ma femme et tu as deux mois, pas un jour de plus, pour coucher avec elle.
- Mais' Mais' Pourquoi ? Je ne comprends pas où vous voulez en venir.
- Ça tu le verras bien. Souviens-toi, deux mois.
- Bon, j'accepte. Je vais essayer.
- Parfait, maintenant, approche !
Bénédicte s'approcha de son patron. Simon défit la ceinture et les deux pans du peignoir s'écartèrent. Bénédicte était nue en dessous. Sans se lever, il fit glisser le peignoir sur le sol. Cette fille est vraiment superbe, aussi bandante qu'Astrid, pensa Simon. Surtout ses seins !
Il glissa une main entre ses cuisses, sa chatte était sèche. En tant normal, Simon aurait caressé Bénédicte pour l'exciter, pour la faire mouiller, pour la conduire au plaisir mais à cet instant précis, il n'avait pas envie de cela. Il avait envie de se comporter comme un rustre, comme un vulgaire mâle en rut. Sur de son pouvoir, il se leva et fit basculer Bénédicte en avant, les coudes sur le bureau. Il sortit sa queue dure de son pantalon, la mouilla avec sa salive et enfila Bénédicte qui subit cette pénétration brutale sans dire un mot.
Simon la tenait par les hanches, lui envoyait des grands coups de reins. Bénédicte subissait ses assauts, la bouche entrouverte, grimaçant parfois de l'irritation de ce chibre dans son con insuffisamment lubrifié. Ses seins ballottaient et frôlaient de leurs pointes la surface sous-main en cuir.
Pourtant, au bout de quelques minutes, Simon se calma. Il se rendit compte qu'il ne prenait pas vraiment de plaisir à baiser de cette façon. Bénédicte ne protestait pas, mais se laissait faire, inerte comme insensible. Simon n'aimait pas ça, il n'avait pas envie de baiser un morceau de viande, il savait qu'il ne prendrait aucun plaisir à cela. Il voulait que Bénédicte participe, gémisse, jouisse. Qu'elle soit vivante, tout simplement. Il admit en lui-même que sa façon de faire était responsable de son attitude. Il voulait une femme, il la baisait comme une pute.
Simon commença alors à caresser Bénédicte, tout en restant planté, immobile, au plus profond d'elle-même. Ses mains glissèrent sur ses flancs, allant à la recherche de ses seins lourds qu'il malaxa doucement, faisant rouler les tétons entre ses doigts. Il lui caressait le dos, les hanches, puis le ventre. Petit à petit, à force de caresses, il sentit le con sec et serré qu'il remplissait se gonfler doucement autour de sa queue, devenir doux et mouillé, accueillant pour sa queue. Il reprit doucement ses allers et retours et faillit pousser un cri de joie quand enfin, Bénédicte accompagna ses mouvements en se cambrant et en gémissant. Il continua à la caresser de plus belle et les gémissements augmentèrent en volume et en fréquence. Heureusement qu'Astrid utilisait des bouchons d'oreilles pour ne pas être réveillée par les bruits de la ville car elle dormait juste en dessous d'eux. Soudain, Bénédicte fut prise de frémissements, ses deux mains agrippèrent les rebords du bureau et sa tête se releva, sa bouche laissa passer un long soupir et elle s'affala sur le bureau.
Simon se retira et alla s'asseoir sur son fauteuil. Bénédicte refit surface, se releva en souriant. Elle se pencha sur Simon, posa un baiser léger sur ses lèvres et lui souffla :
- Merci, c'était très bon.
Puis elle s'agenouilla devant lui, prit sa queue raide d'une main et commença de le sucer.
- Elle suce bien, moins bien que Astrid mais elle se débrouille bien quand même. Pensa Simon.
Bénédicte le pompait activement en le branlant d'une main. Simon sentait approcher son point de non retour et il posa sa main sur la chevelure blonde de la jeune fille. Comme si cela avait constitué un signal, Bénédicte accéléra la cadence, la pression sur sa tête augmenta, et de puissants jets de sperme jaillirent jusqu'au fond de sa gorge. Elle retira sa bouche pour tout avaler et reprit le chibre de Simon pour en extraire les dernières gouttes de liqueur.