Ma femme, un peu lesbienne

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Proposée le 8/11/2010 par Ludwig

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Louise se révèle une véritable petite coquine et le sexe avec elle dépasse de loin ce que j'avais pu essayer. J'ai connu quelques aventures avant dont une sérieuse, mais aucune de ce niveau d'entente, de complicité et de passion.

Nous étions ce soir invités chez son amie, Adeline. Adeline est une fille adorable, le genre de fille dont vous tombez amoureux autant que vous restez son ami, toujours de bonne humeur, pétillante, pleine de vie et jolie mais qui n'en joue pas. Elle joue de malchance avec les hommes puisqu'elle vient encore de se faire plaquer par un énième mec qui n'a pas été capable de voir quel joyau cache ces petites lunettes et cette douce chevelure rousse.

Depuis que j'ai été présenté, je suis sous le charme de cette grande rousse à la peau blafarde, et au regard vert dans lequel on se perd facilement. Elle nous a invités Louise et moi, et même si les deux parlent chiffons, leurs minauderies, leurs confidences ne me dérangent pas au contraire. C'est en écoutant parler les femmes entre elles et en se faisant discret qu'on en apprend le plus sur elles et qu'on en devient meilleur mari, ami et amant.

Je trouvais Louise très bien habillée, trop bien sans doute pour aller voir cette amie, mais après tout, j'aime qu'on la regarde et qu'on la désire en sachant que moi seul ai l'accès à son coeur et son corps de rêve. Elle porte une jupe en satin noir terminé par de la dentelle noire qu'un coup de vent soulève, des bas noirs, un chemisier violet s'ouvrant sur un joli débardeur noir avec des dentelles, un collier qui se termine à la commissure de ses seins, elle a par-dessus un blazer qui moule ses seins et qui souligne sa chute de reins. Bras dessus, bras dessous, nous marchons en centre ville alors que les premiers frimas de l'automne se rapprochent. Nous nous dirigeons vers cet appartement des beaux quartiers, Adeline gagne bien sa vie et la porte cochère imposante en témoigne. Adeline nous ouvre sa porte avec un grand sourire, elle étreint Louise et elles s'embrassent presque, et elle me saute au cou quand je lui offre des fleurs.

- Des fleurs, c'est trop mignon, les hommes qui m'en offrent se font si rares. T'es tombé sur une perle Louise.

Dans son salon elle nous sert une margarita pour Louise, un reste de Sauternes pour moi et un Mojito pour elle. Elles rient, sont heureuses de se voir, elles parlent de choses et d'autres sur ce ton espiègle que je leur connais. Adeline lance sa chevelure en arrière, ce que je trouve absolument charmant, me laissant la vue sur ce cou blanc que j'ai envie de couvrir de baisers. Elle porte un débardeur vert, un pantalon moulant noir et elle est pieds nus. De sa tenue si simple se dégage un érotisme mortel pour moi. Je suis fou de ses cheveux, de sa peau blanche, de son port, de ses yeux aussi.

Pendant qu'elles parlent, je les observe, leurs petits gestes, leur beauté. Je suis sous le charme, je suis dans un de ces instants où tout va bien et je laisse les choses couler.

La discussion s'embarque sur le sexe alors qu'Adeline nous sert un deuxième verre. Adeline nous parle de Fred, son dernier en date, une espèce de bad boy d'opérette qui croit que la vue d'une bite en érection suffit à faire jouir une femme. Elle généralise en disant que rares sont les hommes qui savent s'y prendre, qui savent ne donner du plaisir qu'à eux- mêmes.

Louise me lance un regard en coin et parle doucement à Adeline, assez pour que j'entende mais je regarde ailleurs.

- Attends, souffle mon amoureuse, je vais te raconter ce qu'il m'a fait pour mon anniversaire.

Adeline se rapproche jusqu'à la toucher, elle lui raconte tout, le restaurant, la chambre éclairée par des bougies, le massage et s'arrête là.

- Et ça s'est fini comment, raconte, n'oublie aucun détail.

Les yeux d'Adeline pétillent, elle est captivée par les mots de Louise et me lance des petits regards en coin et je sens que sa main joue avec sa cuisse. Le récit de Louise fini, mon amour est rouge pivoine, Adeline se tourne vers moi avec un petit regard mi- salace, mi- envieux.

- Eh bien, ma puce, on dirait que t'as tiré le gros lot. Elle s'adresse à moi. Eh bien, je vois que Louise ne tarit pas d'éloges, ses anciens mecs étaient des mauvais et enfin, tu l'as libérée. Bravo.

Elle se lève pour une troisième tournée et me glisse un baiser sur ma joue. Je suis rouge et j'ai très chaud. Les deux filles se lèvent et vont en cuisine et je me retrouve seul avec une érection plus que naissante. J'essaie de calmer les ardeurs de mon sexe et je les entends pouffer de rire et chuchoter de manière peu discrète sans que je ne saisisse le sens des mots.

Elles reviennent, la soirée est vraiment agréable et maintenant, je ne peux m'empêcher de détourner le regard quand Adeline le fixe de ses émeraudes. Je suis gêné, terriblement gêné. Pour me sortir de la situation, je me propose en tant que cuisinier et les deux filles acceptent volontiers. Je file en cuisine espérant que mes pavés de saumon à l'oseille aux tagliatelles me calmeront les sangs. Je m'attèle à mes plats, je mitonne trois belles assiettes et j'arrive dans le salon désert. Je les entends rire de la chambre du fond et je m'approche à pas de loup. De la porte entrouverte, je peux voir les deux jeunes femmes hilares en train de comparer leur lingerie et de se donner des conseils sur quel tenue adopter en quelles circonstances. Je les regarde et je toque à la porte.

- Euh, balbutiai-je en les voyant couvertes de dentelles, c'est prêt, je vous attends.

Je regardais le sol pour ne pas les fixer.

Louise vint à moi et m'embrassa tendrement.

- Eh bien mon chéri, t'es tout gêné, rassure-toi, on a toujours été comme ça avec Adeline, depuis le lycée au moins. Et puis, ça ne te dérange pas hein ma puce ?

- Non, non, pas du tout, mais on va quand même passer à table, j'ai une faim de loup et ça sent très bon.

Je les laisse se rhabiller et j'en profite pour installer une table pour trois laissant les deux femmes côte à côte et moi en face.

Elles arrivent les joues rouges, presque enlacées et se mettent à table.

- Oh, c'est trop joli, s'écrie Adeline, t'as vraiment un mec en or toi ma puce, tu me le prêtes ?

- Arrête, tu vas me rendre jalouse, dit-elle en l'embrassant dans le cou.

J'étais tétanisé par ces deux femmes, par leur aisance, par le fait que je ne contrôlais rien et que je ne savais que faire. Elles mangent avec appétit mes pavés de saumon et Adeline commence par une question.

- Alors, Ludwig, pas trop gêné par la situation ?

- Gêné de quoi, quelle situation ? Dis-je en mentant parce que je bandais de nouveau.

- Eh bien de voir ta femme et sa meilleure amie en lingerie dans la même pièce.

- Oh, je n'ai pas bien regardé, répondis-je le plus sincèrement possible alors que j'avais imprimé chaque millimètre de leurs corps sur ma rétine.

- Pas de ça avec moi, mes lunettes ne me cachent pas tes yeux tu sais. Et puis, c'est naturel. C'est flatteur d'être désirée.

- Eh bien, oui, j'ai regardé un peu, mais pas longtemps, mais je ne me sens pas très à l'aise.

- Pourquoi ? Me demande mon coeur.

- Eh bien, vous semblez bien toutes les deux, je ne voudrais pas vous déranger.

- Oh, au contraire, c'est bien que tu sois là. C'est plus agréable et pour une fois, nous aurons l'avis d'un homme, et non des moindres.

Elles s'échangent un petit regard et continuent leurs questions.

- Alors, parlons de ce que tu as vu tout à l'heure, dit malicieusement Louise.

- Mais je n'ai rien vu, ou si peu et vraiment rien, on ne va pas épiloguer.

- Je suis persuadée que tu en as vu bien plus que tu ne veux le dire.

- Moi, je suis sûre qu'il en a vu plus qu'il ne veut bien le dire, souffle Adeline.

Sous mon pantalon, mon érection devenait de plus en plus douloureuse, je me sentais rougir et transpirer.

- On va faire quelque chose, annonce Adeline, on va te poser plein de questions et tu seras obligé de répondre.

- Mais non, je ne suis obligé de rien.

- Disons que si tu es gentil, tu auras quelque chose de spécial ce soir. répond Louise, et sur des entrefaites elle embrasse Adeline à pleine bouche et celle-ci ne la rejette pas le moins du monde.

Le sous-entendu est plus que clair surtout après ça. Ce baiser a été une merveille de beauté, j'ai cru voir une allégorie de la tendresse descendre sur Terre.

- Pour que ça soit équitable, on va faire un jeu, un bête jeu de dames, nous deux contre toi.

Adeline ramène un magnifique jeu de dames en bois précieux, et le pose sur la table. Elle distribue les pions finement ouvragés et le jeu commence.

- Alors, pour les règles du jeu, commence Louise, tu perds un pion, tu es obligé de répondre à une de nos questions ou d'enlever un vêtement, pas d'échappatoire.

- Et si tu manges un des nôtres, poursuit Adeline, tu as le droit de nous demander ce que tu veux.

- Bien, j'accepte.

Je jubile intérieurement, j'avais une chance de les voir comme tout à l'heure, même plus, je cachais mon érection assez mal et je suis sûr qu'elles l'ont remarqué au moins quand je me suis levé pour débarrasser.

Le jeu commence, les pions se mettent en place. Je sens un pied contre ma jambe mais n'y prête pas attention, j'essaie de ne pas me déconcentrer. Je perds mon premier pion.

- Alors, dit Adeline en se frottant les mains, je vais te demander, tu vas nous dire ce que tu préfères chez Louise et chez moi, physiquement. Et sois honnête.

Petite question simple, mais pleine de sens. J'essaie d'être sincère et me concentre pour une réponse juste.

- Chez Louise, c'est son dos, de ses épaules à sa chute de reins. Et pour toi, du peu que j'ai pu en juger, tes cheveux.

Elles rougissent, se donnent un petit bisou sur les lèvres et le jeu continue.

Je leur mange un pion.

- Bien, je voudrais que vous vous embrassiez très doucement et très tendrement.

- Avec grand plaisir. Répond Adeline.

Elles se rapprochent, Adeline pose une main sur la joue de Louise qui passe sa main dans les cheveux de sa partenaire. Elles s'effleurent les lèvres, puis elles s'ouvrent, et les langues se mélangent, les respirations sont amples et douces. Je les observe s'embrasser en se caressant les joues, le cou, les cheveux. Très lentement, elles s'écartent et se ressaisissent.

- Alors, le spectacle t'a plu ?

Je reste interdit, les sens en émoi. Je suis encore imprégné de cette vision si pure.

- On dirait qu'on l'a bloqué ton homme.

- C'était si beau.

Le jeu continue et je gagne encore un pion.

- Je voudrais que vous enleviez chacune un vêtement de votre choix.

Elles se regardent en riant et Louise opte pour un de ses bas, Adeline pour son chemisier. Elles se lèvent, Louise remonte sa jupe et descend un bas le plus lentement possible en me fixant droit dans les yeux me laissant une vue imprenable sur son décolleté. Adeline se déboutonne lentement, et laisse voir son débardeur vert avec lequel elle nous a accueilli. J'essaie de ne pas fixer sa jolie poitrine et me concentre sur le jeu.
Le jeu continue et elles gagnent.

- Bien, me dit Adeline, tu vas devoir enlever un de tes vêtements.

Je me plie bien volontiers et j'ôte mes chaussettes. Le jeu continue et je gagne encore.

- Vous allez devoir me dire jusqu'où vous êtes allées sexuellement toutes les deux.

Elles se regardent un instant.

- Eh bien, commence Louise, je me souviens qu'on a déjà dormi ensemble, plusieurs fois, on s'est embrassées plein de fois, je l'ai vue nue plein de fois. Mais jamais au-delà.

- Oh, si au ski cette fameuse année, à Courchevel, tu te souviens, on était bourrées toutes les deux et on a fini à poil dans le même lit mais incapables de se souvenir de ce qui s'était passé.

- Ah si, mais il ne s'était rien passé, on puait trop de la gueule et on avait une migraine pas possible alors, on n'a rien fait.

Satisfaites de leur réponse, le jeu continue.

Elles gagnent et me mangent deux pions à la fois.

- Oula, pas de chance pour toi chéri, tu as le droit à deux gages.

- D'abord, dit Adeline de plus en plus curieuse, tu vas enlever ta chemise.

Je me lève, j'essaie de cacher au mieux mon érection en pliant le ventre et je m'exécute, laissant mon torse nu à leur vue.

- Ensuite, me dit Louise, tu vas devoir nous dire à quel âge tu as vu ta première paire de seins en vrai.

Je rougis à cette question, je vais encore passer pour un idiot.

- Assez tard puisque je n'ai eu ma première copine qu'à 21 ans.

- Mmmh un peu attardé ton chéri ma puce, il s'est bien rattrapé après on dirait.

Le jeu continue, je gagne.

- Alors, vous allez me dire ce que physiquement vous enviez à l'autre.

Elles se regardent de pied en cap en cherchant.

- Moi, j'adore les seins de Louise, j'adorerais avoir les mêmes. Ils sont superbes. Elle pose sa main sur la poitrine de Louise qui ne s'en plaint pas.

- Moi, j'adorerais avoir tes jambes, si longues et si fines.

Elles se donnent un petit baiser et elles gagnent.

- Tu vas devoir enlever ton pantalon, lentement.

Je me lève, je ne peux plus cacher ma queue raidie, le me tourne dos à elles, je me déboutonne et je commence à le faire tomber.

- Tourne-toi, m'ordonne Adeline.

Je place mes mains devant mon sexe et je me tourne doucement en rougissant de tout mon sang.

- Enlève tes mains, me demande Louise.

Satisfaite de leur effet, elles m'autorisent à me rassoir.

Je gagne deux pions.

- Vous allez enlever chacune deux vêtements puisque j'en ai gagné deux. Mais je voudrais que l'une enlève les vêtements de l'autre.

Louise se lève, Adeline s'agenouille devant elle et enlève son deuxième bas et le pose près du premier. Elle monte tout doucement et elle enlève son débardeur laissant son joli soutien-gorge libre et se seins respirent un peu plus. Adeline passe sa main sur ses seins et les caresse brièvement. Louise fait de même, et les deux se retrouvent en lingerie fine devant moi. La poitrine de Louise est superbe, voluptueuse, lourde et si tendre. Celle d'Adeline est plus petite mais joliment dessinée, un bon 85C je pense. Le soutien-gorge noir d'Adeline me laisse entrevoir ses tétons durcis et ses petites aréoles autour d'eux. Louise se colle à Adeline, puis elles s'embrassent, elle porte ses mains à son pantalon et défait l'agrafe et les boutons. Elles passe ses mains sur les fesses de sa partenaire et me dévoile un magnifique shorty en dentelle noire assortie. Ses fesses sont rebondies, la peau douce et laiteuse, les mains de mon amoureuse descendent et me dévoilent des cuisses fines et musclées coupées par la dentelle de ses bas blancs. Le pantalon tombe à ses pieds. Je dois sourire béatement puisqu'elles se mettent à pouffer de rire en me voyant. Je n'ai pas demandé tout ça et elles en rajoutent bien volontiers.

- Alors, toujours décidé à continuer ? Me demandent-elles.

- Plus que jamais, tentais-je de répondre le plus fermement possible, mais il en résulte une vois chevrotante.

Je joue et je sens un pied se glisser contre ma cuisse. J'essaye de ne pas y prêter attention mais il remonte, je regarde, c'est un bas blanc, Adeline est en train de me faire du pied. Louise s'en doute bien puisque son pied à elle remonte sur l'autre jambe. Je perds encore une fois.

- Alors, quelle lingerie tu préfères ?

- Entre la tienne et celle de Louise ?

- Oui.

- J'adore la dentelle donc je vais dire les deux, elles sont toutes les deux superbes.

- N'essaie pas de t'enfuir, regarde, le soutien-gorge de Louise est à balconnets, alors que le mien est en corbeille. Ca ne donne pas le même effet. En plus Louisea un string et un porte-jarretelles et j'ai un shorty.

- Eh bien, ça ne rend pas pareil, mais le résultat est aussi beau de part et d'autre. J'aime les deux.

Elles ne semblent pas satisfaites et leurs pieds assaillent toujours mes cuisses. Adeline vient tâter l'énorme bosse sous mon boxer et le masse doucement. Bien entendu, elles ont une dame et gagnent encore un pion. Il ne m'en reste que deux. De toutes façons, je finirai nu.

- Bien, tu vas nous dire laquelle de nous deux a le plus joli corps.

Question piège, mais j'adore le corps de ma femme.

- Celui de Louise dis-je.

- Ca veut dire que le mien est moche.

- Non, tentais-je de me défendre, tu es très bien, même mieux que ça, tu es superbe, mais j'adore celui de ma chérie et sentimentalement, il a une énorme valeur.

- C'est vrai, tu la trouves belle ?

- Eh bien, oui, elle est très bien faite.

Satisfaites de leur réponse, elles gagnent encore et acculent mon dernier pion à la défaite.

- Bien, tu vas devoir enlever ton boxer mon chéri, mais avant, vu que tu as perdu, tu vas devoir nous dire depuis quand tu bandes comme ça.

- Eh bien, depuis votre premier baiser.

- Pas avant, tu es sûr ?

- Si un peu en vous voyant dans la chambre, mais c'est passé vite alors, je ne compte pas.

- Elle te fait de l'effet Adeline ?

- Surtout quand vous êtes toutes les deux.

- Et tu crois que ça pourrait aller plus loin ?

- Eh bien, ça ne dépend que de vous.

Elles se regardent, se chuchotent à l'oreille et s'embrassent.

- D'abord, tu vas enlever quelque chose pour nous.

Je me lève, elles ont une vue imprenable sur mon engin fièrement dressé mais drastiquement comprimé dans le tissu. Elles viennent de part et d'autre de moi, et me tirent le boxer jusqu'aux chevilles. Mon sexe est raide comme la justice, gonflé de frustration. Elles le contemplent et Louise prend la main d'Adeline pour la poser sur la mienne. Adeline ne se fait pas prier et commence à me branler doucement alors qu'à un centimètre de mon gland elles s'embrassent tendrement. Je suis aux anges, Louise a sa main sous mes couilles, Adeline me branle avec délicatesse, c'est divin.

Elles se redressent et Louise m'embrasse, Adeline m'embrasse à son tour sans lâcher ma queue. Adeline fait tomber la jupe de Louise et dévoile son string en dentelle noire. Les deux épidermes sur ma peau sont brûlants, doux et se frottent avec envie.

- Viens, me souffle Adeline sans lâcher mon chibre bandé.

Elle me guide vers sa chambre, m'assoit sur une chaise, et les deux s'occupent de moi, elles m'embrassent, je passe mes mains autour d'elles je caresse leur dos, leurs cheveux, leurs fesses. Adeline sort une paire de menottes et me les passe au bras. Émoustillé, je me laisse faire et me voilà attaché à leur merci.

- Puisque tu as perdu, tu ne vas avoir le droit qu'à la moitié de ton fantasme, je la tiens la revanche de mon anniversaire.

La garce, je ne crois que trop bien comprendre ce qu'elle manigance.

Elles éclairent la pièce avec des bougies, s'étreignent avec tendresse et se couchent sur le lit. J'ai une vue magnifique sur la situation. Ma petite amie est en train de faire l'amour avec sa meilleure amie.

Elles s'embrassent tendrement, passent leurs mains dans leurs cheveux, dans leurs dos, sur leurs joues, sur leurs fesses. J'entends leurs respirations s'amplifier. Leurs baisers sont très profonds, leurs langues se mélangent. Adeline embrasse Louise dans le cou, enlève la bretelle de soutien-gorge avec sa langue et continue vers son épaule. Elle descend vers ses seins à travers la dentelle. Elles dégrafent leurs soutien- gorge et je vois ces deux paires de seins si belles, si douces. Ceux d'Adeline sont très jolis, plus petits, avec des plus petites aréoles, mais très fermes et bien dessinés. Leurs tétons se croisent et s'entrechoquent, ils sont déjà bien durcis et elles respirent déjà assez fort.

Elles se caressent quand Adeline pousse Louise sur le dos et entreprend de prendre soin d'elle. Elle lui embrasse le cou, une main dans ses cheveux, elle descend en embrassant ses seins. Elle les pétrit d'amour, avec ses petites mains, ils ont l'air énormes, elle les embrasse entièrement avant de lécher ses mamelons durcis. Louise commence à gémir et je sais qu'elle ne va pas tarder à jouir. Adeline les mordille, les lèche, les suce avec passion et tendresse. Louise a ses mains dans les cheveux roux et lui caresse la tête. Adeline descend lentement sur son ventre en laissant une main caressant tantôt un sein, tantôt l'autre.

- Ooooh, Adeline, depuis le temps que j'en rêvais, enfin tu te décides, continue, n'arrête pas, c'est divin. Mmmh, encore.

- Tu es si douce ma belle, j'ai envie de toi ce soir. Très envie de toi.

Adeline lèche son ventre avec application, s'arrête à son string et continue vers ses jambes. Elle couvre de baisers ses cuisses, l'intérieur, ses mollets, ses chevilles avant de lécher ses pieds et ses orteils. Elle les masse doucement en portant les orteils dans sa bouche. La pièce est parfumée de désir, Louise se tord, elle se tortille de bonheur en gémissant. Adeline est à quatre pattes, la croupe tendue vers moi, ses fesses décorées de dentelle, j'aperçois son intimité à travers la dentelle. J'ai envie de la prendre tout de suite, ses fesses sont magnifiques, fermes et douces à la fois. Adeline remonte vers les cuisses et le string de Louise que je sais trempé. Elle caresse son ventre de ses mains, empoigne les fesse de ma chérie et tire délicatement sur la dentelle avec ses dents et ses mains. Elle le descend complètement et elles se tournent de manière à me regarder dans les yeux.

- Le spectacle te plait mon coeur ? Me demande Louise avec ce regard qui me rend fou.

- Tais-toi et jouis, soufflais-je.

Adeline passe sa langue sur ce pubis lisse comme de la soie et l'humecte avec amour, je sais que sa chatte est trempée de désir. Elle descend doucement, Louise écarte un peu plus les jambes et je vois Adeline porter sa langue entre ses lèvres roses gonflées de désir. Elle y lance une langue timide puis plus gaillarde. Elle ouvre l'entrée de sa salive qui se mélange avec la cyprine qui coule abondamment. Louise est en extase, elle se tord déjà, prend les cheveux de son amante à pleines mains, elle se cambre, gémit. La belle rouquine glisse sa langue plus haut vers son petit bouton et Louise se tord très fort.

- Oui mon coeur, je jouis, c'est bon, oui, t'arrête pas.

Louise jouit fort sur la langue d'Adeline.