Trio imprévu

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Proposée le 3/11/2010 par mariepat17

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Cela c'était passé deux ans plus tôt, avant que Patrick et elle ne se rencontrent. Elle avait été invitée à une soirée par son frère et sa femme, qui se déroulait dans un théâtre de la banlieue parisienne. Le spectacle lui avait assez plu, mais au moment de partir, Philippe, son frère, lui avait présenté un collègue de travail. Courtois, assez beau garçon, cet homme lui avait proposé de la raccompagner, car il passait près de chez elle pour rentrer. Philippe insistant pour qu'elle accepte, elle avait dit oui et s'était retrouvée dans une superbe mercedes. Confortablement installée dans les coussins de cuir, bercée par la musique, elle avait oublié ses soucis, et le champagne bu dans la soirée y était un peu pour quelque chose.

En chemin, l'homme proposa à Marie Hélène de boire un café chez lui. Sentant le piège, elle refusa tout d'abord, mais il insista si gentiment, qu'elle n'osa plus rien dire, et il lui assura qu'elle ne risquait rien, car il partageait un appartement avec un copain qui, vu l'heure tardive, devait dormir profondément et n'aimait pas être dérangé.

Il se gara devant un immeuble assez cossu, et se précipita pour lui ouvrir la porte de la voiture. Il l'aida à descendre, et la fit pénétrer dans l'entrée de l'immeuble. Dans l'ascenseur, Marie Hélène remarqua que son cavalier la dévisageait, mais fit comme si de rien n'était, et sortit la première à l'étage.
L'intérieur de l'appartement ressemblait bien au logement d'un célibataire, et il se dépécha de mettre un peu d'ordre en la priant de s'asseoir dans le canapé qui tronait au milieu, puis alla préparer le café. Il revint bientôt avec un plateau ou se trouvaient deux tasses, une cafetière, ainsi que deux verres et une bouteille de cognac. Tout en parlant de choses et d'autres, il s'assit sur le canapé, près d'elle, et lui proposa un verre de cognac. Marie Hélène était peu habituée aux alcools forts à cette heure tardive, mais elle accepta tout de même un petit verre, pour faire plaisir, et lui rappela qu' ensuite il faudrait qu'il la ramène chez elle. Il lui servit donc un verre, et la laissa boire sans rien dire.
Très vite, Marie Hélène sentit sa tête tourner, l'alcool lui faisait toujours cet effet là, et elle s'adossa au fond du canapé pour laisser passer un temps de récupération. Tout en parlant, l'homme avait posé sa main sur la jambe de Marie Hélène, mais celle-ci, tout occupée à digérer l'alcool absorbé, ne s'en aperçut pas immédiatement, et il en profita pour remonter négligemment sur la cuisse douce, vibrante sous le fin voile de nylon qui la couvrait. Marie Hélène réagit à ce moment par un brusque mouvement de recul, mais l'homme maintint sa main sur la jambe, et ses lèvres prirent la bouche de Marie Hélène dans un piège si tendre qu'elle ne put faire autrement que de lui rendre son baiser. Dans son esprit, elle voyait Jean Marc, son ex mari, faire la même chose à une petite salope qui le lui avait enlevé, et décida qu'après tout, elle pouvait très bien se venger. Elle cessa donc tout mouvement de recul, et se laissa embrasser passionnément. Tout en l'embrassant, l'homme avait remonté sa robe, et sa main entra soudain en contact avec le voile transparent qui protégeait son intimité. Elle gémit sous la caresse, et ouvrit les jambes pour profiter au mieux du plaisir que lui prodiguaient ces doigts agiles. Elle n'osait pas bouger, aussi l'homme lui prit la main et la posa sur son pantalon, à un endroit où la fermeture éclair semblait vouloir éclater. D'abord réticente, elle commença à caresser son compagnon à travers le tissu, et elle sentait sous ses doigts un membre tendu de désir pour elle, ce qui la fit de nouveau gémir. L' homme défit les boutons de son corsage, et dégagea deux seins superbes, fiers, dont les pointes se dressaient sous ses caresses. Il eut tôt fait de les aspirer dans sa bouche, ce qui eut pour effet de tordre Marie Hélène de plaisir, et elle-même défit la braguette du pantalon, pour en faire jaillir un membre gros et long, qui vibra sous ses doigts. Elle commença à faire glisser ses doigts le long de la colonne de chair, arrachant des soupirs à l'homme toujours penché sur ses seins, et dont les doigts avaient pris totalement possession de son sexe.

Il se redressa, et écartant la main de Marie Hélène, il la déshabilla complètement. Maintenant entièrement nue, Marie Hélène était plus belle que jamais, les seins dressés, appelant les caresses, la cambrure de ses reins accentuée par son trouble. Il se laissa tomber à ses pieds, et, écartant ses jambes, il embrassa à pleine bouche le sexe de Marie Hélène. Sa langue allait et venait dans son intimité, glissait le long de la fente offerte, pour revenir plonger dans la grotte d'amour, ses mains caressaient l'intérieur si tendre des cuisses, et elle se tordit sous la caresse. Elle se caressait les seins, prenant chaque bouffée de plaisir avec un soupir qui en disait long sur son excitation. Soudain la jouissance surgit, violente, et lui arracha un cri qui résonna dans l'appartement. Elle repoussa la tète de l'homme, et le dirigea sur le canapé. Elle se mit à genoux sur le tapis, et sa bouche avala le sexe de l'homme dans son entier. Sa langue s'enroulait autour de la colonne tendue, ses lèvres aspiraient le gland, puis elle descendit embrasser les bourses velues et gonflées de sève, avant de remonter lécher la queue avec la pointe de sa langue, pour finir par l'avaler de nouveau. L'homme appréçiait la caresse dont il était l'objet, et ses gémissements se faisaient de plus en plus violents. Marie Hélène le suçait de plus belle, faisant glisser ses lèvres sur le membre qui vibrait sous sa bouche.

Soudain elle sentit deux mains se poser sur ses hanches, et une langue curieuse fouiller à nouveau son sexe. Sur l'effet de la surprise, elle se retourna, délaissant pour un temps la queue de son compagnon d'un soir, et découvrit un superbe athlète noir, entièrement nu, dont le sexe d'ébène, tendu vers le ciel, était d'un volume impressionnant. Il lui sourit de toutes ses dents blanches, et, en s'excusant, lui apprit qu'il était l'autre locataire du lieu et que ses cris l'avaient réveillé. Marie Hélène se releva, voulant fuir, mais elle ne fit que lui permettre d'apprécier sa beauté dans son ensemble, et il s'empressa de la retenir en lui scellant les lèvres d'un baiser. Le repoussant violemment, elle se tourna vers l'homme sur le canapé, mais celui-ci se leva à son tour et lui mit son sexe dur dans la main en expliquant que si elle ne voulait pas de son copain, celui-ci partirait immédiatement. Elle regarda à nouveau le noir, dont les muscles luisaient de transpiration, et perdit la tète. Elle saisit les deux verges, la blanche et la noire, et entreprit de les masturber, tandis que les deux hommes suçaient chacun un de ses seins. Leurs mains la couvraient de caresses, ses fesses, son ventre, sa chatte se tordaient sous les caresses conjuguées des deux hommes, et ses gémissements reprirent de plus belle. S'arrachant à leurs mains brûlantes, elle s'agenouilla, et se mis à les sucer l'un après l'autre. Ses lèvres se distendaient quand elles se fermaient sur la queue noire, elle avait l'impression que jamais elle n'arriverait à la sucer en entier, et tandis qu'elle suçait une queue, elle branlait l'autre. Jamais elle n'avait eu l'occasion de faire l'amour avec un noir, et elle constatait que la légende n'en était pas une... La grosse queue noire allait et venait dans sa bouche, rigide, énorme, lorsque l'homme qui l'avait amenée s'assit sur le canapé et l'attira contre son sexe.

Marie Hélène se mit sur lui en lui tournant le dos, et pour la première fois de la soirée, un sexe d'homme investit sa chatte brûlante de désir. Elle commença à glisser sur la queue dure de l'homme, celui-ci la tenant par les hanches, et il voyait son sexe entrer et sortir avec régularité et puissance dans le nid d'amour d'une Marie Hélène affolée de tant de plaisir. Ne voulant pas être délaissé, le noir s'approcha et tout en se masturbant, il lui remis son énorme verge dans la bouche, qu'elle s'empressa de sucer avec avidité, au rythme de son plaisir.

Il était violent, ce plaisir... les deux hommes la caressaient sans arrêt, l'un malaxant ses fesses, l'autre lui tétant les seins, et elle gémissait malgré la grosse queue qui lui emplissait la bouche. C'était la deuxième fois qu'il lui arrivait de faire l'amour avec deux hommes, la première fois c'était sur l'insistance de son mari, et il l'avait prise avec un copain à lui, mais l'inexpérience et l'hésitation avaient gâché ce moment, alors que ce soir, tout semblait magique, et elle ne pensait qu'à son plaisir. Elle montait et descendait sur la queue du premier, tandis que l'autre faisait l'amour dans sa bouche, en prenant également un plaisir évident. Elle avait joui plusieurs fois, presque sans interruption, lorsque le plaisir envahit à son tour l'homme qui la baisait, et elle reçut l'hommage brûlant de sa semence dans sa chatte inondée, en poussant un feulement rauque.

Les deux hommes l'étendirent sur le tapis, et le noir approcha sa queue de la chatte brûlante de Marie Hélène. Celle-ci eu peur d'ètre trop étroite pour lui, mais il faisait preuve de beaucoup de douceur, et il commença à limer son sexe avec envie. Elle avait l'impression d'etre envahie par quelque chose de colossal. En relevant la tête, elle apercevait la colonne d'ébène qui lui semblait lui défoncer le ventre. Tout en la baisant, il lui embrassait les seins, le cou, et elle noua ses jambes autour de la taille de son amant pour mieux se faire perforer, pendant que l'autre homme l'embrassait à pleine bouche. Elle prit dans sa main le sexe qui venait de la faire jouir, et recommença à le caresser, arrachant à l'homme un soupir de bonheur. Le noir la labourait, la défonçait, et le plaisir revint dans le ventre de Marie Hélène, lui provoquant une jouissance démesurée, lui faisant perdre ses esprits.

Lorsque elle retrouva ses sens, ses deux amants lui fouillaient le sexe de leurs langues, et leurs mains couvraient son corps de caresses. Elle réagit immédiatement à leur toucher, et son corps se tendit à nouveau, allant au devant de leurs bouches, cherchant à les sentir plus profondément. Ils se redresserènt ensemble, et le premier de ses amants s'étendit sur le tapis, en l'attirant sur lui. Elle le chevaucha, glissant sur la queue de l'homme, s'empalant sur lui, lorsqu'il l'attira en avant en dégageant ses fesses de ses deux mains. Elle sentit la main du noir la caresser, sa langue se promena un instant sur ses fesses, puis elle sentit son gros gland toucher l'entrée de ses reins. Elle n'aimait pas trop etre prise par là, et elle l'avait refusé plusieurs fois à son mari, mais elle ne dit rien, et la grosse verge commença à s'enfoncer. Elle hurla, d'abord de douleur, puis de plaisir, prise par les deux cotés, coincée entre les deux hommes, elle sentait leurs queues dans son ventre et ses sens affolés lui transmettaient des sensations fabuleuses. Leur plaisir vint très vite, et lui provoqua un nouveau cri de jouissance, les laissant tous trois épuisés.

Elle était rentrée chez elle plus tard, non sans les avoir à nouveau sucés et branlés tous les deux. Elle ne les avait jamais revus, et n'en avait parlé à personne, mais d'y penser lui donna le frisson.