Ma femme, un peu lesbienne deuxième partie

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Proposée le 16/11/2010 par Ludwig

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Commencez par lire la première partie.

Louise se tord, alors qu'Adeline ne relâche pas un instant la pression de sa langue sur le petit bouton de mon coeur. J'ai envie d'y être, d'être cette langue à l'assaut de cette intimité trempée et gonflée de désir. J'écume tant de jalousie que de plaisir à l'idée de la voir prendre son pied de cette manière.

De sa bouche entrouverte, elle cherche de l'air et laisse filtrer de larges râles de plaisirs, des gémissements sensuels qui ne laissent aucun doute sur la puissance de l'orgasme qui la traverse. Adeline passe ses mains à l'intérieur des cuisses de Louise, sa langue toujours entre ses petites lèvres trempées et elle laisse échapper quelques bruits de succion. Elle semblait si douce, Louise pétrissant sa chevelure rousse, elle ondule son bassin. Ses seins dardés, le souffle court, elle prend un pied fou.

- Encore mon coeur, encore, ne t'arrête pas, ouiiii, comme ça.

Adeline, à genoux me laisse à la vue sa croupe rebondie et cette féminité que je vois en train de s'humidifier. J'ai envie de tout briser, de tout casser pour les prendre toutes les deux. Mais ce n'était que le premier orgasme de Louise, bientôt, Adeline remonte doucement ses mains vers l'entrée de la grotte aux plaisirs. Timidement elle caresse l'entrée de son doigt et continue à labourer le clitoris luisant de sa langue.

- Doigte-moi, je t'en supplie, gémit Louise, doigte-moi.

- Tu en veux, petite coquine ?

- Oui, je t'en prie, continue.

Louise ondule son bassin, elle cherche à faire rentrer le doigt, elle va au devant de cet appendice qui l'appelle.

- Allez ma belle, branle-toi, tu aimes ça hein ? Dis-le que tu aimes ça.

- Oui, j'aime ça, j'en veux, encore.

Connaissant Louise, elle pouvait dire n'importe quoi en ces instants, y compris les pires cochonneries. Adeline s'en est vite rendue compte et elle manifeste un plaisir sadique à la voir jouir au bout de ses doigts.

- Dis-le que t'es une cochonne, dis-le.

- Oui, je suis ta cochonne, fais-moi jouir comme une cochonne.

- Bien, prends ton pied mon coeur.

Elle rentre deux doigts et reprend ses caresses sur le clitoris, Louise crie presque, sa respiration est frénétique. Elle se cambre. Elle va jouir une deuxième fois.

- Ca vient, n'arrête pas, ça vient mon coeur ! Ouiiiiiii !
- Allez, prend ton pied petite cochonne.

Dans un râle, elle se tend, agrippe les draps et les cheveux d'Adeline. Elle jouit fort encore une fois. Adeline sort ses doigts de la chatte trempée de Louise et les place sur les lèvres de Louise. Elle les avale, les lèche, les suce avec avidité. Adeline lèche ses seins.

- Ta copine est vraiment une sacré cochonne mon petit Ludwig, t'en as de la chance.

Louise n'est plus elle-même, elle est plaisir, désir, pulsions, orgasmes. Elle lèche sa mouille sur les doigts de sa partenaire et l'embrasse à pleine bouche. Elle se délecte de ses lèvres, les langues se mélangent, le baiser est fougueux. Louise passe sa main dans la crinière rousse, elles se touchent les seins, se blottissent l'une contre l'autre. Mon érection est douloureuse à force de durer, je suis tendu à l'extrême et pourtant j'adore voir ma femme jouir. Le spectacle qu'elles m'offrent est magnifique.

- C'était merveilleux mon coeur, j'ai adoré, je t'aime.
- A ton tour maintenant, fais-moi jouir.

Louise pousse Adeline et la couche sur le lit, elle se place à califourchon sur elle et l'embrasse sur ses lèvres, les langues se mélangent. Louise passe ses mains sur les épaules de la jolie rousse, elle embrasse son cou, de chaque côté, la réaction ne se fait pas attendre, elle commence à respirer très fort. Elle descend vers ses seins, lentement, elle embrasse ses bras, ses mains, et revient vers les épaules. Adeline a ses mains dans la chevelure soyeuse de mon amour, elle passe ses mains dans le dos, sur les épaules, dans ses cheveux. Louise arrive à ses seins, elle les embrasse entiers avant de remonter dans le sillon entre. Elle les caresse doucement avant de remonter vers leur centre et ces tétons durcis. Elle sort sa langue et les caresse doucement, elle les titille du bout de ses doigts, puis elle joint ses lèvres. Elle me regarde droit dans les yeux quand elle met le téton dressé de plaisir dans sa bouche. Son regard coquin me rend fou, je me noie dans ses perles marron et je ne rate pas une miette. Adeline a la bouche ouverte et respire fort. Elle laisse un petit gémissement quand Louise commence à lui mordiller les tétons. Une main sur un sein, la bouche sur l'autre, elle se régale de cette poitrine merveilleusement dessinée.

- Mmmh, c'est divin mon coeur, continue, ne t'arrête pas.

- Tu aimes ça mon coeur ? J'adore tes seins.

- Ils sont à toi, fais-moi jouir.

Louise continue ses caresses et ses baisers sur ces collines d'amour gonflées. Adeline gémit, elle semble prête à jouir. Ses pieds se contractent, elle caresse les cheveux de ma bien-aimée avec passion, ses gémissements excitent sa partenaire qui les suce de plus belle. Elle tient ses tétons entre ses doigts et les roule avant de les lécher avec application. Elle serre ses seins l'un contre l'autre et Adeline ne tient plus.

- Je vais jouir, je viens, ouiiii, je viens, ouiii.

Louise continue de plus belle et Adeline se crispe en un orgasme. La vague de plaisir la cambre, elle appuie sur la tête de Louise pour ne pas que cette étreinte ne s'arrête. Quand elle se calme, Louise descend doucement vers son ventre lisse. Elle laisse une main vers son sein et descend avec sa langue.

Elle arrive à ce mignon shorty en dentelle qui m'excite depuis le début. Elle descend vers ses cuisses, les embrasse, les pétrit, caresse l'intérieur et constate que la mouille coule à flots.

- Mmmh, tu mouilles mon coeur.

- Ou' Oui, parvient à balbutier Adeline qui respire toujours aussi fort.

Louise se rapproche de son sexe brûlant et entreprend de le caresser à travers la dentelle noire. Louise pousse un petit cri. Elle pétrit ses fesses, embrasse ce ventre plat et tire doucement elle tire sur la lingerie. De ses dents, elle l'enlève et s'approche de moi avec son trophée. Elle le pose sur ma queue raide et m'embrasse fougueusement en me laissant sur un clin d'oeil coquin.

Elle revient et me tend sa croupe à la vue. J'ai envie de la prendre ici, comme ça, fort, avec passion, pour la faire jouir. Sa chatte est toujours trempée et sa mouille ruisselle sur ses cuisses. Elle embrasse le pubis rasé de son amie, elle le lèche franchement en pétrissant un des deux seins. Louise gémit. Elle descend sa langue et lape les lèvres gluantes de mouille. Adeline passe ses mains sur la tête de Louise pour l'inciter à la lécher plus profondément. Louise reste à l'entrée de ses lèvres, elle prend son temps.

- Lèche-moi, je t'en prie, fais-moi jouir.

La pression sur sa tête se fait plus forte et sa langue franchit les barrière de ses lèvres rosies et gonflées de désir. Elle enfonce sa langue à l'entrée de son puits d'amour gorgé de nectar et remonte doucement vers ce petit bouton gonflé. Elle le trouve aisément, tumescent de plaisir. Elle écarte les lèvres de ses doigts et passe sa langue dessus. La belle rousse émet un franc râle, Louise y va franchement, elle le suce, le lèche, le branle presque de ses doigts, elle le couve de baisers, elle le porte dans sa bouche pour mieux le sucer. Frénétiquement Adeline caresse la tête et les cheveux trempés de sueur de son amante. Elle se tord, elle se cambre, elle se crispe, elle va jouir.

- Continue, c'est trop bon, je jouis, je jouis, je jouis, ouiii

Adeline jouit franchement, fort. Louise continue à la lécher et son orgasme dure, dure. Elle est au comble de son plaisir et Louise la ménage un peu. Elle se retire et caresse juste son ventre en attendant que le soufflé de sa félicité ne retombe. Elle se regardent avec amour. Elles s'embrassent, fougueusement, dans un mélange des deux mouilles, de salive et d'amour. Leurs seins se touchent, leurs tétons s'effleurent pour leur plaisir. J'ai mal de bander depuis si longtemps, mon sexe est couvert de liquide, je suis tendu, prêt à exploser cette chaise mais je les laisse profiter de ce moment d'amour entre femmes.

Elles s'enlacent tendrement et Louise se tourne pour entamer un 69 de folie. Louise est au-dessus, je vois ses lourds seins comprimés contre le corps en sueur de son amie. Elles se lèchent, se caressent. Louise gémit, Adeline soupire. Elles se doigtent, deux doigts pour chacune dans un concert de jouissance. Elles vont jouir de concert, elles agitent leurs langues, leurs doigts, la mouille coule à flots, la sueur aussi, elles râlent.

L'orgasme arrive vite pour les deux, de concert elles se lèchent avec frénésie. Je vois Louise laper avec envie ce clitoris gonflé. Elles ferment les yeux, s'étreignent et jouissent ensemble. Après des longs instants à chercher un souffle improbable, elles s'enlacent en s'embrassant. La vision est magnifique, la pièce embaume leur désir, leur passion. elles se sont aimées comme aucun autre couple ne pourra le faire. Elles m'ont offert la plus grande frustration du monde, la plus belle vision aussi. Je savoure cet instant, ma femme heureuse, son amante comblée. Épuisées, elles me rejoignent, me libèrent et je les étreins de toute ma tendresse.

- Viens, me murmure Adeline.

Elles me couchent sur le lit. Elles me caressent, je passe mes mains autour de leurs corps surchauffé. Elles ont chacune une main sur mon sexe si tendu qu'il en est douloureux. Louise m'embrasse sur mes lèvres, sa langue fouillant la mienne, Adeline passe sa langue sur mon torse, titille mes tétons avec délicatesse. Elle descend rapidement et fait face à mon sexe. Elle le branle doucement, embrasse mon bas-ventre, mes cuisses, et recentre petit à petit vers ma queue. Louise la rejoint, elles s'embrassent puis couvrent mon gland de baiser. C'est si doux, leurs baisers conjugués me font me tordre de plaisir. Adeline avale tout, plongeant mon membre entier dans sa bouche, elle ressort en soufflant, étouffée par la grosseur. Louise lèche avec application mes couilles remplies. A ce rythme, je ne vais pas tarder à venir.
Adeline me branle et me lèche. Je sens des vagues de frissons venir en moi. Je pousse un cri de nature à les avertir et je passe ma main sur la tête de la jolie rousse. Elle ne lâche pas son étreinte et elle me suce encore sans s'arrêter.
Je lâche des jets de sperme en grande quantité dans sa gorge. Elle avale tout avec application jusqu'à la dernière goutte. Louise la remplace et aspire les dernières vagues de nectar qui coulent de mon chibre surchauffé. Elles s'embrassent, le sperme passant d'une bouche à l'autre. Les deux ont toujours leur main sur moi. Elles se caressent, les langues se lient et s'entremêlent. Elles nettoient mon engin et viennent se coucher contre moi.