Léa mon jouet sexuel partie 3

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Proposée le 13/11/2010 par Zoltan

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Lire le chapitre 2.

Pour commencer ce troisième volet, je vais vous raconter une petite exhibition de ma femme Léa.   
Je vous souhaites une agréable lecture. 
Ps: merci pour vos messages.  
E. Merci pour tes commentaires, bsx 
Crabou pour tes envies d'exhibe en as-tu discuté avec ta femme ? Pour info si cela peut te satisfaire, un miroir peut te servir pour l'exhibe avec ta promise. Dans le feutré en prime ! ^_^   


Léa au centre commercial



Ah! Le samedi après midi dans un hypermarché, qui n'en a pas rêvé. Une foule de monde qui vous insupporte par leurs simples présences, une queue interminable à la caisse. Tu passes une heure à remplir ton chariot de produits, et trois plombes pour pouvoir les payer. Moi j'adore perdre mon temps dans des files qui n'avancent pas, comme dirait Mr Mercadet "Moi quand je fais la queue dans une file qui n'avance pas et que ma femme me prend la tête dans les rayons, je joue de la flûtine, ça me revitalise.", pour celles et ceux qui sont fans des robins des bois tout comme moi. Nous sommes début Juin, le soleil brille et la température est estivale. Il fait chaud dans le Sud "venard je sais", Léa porte une petite robe de saison fraîchement achetée. Une robe blanche à motifs divers de couleur noirs, des formes géométriques. Une petite paire de sandalle en cuir, laissant ainsi le vernis perle de ses ongles habiller ses pieds. Léa est magnifique, comme toujours à mes yeux, elle range ses lunettes solaires dans son petit sac en tissu anthracite. Nous voilà dans les galeries, le nombre impressionnant de chalants me met directement dans l'ambiance. Comme toutes les femmes, Léa aime faire du lèche vitrine, elle pose son regard un peu partout à la recherche d'une bonne affaire. Moi de mon côté je me contente de la suivre, le regard de certains hommes sur ma femme me satisfait. Non pas bienheureux d'exposer ma femme telle un trophée, mais simplement la fierté pour l'homme que je suis d'être conscient de la chance que cette femme m'aime autant. Main dans la main, nous vagabondons à travers la galerie marchande. L'heure passe, une fois le tour des boutiques effectuer nous sortons pour prendre un chariot. Nous entrons à présent dans l'hypermarché, Léa papillonne dans les rayons. Je commence à trouver le temps long, je regarde ma femme pensif. Je la trouve superbe dans sa nouvelle robe, Léa un sourire aux lèvres à chaque regard prend vraisemblablement son pied. Quel est donc ce plaisir de faire les magasins le Samedi après-midi ? Incompréhension... Bref, je regarde ma femme imaginant que je la vois pour la première fois. Petite brune élégante aux charmes fous, je pense subitement à ce qu'elle doit provoquer chez les autres hommes. Moi à leur place, ma première envie serait de lui arracher sa petite culotte, et de lui prendre le minou en bouche. Cette image m'excite, je sens mon membre légèrement durcir. Léa arrive tout à coup, elle dépose une babiole de plus dans le chariot. Elle me regarde et me dit "Toi tu as une idée derrière la tête...", Léa ne me connaît que trop bien maintenant. D'après elle, j'ai le nez qui pince quand une idée farfelue traverse mon esprit. Je la regarde, et je lui murmure à l'oreille mon désir. Elle sourit puis mord sa lèvre inférieure, le regard plein de malice elle me dit "D'accord mais c'est toi qui la retire...". Je l'embrasse furtivement, nous poursuivons les allées. Les rayons sont pleins à craquer, Léa me demande où elle doit se rendre. Je lui indique qu'il nous faudrait trouver un rayon beaucoup moins fréquenté, elle me dit que dans les rayons du linge pour bébé il y a pratiquement personne à chaque fois. Nous traversons le magasin, effectivement les rayons sont pratiquement déserts. Léa se tient devant moi, me pénétrant du regard, je passe mes mains sous sa robe légère. Je remonte sa robe, je place mes doigts de chaque côté de sa culotte. La douceur du satin glisse parfaitement le long de ses jambes, je m'accroupis pour prendre le sous-vêtement blanc. Une fois sa culotte en main, je me relève et lui met un petit coup de langue sur son vagin au passage. Je place le morceau de tissu dans ma poche, Léa me demande ce qu'elle doit faire. Je lui réponds simplement "Contente-toi de montrer ton minou aux autres hommes, fait en sorte que cela soit involontaire...". Ma femme dépose un bisou sur ma bouche et me dit "Si ça te fait plaisir mon chéri...", je lui réponds que cela m'excite. Léa, la robe tombante à mi-cuisse, parcourt les rayons l'air amusé. Côte à côte, nous poursuivons à faire nos courses. Je fais un geste de la tête, et désigne un homme accroupi cherchant un produit qu'il ne trouve pas. Léa mord sa lèvre inférieure est se présente à côté de l'inconnu, l'air de rien elle simule son intérêt pour un produit lisant la liste des composants. Elle est pratiquement sous le nez de cet homme, offrant une vue saisissante sur sa vulve. L'homme lève légèrement la tête, il mange du regard le vagin de ma femme. Léa bouge un peu, lui offrant également la courbe parfaite de ses fesses. Elle raplace le produit dans le rayon et en prend un autre, écartant un peu plus ses jambes. L'homme sans complexe ne perd aucune seconde du spectacle, il penche la tête de droite à gauche pour en voir davantage. Voyant cela, mon exitation était telle que j'aurais pu la prendre devant tout le monde dans le rayon. Léa revient me voir plaçant le produit dans notre chariots, elle me lance un clin d'oeil et me demande discrètement si elle doit continuer. Je lui réponds favorablement, mais avec un autre homme. L'inconnu nous suit discrètement dans les rayons, je dis à ma femme qu'il doit avoir envie d'elle. Léa m'enlace tendrement puis me dit dans les yeux, que je suis le seul ayant le droit de la toucher. Un échange de "Je t'aime" et nous continuons. Lors de sa deuxième exhibition, la même que la précédente. J'ai eu envie de pousser le vice un peu plus loin, je murmure à son oreille ce nouveau désir. Léa se rend dans une cabine d'essayage, j'attends plusieurs minutes puis elle revient souriante. Je lui demande si elle a réussi, elle me prend la main puis la place entre ses cuisses sous sa robe. Les yeux dans les yeux, je lui dis "Tu es toute trempée, tu en as même à l'intérieur des cuisses...". Léa toujours souriante me répond "Encore deux petites exhibe et c'est tout d'accord mon chéri ?". Léa, l'entrejambe trempée me demande à qui, je lui désigne un homme assez vilain d'apparence. Ma femme prend le vice à son compte, de la même manière que pour les précédents. L'homme d'un certain âge hésite entre deux produits, accroupi il lit les composants des deux aliments. Léa est parfaite, jouant son rôle de petite salope à la perfection. Ce nouvel inconnu prend connaissance de la présence de ma femme, Léa dégage largement la vue de son intimité trempée. Les lèvres gonflées, sous l'effet de sa masturbation dans la cabine d'essayage. L'individu reste subtil, il adopte une position plus confortable. Léa pousse le vice encore plus loin, elle glisse sa main sous sa robe et se caresse sous les yeux de cet homme. Elle écarte discrètement un peu plus ses jambes, puis pénètre un doigt dans son sexe. Léa fait plusieurs vas-et-vient dans son vagin, l'heureux chanceux regarde ma femme se doigter à quelques centimètres de lui. Léa s'arrête et vient me voir, elle me met son doigt trempé de son liquide intime dans la bouche. Je suce délicatement son doigt, Léa me demande si le jeu peut prendre fin à présent. Je lui réponds que oui, mais il faut qu'elle essuie toute cette mouille. Nous allons alors dans le rayon du linge de maison, je prends un lot de gant de toilette. Léa écarte les cuisses, je lui essuie la mouille de son vagin tout en prenant soin de caresser ses lèvres ouvertes. Elle gémit ses yeux dans les miens, j'insiste encore un peu sur son vagin. Léa soupir encore deux fois droit les yeux, je caresse son doux visage.
Satisfait je remets le lot de gant de toilette à sa place, humide du liquide intime de ma femme. Cette fois-ci nous faisons réellement nos courses... 
De retour à la maison, nous avons fait tendrement l'amour...

 

Léa, petits jeux pervers



Je vais vous raconter une petite anecdote, un petit jeux de soumission.  

Il y a pour certains hommes, des désirs plus ou mois pervers et farfelu. Les miens sont de ces deux natures, j'ai réalisé un petit nombre de ces perversions. Voilà une petite situation...

Le petit café du matin 

J'aime apporter le petit déjeuner à ma femme le week-end, un petit plaisir qui est impossible à réaliser au cours de la semaine. Je me lève à 5h30, par ce fait je laisse Léa dans les bras de Morphée. Samedi matin, nous avions fait l'amour dans la nuit de Vendredi. Seul dans la cuisine je prépare le café pour mon épouse, nu comme un vers. J'attends patiemment que le petit expresso se termine, je me remémore Léa gémissante. J'ai eu une érection fulgurante, vous savez ce que c'est les gars. C'est aussi direct qu'incontrôlable, nu la queue raide dans la cuisine face à la machine. Je me parle à moi-même, et je dis à la machine "Hum... Tu m'excites toi...". C'est une attitude qui peut faire sourire, les hommes sont bêtes parfois. Je me masturbe dans la cuisine, je pense à ma femme soupirante et moite de sueur. Le café se termine enfin, la queue raide je prends la tasse puis rejoint la chambre. La pièce est sombre, seuls quelques faisceaux de lumière passent à travers les petits trous du volet roulant. Léa se réveille doucement, elle me regarde ou plutôt regarde mon membre. Elle sourit, vous savez ce sourire de satisfaction et un peu moqueur. Je pose la petite tasse à café sur la table de chevet, ma femme prend ma queue et commence à me branler. Etendue sur le lit, la tête poseé sur l'oreiller, j'entre dans la bouche de ma femme. Je fais plusieurs vas-et-vient sur sa langue, je me retire puis me masturbe bien pour jouir plus vite. La jouissance est proche, je place ma queue à quelques centimètres de la tasse fumante. J'éjacule dans le café, les jets percutent la paroi de la tasse. Ce ne sont pas mes plus beaux jets, mais mon sperme est tout de même épais. Léa me regarde jouir dans ce qui était son petit café, une fois terminé je demande à ma femme de boire. Elle se redresse sur le lit, je lui tends la tasse. Léa regarde mon sperme formant une crème, elle me lance un regard et boit son café. Je lui demande de lécher la paroi, Léa donne des grands coups de langue à l'intérieur de la tasse, elle me la rend puis me dit "Voilà mon chéri...".                                                                                    

Bref, voilà un autre petit plaisir... 

Une fois à la maison pendant le café entre amis, ma femme a mangé un petit choux fourré de sperme. Très jouissif pour moi, surtout son regard quand elle a mis le petit choux à la crème complet en bouche. 

Voilà cadeaux...

à suivre,